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Afrique

Niger : la constitution "suspendue" par la junte, le général Tchiani "chef de l'État"

2023-07-29
29.07.2023
2023-07-29
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Le général Abdourahamane Tchiani a pris la parole en tant que

La France "ne reconnaît pas les autorités" issues du putsch mené par le général Abdourahamane Tchiani et considère Mohamed Bazoum, "démocratiquement élu", comme "le seul président de la République du Niger". Les dirigeants des pays d'Afrique de l'Ouest doivent se réunir dimanche à Abuja au Nigeria. Ce soir, Washington menace de "mettre fin à la coopération, militaire ou non".

Washington menace de remettre en cause son assistance au pays

Une prise du pouvoir par les militaires au Niger "menacerait" la coopération des États-Unis avec le pays du Sahel, a averti unporte-parole de la Maison Blanche, "condamnant avec la plus grande fermeté la tentative de prendre le pouvoir par la force" du général Tchiani.

"Nous rappelons à ceux qui tentent de prendre le pouvoir par la force que renverser le président démocratiquement élu Mohamed Bazoum menacerait la coopération substantielle des États-Unis avec le gouvernement nigérien", a averti John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale.

"Un coup d'État militaire pourrait conduire les États-Unis à mettre fin à la coopération, militaire ou non", avec le pays africain, a-t-il aussi déclaré lors d'un échange avec des journalistes.

Les États-Unis ont une présence militaire d'environ un millier de personnes au Niger, a-t-il rappelé, assurant qu'il n'avait "pas connaissance" d'éventuels changements concernant ces troupes.

Washington fournit à ce pays, très pauvre et secoué par la violence djihadiste, une assistance en matière de sécurité, ainsi que des aides au développement et de l'aide humanitaire. Le chef de la diplomatie américain Antony Blinken s'y était rendu en mars.

Les États-Unis demandent toujours la "libération immédiate" de Mohamed Bazoum a indiqué John Kirby.

L'entourage politique de Bazoum dénonce "un coup d'État pour convenance personnelle"

Deux directeurs adjoints du cabinet du président nigérien déchu Mohamed Bazoum, séquestré par des membres de sa garde présidentielle, ont réfuté les propos du nouveau chef de la junte et dénoncé "un coup d'État pour convenance personnelle".

Dans un communiqué transmis à l'AFP, Daouda Takoubakoye et Oumar Moussa dénoncent "un coup d'État pour convenance personnelle justifié par des arguments puisés exclusivement dans les réseaux sociaux", et souhaitent "répondre à certaines contrevérités développées par les putschistes", faisant référence à la première déclaration du chef de la junte Abdourahamane Tchiani ce vendredi à la télévision nationale.

Le général Tchiani, chef de la garde présidentielle qui retient Mohamed Bazoum, est apparu vendredi sur les écrans télévisés pour lire un communiqué en tant que "président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP)", la junte qui a renversé Mohamed Bazoum.

Proclamé ensuite chef de l'État par ses pairs, Tchiani, dont le "remplacement" devait "être décidé dès ce jeudi (27 juillet) en conseil des ministres", selon un autre proche de Mohamed Bazoum, a justifié le coup d'État de mercredi par "la dégradation de la situation sécuritaire" dans un Niger miné par la violence de groupes djihadistes.

Répondant point par point, Daouda Takoubakoye et Oumar Moussa affirment que "toutes (les) décisions dans le cadre de la stratégie de lutte contre le terrorisme ont été prises en Conseil national de securite où siègent tous les responsables militaires". Ils assument avoir recruté "des jeunes des zones où sévit le terrorisme afin de profiter de leur maîtrise de la géographie et de leur connaissance du milieu social".

Concernant l'accusation de "libération extrajudiciaire" de "chefs terroristes" formulée par le général Tchiani, les proches de Mohamed Bazoum expliquent que "l'objectif de leur libération visait à les utiliser comme intermédiaires entre les autorités et les terroristes afin de démobiliser ces derniers", et précisent avoir respecté "les formes réglementaires" pour les libérer.

Si le chef de la junte déplore l'absence de coopération avec le Burkina et le Mali voisins, tous deux dirigés par des militaires putschistes, les directeurs de cabinet répondent que "jamais avec le Mali nous n'avons coordonné une seule opération".

L'aide humanitaire de l'ONU perdure au Niger, malgré le putsch militaire

L'ONU poursuit ses opérations humanitaires au Niger, malgré la suspension de l'acheminement d'aide par avion à la suite du coup d'État qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum, a insisté la coordinatrice du Programme des Nations unies pour le développement (UNDP) dans ce pays du Sahel.

Hier, l'un des porte-parole de l'ONU avait déclaré que les opérations humanitaires étaient "suspendues" au Niger du fait du putsch militaire.
Nicole Kouassi, la coordinatrice humanitaire de l'ONU au Niger, a déclaré vendredi que les opérations d'aide, de développement et de maintien de la paix menées par les Nations unies "se poursuiv(aient)".

"Ce que nous avons interrompu, ce sont les vols d'acheminement d'aide humanitaire", a-t-elle déclaré, précisant que ces derniers étaient "temporairement suspendus, uniquement à cause de la fermeture de l'espace aérien nigérien étant donné la fermeture des frontières".

"Nous sommes dévoués à poursuivre notre travail opérationnel sur le terrain étant donné la situation", a déclaré Nicole Kouassi à la presse, via une vidéo prise à Niamey et retransmise à New York.

La réponse humanitaire se poursuit sur le terrain et n'a jamais cessé", a par ailleurs déclaré Jean-Noel Gentile, directeur pays du Programme alimentaire mondial (PAM) au Niger. "Nous sommes en mesure d'accéder aux zones vulnérables et aux populations vulnérables du Niger", a-t-il ajouté.

Pays enclavé aux deux tiers désertique situé au cœur du Sahel, le Niger est très pauvre et en proie à la violence djihadiste. Selon le Bureau des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), le nombre de personnes ayant besoin d'une assistance humanitaire au Niger est passé de 1,9 million en 2017 à 4,3 millions en 2023.

Les dirigeants ouest-africains se réunissent dimanche à Abuja

Les dirigeants des États d'Afrique de l'Ouest doivent se réunir dimanche à Abuja après le coup d'État au Niger qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum, annonce la présidence nigériane à la tête de la Cédéao.

Le président du Nigeria, Bola Tinubu, élu début juillet à la tête du bloc ouest-africain, "accueillera une réunion spéciale des dirigeants de la région le dimanche 30 juillet à Abuja", a déclaré son porte-parole Dele Alake dans un communiqué.

Cette "réunion spéciale" fait "suite au coup d'État en République du Niger qui a bouleversé le régime politique constitutionnel dans ce pays d'Afrique de l'Ouest", a-t-il ajouté. Il a rappelé que Bola Tinubu, "en tant que président de la Cédéao", avait "condamné" dès le 26 juillet ce coup et promis que la "Cédéao et la communauté internationale feraient tout pour défendre la démocratie et veiller à ce que la gouvernance démocratique continue à s'enraciner fermement dans la sous-région."

Bola Tinubu s'est entretenu aujourd'hui avec le secrétaire général de l'ONU et la vice-présidente des États-Unis.

 

Le Kenya condamne, réunion des dirigeants des pays d'Afrique de l'Ouest

"L'Afrique a subi un sérieux revers dans ses avancées démocratiques" avec le coup d'État au Niger, déclare le président du Kenya William Ruto, en condamnant "dans les termes les plus fermes cet acte anticonstitutionnel".

Les dirigeants des pays d'Afrique de l'Ouest doivent se réunir dimanche à Abuja après le coup d'État au Niger qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum, a annoncé vendredi la présidence nigériane à la tête de la Cédéao.

"À la suite du coup d'État en République du Niger qui a bouleversé le régime politique constitutionnel dans ce pays d'Afrique de l'Ouest, (...) le président (du Nigeria) Bola Tinubu, accueillera une réunion spéciale des dirigeants de la région le dimanche 30 juillet à Abuja", a déclaré le porte-parole de la présidence nigériane, Dele Alake, dans un communiqué.

Les droits humains menacés par la junte selon Human Rights Watch

L'ONG Human Rights Watch affirme que les droits humains sont "menacés" par le coup d’État en cours au Niger, la junte ayant cependant affirmé vendredi "sa volonté" de respecter les "droits de l'homme".

"Les nouveaux dirigeants militaires du Niger devraient veiller à ce que les droits humains de toutes les personnes soient respectés", déclare Ilaria Allegrozzi, chercheuse sur le Sahel pour Human Rights Watch, citée dans un communiqué.

"Les autorités militaires nigériennes sont tenues de respecter les droits de toutes les personnes détenues, notamment ceux de Mohamed Bazoum, de sa famille et des autres personnes détenues", ajoute Ilaria Allegrozzi.

Le président nigérien Mohamed Bazoum, en bonne santé, est séquestré depuis mercredi matin dans sa résidence, au palais présidentiel, par des membres de sa garde rapprochée, dirigée par le général Tchiani.

La junte, qui rassemble tous les corps de l'armée, de la gendarmerie et de la police, a suspendu les institutions, les activités des partis politiques, fermé les frontières terrestres et aériennes, instauré un couvre-feu et interdit les manifestations.

