Recherche
  Home Actualités Petites annonces Offres d’emploi Appels d’offres Publireportages C'est vous qui le dites Medias & tendances Immobilier Recherche Contact



Infos congo - Actualités Congo - MCN - 20 ans
mediacongo
Retour

Politique

Le manque d'argent fait planer un doute sur la tenue des élections en RDC

2018-10-04
04.10.2018
2018-10-04
Ajouter aux favoris
http://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2018_actu/09-septembre/24-30/ceni_election_18_0121.jpg -

Il manque 289 millions de dollars à la Commission électorale pour organiser le scrutin. Un trou dans les caisses qui fait redouter un report de l'élection présidentielle prévue le 23 décembre.

"Il y a un débat sur le montant réel des machines à voter", Valéry Madianga, porte-parole de l'ODEP.

Face aux doutes persistants concernant la tenue du prochain scrutin, le gouvernement congolais, par l'intermédiaire de son porte-parole Lambert Mende, a démenti toute possibilité de report des élections.

"Les 280 millions de dollars sont disponibles et nous les mettrons à la disposition selon un plan de décaissement qui est convenu entre la Ceni et le gouvernement, c'est à dire le ministère des Finances. Il n’y aura pas de report ! Le 23 décembre, il y aura une élection", a expliqué Lambert Mendé.

A ce jour, il manque exactement 289 millions de dollars sur les 432 millions budgétés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). 

Selon l'état d'exécution du budget - c'est-à-dire le niveau de paiement des dépenses prévues - l'Etat congolais a versé au 30 juin une somme de 101 millions de dollars auxquels se sont ajoutés 42 millions début juillet. Depuis, plus rien.

289 millions de dollars est une somme considérable qui met en question la capacité de la République démocratique du Congo (RDC) d'organiser les élections présidentielles et législatives le 23 décembre prochain.

Soucieux de préserver l'indépendance de son pays vis-à-vis de toute "ingérence extérieure", le président congolais, à qui la Constitution interdit de se présenter pour un troisième mandat consécutif, a déclaré devantl'Assemblée générale des Nations unies, le 25 septembre, qu'il refusait toute aide internationale et que la RDC était prête à "financer l’entièreté" des coûts opérationnels du scrutin.

Mais personne ne sait de quel chapeau vont sortir les 289 millions de dollars. 

"Le niveau des recettes fiscales est bas et l'exécution du budget 2018, c'est-à-dire le décaissement, en est seulement à 35% des dépenses prévues", explique une source proche du dossier. 

Une situation qui rend hypothétique la capacité de l'Etat congolais à trouver une pareille somme en deux mois.

Un précédent en 2011

Contacté, le ministre des Finances de la RDC, Henri Yav Mulang, s'est abstenu de répondre à nos questions sur ce point.

La situation rappelle celle de 2011, lorsque le gouvernement congolais a dû faire appel au soutien financier de Dan Gertler, l'homme d'affaires israélien proche de Joseph Kabila, acteur clé du secteur minier congolais et visé par des sanctions du Trésor américain.

Deux autres personnes avaient aussi aidé à l'époque : le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, et celui du Haut-Katanga, Moïse Katumbi. Mais depuis que la candidature de ce dernier à la présidentielle a été refusée, il est difficilement imaginable de le voir se porter candidat, une nouvelle fois, pour éponger les dettes de l'Etat congolais.

Interrogée également, la Ceni a commencé par botter en touche en renvoyant à la responsabilité du gouvernement, avant de refuser finalement de répondre à nos questions sur le budget. 

"Est-ce que nous sommes plus noirs que les autres ? Est-ce que vous vous intéressez au budget des élections au Rwanda ? Le gouvernement congolais a un budget, est-ce que vous lui demandez ?", a réagi Corneille Nangaa, le président de la Ceni. "Nous sommes à deux mois des élections et nous avons du travail. Nous en avons assez de ces questions !"

La même source indique pourtant que "la Ceni explique en ce moment qu'elle est techniquement prête à organiser les élections mais pour le cas où il y aurait un report, alors la responsabilité ne serait pas à chercher de son côté mais du côté du gouvernement et des politiques".

Dans ces conditions, est-il possible que les élections soient reportées par manque d'argent ? Joseph Kabila a rejeté cette hypothèse à New York en affirmant "le caractère irréversible de la tenue des élections prévues à la fin de cette année".

Malgré tout, la question est dans l'air à Kinshasa.

"Nous n'avons ni confiance en la Ceni, ni au gouvernement", explique Jean-Pierre Mulumba de l'organisation de la société civile Lucha. "C'est un des scénarios (le report des élections, ndlr) que nous envisageons. Les élections doivent avoir lieu le 23 décembre. Si on présentait le prétexte financier comme celui justifiant un quelconque report, alors la Lucha ne serait pas prête à cautionner un tel report."

"Nous attendons bien entendu que le gouvernement nous rassure sur la tenue des élections à la date prévue", affirme Valentin Vangi, le rapporteur du Comité de suivi de l'accord (CNSA), chargé d'accompagner l'accord du 31 décembre 2016 qui prévoyait l’organisation d’élections présidentielle, législatives et communales à la fin de 2017.

"Le gouvernement a dit qu'il voulait financer seul le processus électoral. Au regard du calendrier et vu la date actuelle, il faut qu'on dise exactement si on aura assez d'argent. Si ce n'est pas le cas, alors nous lancerons un cri d'alarme. S'il devait y avoir un report des élections par manque d'argent, nous ne serions pas très à l'aise pour expliquer cet argument au pays", ajoute Valentin Vangi.

Besoins exorbitants de la Ceni

Il est regrettable que la Ceni refuse de communiquer avec la DW car sa gestion est mise en cause dans la crise financière actuelle. En effet, les sommes importantes réclamées par la commission électorale pourraient expliquer pourquoi il manque autant d'argent.

Les fameuses machines à voter, raillées par l'opposition qui les qualifie de "machines à voler", ont été commandées à la société coréenne Miru Systems pour un montant de 157,7 millions de dollars, à un prix unitaire de 1.500 dollars.

"Un prix exorbitant" pour Jacques Djoly, ancien vice-président de la Ceni, qui estime que l'Etat congolais aurait pu en obtenir pour 500 dollars pièce.

Pire encore, la passation de ce marché, comme dans l'immense majorité des cas pour ce qui concerne la Ceni, s'est faite sans publicité et dans la plus grande opacité. Or la loi congolaise impose des impératifs de publication, notamment sur le site de l'Autorité de régulation des marchés. 

La Ceni préfère recourir aux "autorisations spéciales" qui permettent de contourner l'impératif de publicité mais si cette procédure est prévue dans la loi relative aux marchés publics, les marchés spéciaux ne concernent que "l'acquisition des équipements ou fournitures et les prestations strictement liées à la défense nationale, à la sécurité et aux intérêts stratégiques de l'Etat".

Or, jusqu'à preuve du contraire, les machines à voter ne sont pas des machines de guerre.

"Il y a un débat sur le montant réel de l'achat", explique Valéry Madianga, le porte-parole de l'Observatoire de la dépense publique (ODEP), un réseau d'ONG créé en 2011 pour contrôler la transparence des budgets publics en RDC. 

"Il y a aussi un débat sur le plan de livraison. On ne connaît pas les dates réelles d'acquisition de tous ce matériel. Tout ça est réalisé sur la base d'une procédure qui est irrégulière et qui ne respecte pas la loi relative à la passation des marchés."

De la même manière que Jacques Djoly, l'ancien vice-président de la Ceni, Valéry Madianga insiste sur le fait qu'une véritable mise en concurrence de plusieurs opérateurs sur ce marché aurait permis d'obtenir des machines à voter à moins de 1.500 dollars pièce.

Enfin, la Ceni choisit très souvent des fournisseurs ou opérateurs internationaux au détriment des locaux, ce qui ne favorise pas la création d'emplois. 

"Prenez le cas des isoloirs, on peut les fabriquer en République démocratique du Congo", ajoute Valéry Madianga. "Si on avait donné à un entrepreneur local la possibilité de fournir les isoloirs cela aurait favorisé les emplois mais tout est passé à l'extérieur et on favorise les fournisseurs étrangers."

Onze millions de dollars de véhicules

Dans son rapport annuel 2016-2017, la Ceni affirme avoir acquis, depuis 2014, 187 véhicules, 518 motos et 42 hors-bords. Tous sont considérés en très bon ou en bon état.

Si on ajoute les autres véhicules acquis depuis 2005 et aussi considérés en bon état, la Ceni se trouvait donc, à l'aube de l'année électorale 2018, à la tête d'un patrimoine comprenant 393 véhicules, 604 motos et 94 hors-bords.

Pourtant, dans le budget des élections, la Ceni a prévu l'achat de 171 autres véhicules (11,3 millions de dollars) et 792 motos (2,8 millions de dollars).

"Nous avons l'impression que la Ceni présente un budget qui est exorbitant", ajoute Valéry Madianga. "C'est comme si c'était une institution qui vient de naître et qui n'a jamais acquis de matériel électoral. La Ceni a déjà un parc automobile. Aujourd'hui, ça ne sert à rien d'exagérer les chiffres, de présenter un besoin qui est irréel et irrationnel. Il faut que la Ceni présente un budget sur des bases qui sont réelles et faisables. Cela réduirait au moins les incertitudes qui pèsent sur le processus électoral."

Valéry Madianga estime en effet qu'au vu du budget manquant, "la question du report est aujourd'hui évidente."

Détournement de fonds

Si la Ceni avait accepté de répondre à nos questions, elle aurait pu expliquer l'achat de ces véhicules, en arguant peut-être de leur nécessité dans un pays de 2,3 millions de kilomètres carrés.

Comme elle aurait pu revenir sur la question de la révision du fichier électoral qui a coûté 400,4 millions de dollars pour se solder par un fiasco opérationnel puisque six millions d'électeurs (dix millions selon l'opposition) sont enregistrés sans empreintes digitales, ce qui pose la question de leur réelle existence.

Enfin, la Ceni aurait pu expliquer pourquoi, dans un rapport publié en août dernier,l'Observatoire de la dépense publique affirme avoir comptabilisé, entre 2014 et 2017, un écart de 168,5 millions de dollars entre les fonds décaissés par le gouvernement et ceux reçus et déclarés par la Ceni. 

"Ce qui laisserait croire que la Ceni a l'habitude de recevoir des fonds non engagés", ajoute le rapport.

Des fonds non engagés sont des sommes qui ne sont pas identifiées, c'est-à-dire pas reconnues par le ministère du Budget, et pour lesquelles personne ne sait à quel besoin elles sont destinées. 

"Le risque est grand qu'il y ait des détournements de fonds", affirme Valéry Madianga.

"Tout part de l'opacité du budget et l'absence de clarté dans la destination des fonds", ajoute Jacques Djoly. "Est-ce que la Ceni vous a dit qu'elle a aussi acheté des hélicoptères et des avions de transport et qu'ils ont formé des pilotes au Soudan du Sud ?"

Nous avons pu vérifier cette information. Mais non, la Ceni n'a rien dit justement, renforçant le sentiment d'un financement qui repose sur une organisation opaque, où des centaines de millions de dollars sont attribués sans but précis, où les marchés publics sont accordés sans véritable concurrence.


Deutsch Welle/MCP,via mediacongo.net
C’est vous qui le dites : 15 commentaires
8958 suivent la conversation

Faites connaissance avec votre « Code MediaCongo »

Le code à 7 caractères (précédé de « @ ») à côté du Nom est le Code MediaCongo de l’utilisateur. Par exemple « Jeanne243 @AB25CDF ». Ce code est unique à chaque utilisateur. Il permet de différencier les utilisateurs.

Poster un commentaire, réagir ?

Les commentaires et réactions sont postés librement, tout en respectant les conditions d’utilisation de la plateforme mediacongo.net. Vous pouvez cliquer sur 2 émojis au maximum.

Merci et excellente expérience sur mediacongo.net, première plateforme congolaise

MediaCongo – Support Utilisateurs


JK Mbolokosso @TLJMSQ1   Message  - Publié le 05.10.2018 à 12:37
Naanga, tu dois savaoir que tout se paie ici bas. Ta gestion opaque des fonds alloués à la CENI ne restera pas impunie pcq tu es au service de la "Kabili" c'est connu !

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 05.10.2018 à 08:02
Mampuya | T6L7OKA - posté le 04 10 2018 à 23:54 Article interessant, à prendre avec des pinces. Le Congo est sous l'oeil d'observateurs très interessès. Ceux qui ne veulent pas les élections en RDC, aiment ces genres d'articles. Criminaliser la machine à voter imprimante,disponibilité financière à financer du n'importe quoi. Ainsi le gouvernement congolais, est en état de guerre avec ces milieux. Il est tout à fait normal, que notre budget de guerre ne soit connu de tous, et aucun gouvernement sérieux publie toutes les voix des ses dépenses. Puisque à mon avis c'est après les élections que certaines accusations,ou questions, ou des doutes dans ce document peuvent etre soulever,pas avant Partout dans le monde les audits

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Makye @GYJDU18   Message  - Publié le 05.10.2018 à 03:09
La Deutche Welle qui est une chaîne de radio internationale allemande ne peut pas diffuser de tels amalgames qui n'ont aucun fondement. J'ai même essayé de fouiller sur le site officiel de la Deutche Welle, je ne vois un tel article. Il s'agit d'une machination de quelqu'un qui, après avoir mangé son fufu, donne son texte imaginaire à mediacongo pour jauger la réaction des gens. Je mets au défi mediacongo de nous envoyer le lien de la Deutche Welle sur lequel il a tiré cet article. Si mediacongo ne nous donne pas ce lien d'ici deux jours, c'est-à-dire que c'est la médiocrité.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Makye @GYJDU18   Message  - Publié le 05.10.2018 à 02:59
Celui qui a écrit cet article c'est un intentionnaliste parce que ce qu'il dit est contraire à ce que Nangaa ne cesse de dire tous les jours. NANGAA A DEJA REPETÉ ET IL LE REPETERA ENCORE ET ENCORE QU'IL EST PRÊT À ORGANISER LES ÉLECTIONS LE 23 DÉCEMBRE 2018 Ceux qui espéraient que le gouvernement recourait à l'aide internationale ils pleurent et tous ceux qui ont peur des élections et qui se mettent sur leur rail, ils seront écrasés. Wait and see.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 04.10.2018 à 23:56
(suite) Partout dans le monde les audits se font après, en dèhors de ça, de cette période , nous sommes en procès d'intention de nuire.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 04.10.2018 à 23:54
Article interessant, à prendre avec des pinces. Le Congo est sous l'oeil d'observateurs très interessès. Ceux qui ne veulent pas les élections en RDC, aiment ces genres d'articles. Criminaliser la machine à voter imprimante,disponibilité financière à financer du n'importe quoi. Ainsi le gouvernement congolais, est en état de guerre avec ces milieux. Il est tout à fait normal, que notre budget de guerre ne soit connu de tous, et aucun gouvernement sérieux puplie toutes les voix des ses dépenses. Puisque à mon avis c'est après les élections que certaines accusations,ou questions, ou des doutes dans ce document peuvent etre soulever,pas avant Partout dans le monde les audits se font après, en dèhors de ça , nous sommes en procès d'intention de nuire.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
A bon entendeur @74PQ24O   Message  - Publié le 04.10.2018 à 18:14
A 2 mois de la date prévue, on ne sait où trouver l'argent mais on est où là! ça montre clairement que le pays est géré par des .................................................................. qui ne savent rien prévoir sinon des improvisations.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
KABILA NA TSHISEKEDI @9EZU6L1   Message  - Publié le 04.10.2018 à 18:03
LOrsqu'on lit ce budget, on doit se poser les bonnes questions, outre le coût exhorbitant des machines que moi j'aurais pu avoir à 450$, il faut se poser la question de savoir pourquoi la Ceni a besoin de porte-clefs (50000$)? A ce que je sache la Ceni n'est candidate à aucun mandate et n'a donc pas besoin de faire de la publicité! Dns le budget il y a 164000$ de prévu pour les déjeuner avec les journalistes, dans un pays ou plus de la moitié de la population meurt de faim comment expliquer un budget de 450$ par jour rien que pour la nourriture, c'est un scandale et personne ne relève cela!!

