Politique
La Mission de l’organisation des Nations-Unies pour la stabilisation du Congo, (Monusco), a exprimé son regret, ce mercredi 3 août, face à la décision du gouvernement d’expulser son porte-parole, Mathias Gillmann, du sol congolais.
« La Monusco regrette l’expulsion de son porte-parole et prend acte de cette décision du gouvernement de la République démocratique du Congo de demander à un membre de son personnel de quitter le pays »
Le gouvernement congolais a considéré que la présence du porte-parole de la Monusco sur le territoire national n’est pas de nature à favoriser un climat de confiance mutuelle et de sérénité si indispensable entre les institutions congolaises et la Monusco en vue, non seulement du meilleur accomplissement du mandat confié à cette dernière par le conseil de sécurité des Nations unies, mais aussi de faire aboutir le plan de transition aux fins de son retrait définitif de la RDC, d’ici à l’horizon 2024.
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Mathias Gilmann, porte-parole de la Mission de l'organisation des Nations-Unies pour la stabilité de la République démocratique du Congo (Monusco)