La constitution suspendue, le général Tchiani, "chef de l’État"

Un représentant des putschistes ayant renversé le président du Niger démocratiquement élu Mohamed Bazoum, au pouvoir depuis 2021, annonce à la télévision nationale que "la constitution du 25 novembre 2010 est suspendue", et aussi que le président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), le général Abdourahamane Tchiani, est désormais "le chef de l’État".

L'UE menace de suspendre "tout appui budgétaire" après le coup d’État

L'Union européenne a condamné "fermement" le coup d’État militaire au Niger, et menacé de suspendre l'aide financière apportée à ce pays du Sahel.

"Toute rupture de l'ordre constitutionnel aura des conséquences sur la coopération entre l'UE et le Niger, y compris la suspension immédiate de tout appui budgétaire", a averti le chef de la diplomatie de l'UE Josep Borrell, estimant que le renversement du président Mohamed Bazoum était "une atteinte grave à la stabilité et à la démocratie".

"Nous resterons en étroite coordination avec les chefs d'État" de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), l'UE réitérant "son soutien à l’action de l’organisation de la sous-région et aux efforts en cours pour permettre un retour immédiat à l’ordre constitutionnel", a poursuivi Joseph Borrell.

La France "ne reconnaît pas les autorités" issues du putsch

La France "ne reconnaît pas les autorités" issues du putsch mené par le général Abdourahamane Tchiani et considère Mohamed Bazoum, "démocratiquement élu", comme "le seul président de la République du Niger", affirme le ministère des Affaires étrangères.

"Nous réitérons dans les termes les plus fermes les demandes claires de la communauté internationale appelant à la restauration sans délai de l'ordre constitutionnel et du pouvoir civil démocratiquement élu au Niger", poursuit le Quai d'Orsay dans un communiqué, quelques heures après que le général Tchiani a lu à la télévision publique un communiqué le présentant comme "président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie".

Un coup dur pour Paris qui y a redéployé la force Barkhane, force dont ne voulaient plus les Maliens et les Burkinabés. Au moins 1 500 soldats français sont sur place.

Qui est le géneral Tchiani ?

Chef de la garde présidentielle, le général Tchiani, nouvel homme fort du Niger, a justifié le coup d’État par "la dégradation de la situation sécuritaire" dans le pays miné par la violence de groupes jihadistes.

Il a estimé que sous le président Bazoum il y avait "le discours politique" qui voulait faire croire que "tout va bien", alors qu'il y a "la dure réalité avec son lot de morts, de déplacés, d'humiliation et de frustration".

Selon lui, "l’approche sécuritaire actuelle n’a pas permis de sécuriser le pays en dépit de lourds sacrifices consentis par les Nigériens et le soutien appréciable et apprécié de nos partenaires extérieurs".

Ce haut gradé discret commande la garde présidentielle depuis sa nomination en 2011 par Issoufou Mahamadou, prédécesseur de Mohamed Bazoum.

Le général Tchiani était absent lors de l’allocution des putschistes à la télévision nationale, annonçant le coup d’État mercredi soir, mais il était représenté par son adjoint, le colonel Ibroh Amadou Bacharou.

Le général Abdourahamane Tchiani nouvel homme fort du Niger

Le général Abdourahamane Tchiani a lu un communiqué à la télévision nationale du Niger en tant que "président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie", la junte qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum.

Chef de la garde présidentielle, le général Tchiani, nouvel homme fort du Niger, a justifié le coup d’État par "la dégradation de la situation sécuritaire" dans le pays miné par la violence de groupes djihadistes.

Emmanuel Macron condamne "avec la plus grande fermeté" un coup d’État "dangereux" pour la région

Emmanuel Macron a condamné vendredi depuis la Papouasie-Nouvelle-Guinée "avec la plus grande fermeté le coup d'État militaire" en cours au Niger, "dangereux" pour la région, et a appelé "à la libération" du président Mohamed Bazoum.

"Ce coup d'État est parfaitement illégitime et profondément dangereux pour les Nigériens, pour le Niger, et pour toute la région", a relevé le président français lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre papouasien James Marape. "C'est pourquoi nous appelons à la libération du président Bazoum et à la restauration de l'ordre constitutionnel".

Un groupe russe diffuse un message présumé de Prigojine

Une organisation russe liée au groupe paramilitaire Wagner a diffusé un message présumé de leur chef, Evguéni Prigojine, qui affirme que la tentative de coup d'Etat au Niger est une "lutte contre les colonisateurs".

La Communauté des officiers pour la sécurité internationale (COSI), considérée par les Etats-Unis comme une société écran pour le groupe Wagner en Centrafrique, a partagé jeudi soir sur Telegram un message audio attribué à Evguéni Prigojine.

