Société
L’attention de l’opinion nationale et internationale est focalisée sur le déroulement du procès de sabotage de la gratuité de l’enseignement de base en République démocratique du Congo.
Du début du procès en passant par son deroulement , cette même opinion s’est rendue compte que tout le monde a été interpellé sauf le ministre de tutelle Willy Bakonga.
On continue à s’interroger que se passe-t-il au juste ? Bakonga est –il intouchable ? Est-il impunissable ou simplement une erreur de procédure ?
Voilà autant des questions que les congolais et les étrangers intéressés par les problèmes de l’enseignement se posent.
Nos fins limiers, se sont investis pour décortiquer les renseignements sur cette affaire importante qui touche à la vie de toute une nation. Voilà ce que notre journal a obtenu pour vous avant le déroulement du procès au niveau de la Cour de Cassation.
Bakonga alors ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) est justiciable de la Cour de Cassation et un dossier judiciaire serait déjà ouvert à sa charge au parquet général près cette Cour.
Ensuite, l’instruction fut menée par le Parquet général près la Cour d’Appel de Kinshasa -Gombe sur des montants décaissés et mis à la disposition de deux prévenus déférés et jugés à la prison centrale de Makala.
En d’autres termes, le procès sur le sabotage de la gratuité de l’Enseignement de base en République démocratique du Congo se poursuivra jusqu’au verdict final.
Il serait absurde de juger les petits fonctionnaires et laisser libre le ministre de tutelle qui a eu la charge d’ordonner les dépenses sur le fonctionnement pour la bonne marche des institutions leurs confiées.
Les jours qui viennent seront riches en procédures dans le cadre des actes de sabotage de la gratuité de l’enseignement de base, apprend-on de bonne source.
Nous savons que beaucoup des promoteurs privés des écoles n’ont pas accepté cette décision pour des raisons évidentes. Ces promoteurs vivent des sommes faramineuses perçues des parents qu’ils ne cessent de rendre pauvres.
On remarque aussi que nombreuses de ces écoles n’apportent rien en la formation des enfants mis à leur disposition. Ces enfants sortent la tête vide et les parents déboursent des millions.
D’autres encore, incapables de rédiger une petite phrase en bon français. Ils peuvent parler peut –être puisqu’en famille, on parle français mais alors incapable de rédiger correctement.
Le chef de l’État a voulu donner la chance à tous les enfants congolais de voir le tableau noir et de parler ne fut ce qu’un peu français mais hélas ! les assoiffés des millions, en ont fait leur affaire.
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Willy Bakonga Wilma, ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST)