Après l’interdiction de circulation des bus Mercedes 207 dans le centre-ville, le gouvernement, suite aux doléances des transporteurs, vient de leur accorder un sursis de 45 jours, renseigne L’Observateur.
Une interdiction qui a soulevé un tollé aussi bien du côté des transporteurs que de la population, l’interdiction est tombée, laissant place au contrôle technique de ces bus endéans du délai susmentionné, pour en assurer la sécurité.
A ce sujet, les autorités ont été claires et fermes quant au respect du temps accordé qui ne peut souffrir d’aucune exception, d’aucune dérogation ni de prolongation.
Le pays est-il prêt à accueillir ces élections sensibles au niveau de la base ? Y’a-t-il suffisamment des garanties de crédibilité et de transparence ? Les moyens techniques, financiers, matériels et sécuritaires sont-ils réunis ? Relayées par La Prospérité, sont là autant de questions que se posent les acteurs politiques lors des débats sur la faisabilité des échéances électorales.
Des préoccupations auxquelles la plate-forme Agir pour les élections transparentes et apaisées (AETA), en toute objectivité et se référant au dernier discours du chef de l’Etat sur l’état de la nation où il a appelé la Ceni à la diligence quant à l’organisation des élections, soutient l’option qui techniquement, garantira davantage des élections crédibles et apaisées, dans le respect de la constitution car, les seules considérations matérielles et financières ne peuvent s’avérer comme handicap, pour relever ce défi.
Des couleurs de sérénité s’ajoutent lorsque depuis Bruxelles, l’abbé Malumalu annonce la publication au mois prochain, de la feuille de route pour l’organisation de nombreuses élections prévues en RDC, rapporte Le Potentiel.