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Kabuluku @5VCKFC5   Message  - Publié le 04.10.2018 à 17:08
L'épervier est pris dans le piège, c'est lui-même qui l'aura voulu !!!

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
"Justice" ya mboka n @TYE1YEX   Message  - Publié le 04.10.2018 à 16:37
Nangaa est un escroc(qui prétend réduire les coûts de l'élection dans une opacité de gestion)rien de nouveau depuis qu'on le dit Mais la Céni ne travaille pas seul La même irrationalité est partagée par ce gouvernement On connaît leur jeu,ils vont se renvoyer la faute s'il n' y a pas élection!

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Anonyme! @ET86R2M   Message  - Publié le 04.10.2018 à 16:32
Nangaa, tout le monde voit que tu n'arriveras pas à organiser les élections le 23/12! Si tu étais sincère tu dirais clairement que ce que la CENI ferait, si les candidats à la présidentielle accepte elle LAISSERA TOMBER LA MACHINE À VOTER ET FERA AUSSI LE NETTOYAGE DU FICHIER ÉLECTORAL et pour les législatives on VERRAIT 45 JOURS APRÈS LE 23/12(C'aurait sage de ta part) Toute autre solution est déjà rejettée par 99,9% des congolais! Tu n'en qu'à faire le tour de la RDC et tu le verras, Nangaa.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
kimbilikiti @HY4YZL1   Message  - Publié le 04.10.2018 à 16:07
jesper que mutu ya Nanga eko Exploser te???? aluka aide

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Mbok'Elengi 10e rue @TSWZGT3   Message  - Publié le 04.10.2018 à 16:04
Nangaa sera maudit ce pauvre malade mental mediocre

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Zemira @4SRZTHP   Message  - Publié le 04.10.2018 à 15:41
Ne voyez-vous pas que Naanga a la tête d'un gangster. Le budget de la Ceni que le parlement a voté à la sauvette n'est pas réaliste. Mais, chacun a cherché à s'y retrouver, bon, à qui la faute si ce n'est la MP actuelle, peuplée des médiocres.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
right
Article suivant Corneille Nangaa : « L’AFC/M23 va continuer à se battre jusqu’au départ ou démission de Félix Tshisekedi »
left
Article précédent Retour de Kabila par Goma : un pari risqué ? (Gabriel Kamba, chef de travaux)

Les plus commentés

Politique Partenariat stratégique RDC-USA : Félix Tshisekedi attendu ce jeudi à Washington

29.04.2025, 16 commentaires

Politique Didier Mumengi invite Félix Tshisekedi et Joseph Kabila à une réconciliation "des braves" pour la paix de la nation

29.04.2025, 12 commentaires

Politique Dossier Matata Ponyo : Kamerhe accuse le président de la Cour constitutionnelle de violer la Constitution

30.04.2025, 11 commentaires

Politique Corneille Nangaa : « L’AFC/M23 va continuer à se battre jusqu’au départ ou démission de Félix Tshisekedi »

30.04.2025, 10 commentaires

Ont commenté cet article



Ils nous font confiance

Infos congo - Actualités Congo - confiance