On reconnait la voix et le ton distinctifs d'Evguéni Prigojine, mais l'authenticité du message n'a pas pu être confirmée, car, depuis le 26 juin, après sa tentative de mutinerie avortée en Russie, fin juin, le chef de Wagner n'a diffusé aucune déclaration officielle sur les comptes de son organisation.

"Ce qui s'est passé au Niger, ce n'est rien d'autre que la lutte du peuple nigérien contre les colonisateurs qui essayent de lui imposer leurs règles de vie", affirme M. Prigojine dans ce message présumé.

"Pour tenir en laisse (les peuples africains), les anciens colonisateurs remplissent ces pays de terroristes et de différentes bandes armées, en créant eux-mêmes une immense crise sécuritaire", assure-t-il.

Selon lui, les "anciens colonisateurs" ont envoyé des missions militaires avec des "dizaines de milliers de soldats qui ne sont pas en mesure de défendre la population d'Etats souverains".

"La population souffre. Et c'est de là que vient l'amour pour la société privée Wagner, et l'efficacité de Wagner, parce qu'un millier de combattants de Wagner est en mesure d'instaurer l'ordre et de détruire les terroristes", estime M. Prigojine.

Depuis mercredi soir, des militaires putschistes séquestrent le président nigérien Mohamed Bazoum, allié de la France dans ce pays qui est l'ultime pivot du dispositif antijihadiste français au Sahel.

Les militaires putschistes ont appelé "la population au calme" après des incidents lors d'une manifestation à Niamey organisée pour les soutenir, pendant laquelle des drapeaux russes flottaient et des slogans anti-français étaient scandés.

Les déclarations présumées d'Evguéni Prigojine interviennent alors que le deuxième sommet Russie-Afrique, en présence de dizaines de délégations de pays africains et du président russe Vladimir Poutine, se tient actuellement à Saint-Pétersbourg.

La tentative de coup d'Etat "pas définitive", estime la France

La France ne considère pas comme "définitive" la "tentative" de coup d'Etat mercredi soir au Niger, a déclaré vendredi la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna.

Le président Emmanuel Macron a parlé à plusieurs reprises à son homologue nigérien Mohamed Bazoum séquestré à Niamey, qui lui a dit être "en bonne santé", a-t-elle dit aux journalistes en marge de la visite du président Macron en Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Paris "condamne fermement le coup de force" au Niger et demande la libération de Bazoum

Paris "condamne fermement le coup de force contre les autorités civiles et démocratiques" du Niger et appelle à la "libération du président Mohamed Bazoum et de sa famille" séquestrés par les putschistes, a déclaré jeudi le ministère français des Affaires étrangères.

"Nous appelons au respect et à la restauration immédiate de l'intégrité des institutions démocratiques du Niger", poursuit le Quai d'Orsay.

"Nous apportons notre soutien aux efforts régionaux en vue d'une sortie de crise urgente qui respecte le cadre démocratique nigérien et permette le rétablissement immédiat de l'autorité civile", ajoute le ministère.

L'armée nigérienne a accordé jeudi son soutien aux militaires putschistes qui séquestrent le président Bazoum depuis plus de 24 heures dans la présidence à Niamey et qui ont suspendu les institutions et annoncé la fermeture des frontières.

Les putschistes ont accusé la France d'être "passée outre" à cette dernière mesure en faisant atterrir à Niamey un avion militaire.

"L'avion A400M qui a atterri dans la nuit du 26 au 27 juillet était parti avant la décision de fermeture des frontières et avait un plan de vol officiel qui avait été validé avec les autorités militaires de l'aéroport", souligne une source diplomatique française.

Selon cette source, la situation reste "encore très confuse" sur le terrain. Paris a eu des contacts avec le président Bazoum séquestré, ajoute-t-elle.

Cette source a répété que la sécurité du millier de Français vivant au Niger était la "priorité" du ministère des Affaires étrangères et appelé à la "vigilance".

Bien que des manifestants favorables aux putschistes aient brandi jeudi des drapeaux russes, sur fond d'influence grandissante de Moscou dans le Sahel via les mercenaires de Wagner, la source diplomatique a affirmé que Paris n'avait "pas de preuves" d'une implication quelconque de cette organisation paramilitaire dans le coup d'Etat.

"Mais la Russie a un bon historique d'utilisation opportuniste de ce genre de situation", a-t-elle ajouté.


TV5 MONDE / MCP , via mediacongo.net
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Dieudonné BOKUWA FA @6HBWCU7   Message  - Publié le 29.07.2023 à 21:55
Que pensent les militaires en Afrique ? Ils veulent devenir politiciens, au lieu de protéger leurs pays S'ils ont l'envie de devenir politiciens, ils ont intérêt d'abandonner d'abord la carrière militaire et se faire candidats pour les élections à la Présidence

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