Second mandat de Félix Tshisekedi, RDC : Qui pour succéder à Sama Lukonde ?
2024-02-08
2024-02-08
08.02.2024
2024-02-08
2024-02-08
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Aussitôt les résultats des législatives nationales furent publiés par la Commission électorale nationale indépendante, aussitôt a surgi la question du futur Premier Ministre. Les Chefs des différents partis et regroupements politiques membres de l’Union Sacrée de la Nation attendent impatiemment la nomination d’un informateur par le Président de la République en vue de dégager la majorité parlementaire. Ceci pour orienter Félix Tshisekedi dans son choix sur le Chef du gouvernement de son second quinquennat.
En tête de la liste des formations politiques ayant raflé le plus grand nombre de sièges à l’Assemblée nationale à raison de 69 députés nationaux élus, l’UDPS réclame la primature au détriment d’autres regroupements politiques à l’instar du Pacte pour un Congo Retrouvé. Ce regroupement politique, à sa création, comptabiliserait plus de 200 élus au niveau national et provincial.
De ce fait, ce fruit de l’union entre Vital Kamerhe, Jean-Lucien Bussa, Julien Paluku et Tony Kanku permettrait de rabattre les cartes sur la désignation du futur Chef du Gouvernement.
Cependant, les sociétaires du PCR rejettent toutes les accusations dénonçant leurs ambitions démesurées pour le pouvoir.
Pour les géniteurs de cette alliance, ils n’ont pas pour objectif le partage du pouvoir, mais plutôt accompagner le Chef de l’Etat dans son second mandat en lui assurant une majorité parlementaire confortable.
Consolidation des acquis
Dans son discours lors de la cérémonie d’investiture le 20 janvier, le Président de la République avait énuméré les 6 piliers du programme de son nouveau mandat.
Au début de cette cérémonie, l’Apôtre Roland Dalo pendant sa prière de circonstance, a exprimé son souhait de voir le Président se séparer des collaborateurs qui ne visent que leurs intérêts personnels pour s’entourer des personnes intègres qui l’aideront à matérialiser son plan d’action.
Depuis la prise du pouvoir de Félix Tshisekedi, les congolais espèrent matérialiser le slogan tant prôné par son père, feu Etienne Tshisekedi qui en avait fait son cheval de bataille et l’essence même de son combat.
MediaCongo Nathan Mundele
Nathan Mundele
La Prospérité / MCP, via mediacongo.net
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Nous pouvons changer et moderniser notre pays si nous le voulons tous. Personne ne nous interdit d'investir nos milliards des ressources naturelles dans les infrastructures. La RDC n'est pas maudit, nous devons travailler. Je suis un peu déçu du fait que le Premier Ministre Sama n'a pas eu l'occasion vraiment de faire ses preuves. Un gouvernement parallèle décidait à sa place et lui fit ombrage tout au long de son mandat.
Je souhaite un premier ministre qui aura les mains suffisamment libre pour travailler po na lokumu ya Mboka; oyo akoki kotombola mpe ko faire avancer mboka na biso sur tous les plans
Alors, si nous voulons trouver l'oiseau rare, soyez rassuré qu'on ne va pas le trouver dans cette crasse corrompue de la classe politique actuelle. Mais l'oiseau rare est là !, Essayons une femme cette fois-ci (Au togo, une femme est premier ministre) et on verra que tout va bien marcher.
(Suite) À chercher le coupable du jour, jamais le chef, qui devait être le 1 responsable de la situation du pays. Au delà du folklore des mots. Qui et quoi peut changer sans Sama ? Rien. Sauf la narration, qui peut changer, mais être congolais reste un travail ingrat sous Tshilombo. Il faut mentir toujours soi-même et les autres. C'est dur.
Le plus grand problème, si pas émergence de la RDC est l'incapacité du pseudo intellectuel, de porter jusqu'au bout un raisonnement scientifique et accepter les conséquences. Tenez, un intellectuel congolais peut défendre la constitution de son pays, mais du moment où ses propres intérêts ou de son autorité morale sont menacés, il devient incapable de soutenir son raisonnement scientifique. Donc l'intellectuel congolais est dans l'obligation de haïr sa propre formation universitaire scientifique. Tout le monde parlait des élections bâclées. Mais maintenant nous sommes dans la normalisation des faits. Pourquoi ? Parceque la présidence est sécurisée par cette intelligentsia, médiocre, qui a droit à la survie. Nous parlons souvent de l'infiltration dans l'armée. Jamais de l'infiltration dans les partis politiques et vie sociale. Voilà le grand chef d'œuvre de l'udps. Infiltrées les couches sociales du pays. Nous acceptons un pouvoir autocratique, clinique, pas même tribale. Etre congolais est devenu un travail en temps plein. Chacun doit justifier les méfaits de cette législature. À chercher le coupable du jour, jamais le chef, qui devait être le 1...
L'informateur est appelé á être le premier ministre Il est de l'Udps et il est Kasaïen,c'est parfait pour Fatshi. Dauphin de Félix dans 5 ans il sera Président,un petit mandat,Félix revient en 2033 Ils une écrasante majorité au Parlement,ils feront ce qu'ils veulent Bahati,Bemba,Kamhere ne valent rien Leurs députés serviront á nettoyer les toilette du Palais du Peuple Udps,viva,viva,viva
Etre congolais est un métier le plus difficile du monde.
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