Manque de consensus sur la désignation du président de la CENI : Un député redoute le glissement en 2023
2021-08-20
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20.08.2021
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Dans une interview accordée à la rédaction d’Actu30.cd, mercredi 18 août 2021, le député national Matadi Wamba a émis des inquiétudes sur le risque du glissement suite au manque de consensus observé au sein des chefs des confessions religieuses sur la désignation des animateurs de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
À cet effet, cet élu national a exprimé des craintes de voir la date butoir des élections ne pas être respectée.
« C’est déplorable, c’est malheureux pour notre pays, on piétine. La conséquence, c’est qu’on s’est exposé à ne pas avoir le temps nécessaire pour organiser les élections dans le délai, c’est-à-dire en 2023. C’est ça le risque qu’on fait courir au pays. Les confessions religieuses ne s’entendent pas parce que c’est à elle que revient la compétence de designer le président de la CENI. La situation pourrit, on piétine. », a-t-il déclaré.
Suite aux divergences qui persistent au sein de la plateforme des confessions religieuses, Matadi Wamba a plaidé pour un large consensus.
« Les confessions religieuses dans l’ensemble doivent s’entendre pour designer un candidat. Malheureusement, ce n’est pas facile. Il y a des égos qui entrent en ligne de compte. Il y a des considérations que vous et moi nous ignorons peut-être qui font que nous n’avons pas un candidat unique. Peut-être on va recourir à un mécanisme pour que le nom d’un candidat soit finalement accepté pour que la machine puisse avancer », a-t-il ajouté.
Rappelons que l’Assemblée nationale a accordé pour la troisième fois un délai supplémentaire aux confessions religieuses afin qu’elles puissent trouver un consensus sur la désignation du futur président de la centrale électorale ainsi que d’un des membres de la plénière de cette institution. Mais encore une fois, les 8 confessions religieuses n’ont pas réussi à s’entendre.
Dans une correspondance adressée au président de l’Assemblée nationale et consultée ce jeudi 19 août par Actu30.cd, les 6 confessions religieuses ont à nouveau désigné les deux animateurs et transmis le procès-verbal à la chambre basse du Parlement, sans les églises catholique et protestante.
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Actu 30 / MCP, via mediacongo.net
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Nous avons perdu notre culture, le sens des nos valeurs qui auraient pu nous aider dans certaines circonstances. Où est le droit de naissance, le droit d' aîné . La signature d'un Dodo, ne peut être au-dessus de celle Mgr. Etumbi. J'ai plus d'argent de mon frère, étudié plus que lui, mais devant lui je tiens mon pas en arrière. Nous avons à faire à des gens orgueilleux. Dodo convoque une réunion depose Pv eecc, mais si nous étions dans une famille cela porte à une crise inévitable. Du moins dans le Bas-Congo une société jadis harmonieuse.
Tshilombo a reussi son paris, a travers le charlatant de Dodo Kamba, l'homme a la grosse chainette. Tout ce desordre, c'est l'oeuvre de Tshilombo n'ayannt aucun bilan a presenter au peuple en 2023 et qui cherche le glissement a tout prix mais sa fuite n'est pas loin le peuple va le chasser, y compris ses talibans de la 10e rue. Ingeta
...à Kinshasa comme c'est le cas des prêtres aujourd'hui et nous voilà parti pour plusieurs années dans un long voyage vers Jupiter, jonglé de chamailles que seuls les Congolais savent si bien faire avec l’aide des infiltrés. En tout cas, c'est la demarche pour laquelle Fayulu pense faire marcher son petit groupe de fanatiques aveugles: La dépolitisation de la CENI; encore faut-il démontrer que la société civile est apolitique quand ceryaines d'entre-elles recoivent des fonds de l'étranger pour vendre le Congo.
Si les églises n'ont pas réussi à dégager un candidat, il faut remettre cette décision à l’organe d’où le pouvoir vient c’est-à-dire l'ensemble de la société civile pour décider du candidat Président de la CENI. Elles sont 3000 organisations de la société civile et doivent envoyer 5 membres par province. Cela va nous prendre 3 ou 4 ans avec toutes les vérifications mais ce sera le prix à payer pour des élections crédibles comme Fayulu n’a cessé de réclamer comme-si il avait encore un mot à dire dans un processus et un système dans lesquels il s’est lui-même autoexclu ; Et le temps pour que ces organisations s'entendent sur leurs candidats à envoyer à
Les confessions religieuses auraient été mis dans un fait accompli ! La vie et carrière de certains de nos politiciens en dépendent ! Vive l'amélioration du soi-disant démocratie après l'alternance politique (Sarcastique que je suis). Avec un bilan largement négatif, une impréparation à outrance au sommet de l'État après que le président ait été coaché, des nominations tribales du jamais vu, un parti dont les dirigeants sont mono-ethniques, un pays dont la vision n'est pas claire, des dépassements budgétaires excessifs sans stop, des astuces politiques enfantins pour couler les autres. C -à-d sans Kadima, ils n'ont pas d'assurance de retourner aux affaires !
Le concessifs, il y en aura pas. FATSHI fera à peu de chose prêt comme son prédécesseur . Il fixera ses hommes de confiance là où il faut par la force ou par voie détournée . C'est à nous de nous lancer au combat pour faire barrage; nous avons déjà de l'expérience, du vécu.
Matadi Wamba tu oublie que la CENI est une institution ou les Hommes passent? mais tous les preparatifs doivent commencer sans attendre le nouveaux president de la CENI! nous ne sommes plus a l'epoque des homes forts mais plus tot des institutions fortes.
Il a reçu un diagnostic d'herpès génital depuis 2 ans et je cherche un remède. J'ai eu plusieurs poussées, mais maintenant je suis guérie définitivement par un phytothérapeute. E-mail; Dr Ahmed
drahmedusman5104@gmail com ou envoyez-lui un SMS WhatsApp +14436204203
@
Mbok'Elengi 10e rue @TSWZGT3 
Jean Jacques Bukasa @GFA7ICS 
