Société
Dans un communiqué publié samedi 28 août à Kinshasa, l'Eglise du Christ au Congo (ECC), par le biais de son programme Sauvegarde de la création de la CJPSC, se dit inquiète de constater que les mesures concrètes tardent à se formaliser et s’exécuter en mode urgence face à la catastrophe écologique qui frappe les rivières Tshikapa et Kasaï depuis le mois de juillet dernier.
Le communiqué, signé par le président de l’ECC, André-Gédéon Bokundoa-bo-Likabe, rappelle qu’au-delà des conséquences écologiques, la pollution de ces deux rivières touche également le social des populations riveraines, dont la survie dépend notamment des activités de pêche.
L'ECC demande donc au Gouvernement de la RDC et à la communauté internationale de considérer la pollution des eaux des rivières Tshikapa et Kasaï comme une situation d’urgence pour laquelle des mesures urgentes doivent être prises et des enquêtes sérieuses menées.
Il s’agit, d’une part, d’en évaluer les impacts environnementaux, socio-économiques, sanitaires et humanitaires et d’autre part, d’établir les responsabilités de toute personne physique ou morale qui en serait l’auteur « en vertu du principe Pollueur-Payeur », selon la même source.
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André-Gédéon Bokundoa-bo-Likabe, président de l’ECC