Désignation du président de la CENI : Quelle issue ?
2021-08-07
2021-08-07
07.08.2021
2021-08-07
2021-08-07
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Au regards du blocage actuel du processus de la désignation du président de la CENI, force est de constater qu’un mal de fond qui ne dit pas son nom clairement, ronge la plate-forme des confessions religieuses. Ce problème serait résolu depuis l’époque de Mme Mabunda. Malheureusement, il faut pousser la logique plus loin.
Tenez, un faux Kimbanguiste Malonda est présenté. Six confessions le soutiennent et déposent un faux PV que le parlement entérine. Les deux autres (CENCO et ECC) dénoncent et le président Fatshi bloque. Heureusement, le feu qui s’était déjà allumé est vite éteint.
Cette fois aussi, un faux Kimbaguiste est encore présenté. Six confessions, les mêmes d’autrefois le soutiennent et déposent un PV irrégulier au Parlement pour entérinement. Les deux autres, les mêmes d’autrefois dénoncent. Mais l’Assemblée nationale n’a rien entériné, moins encore le président de la République n’a rien bloqué.
Mais face à cette répétition de la scène au niveau de la désignation d’un président de la CENI, plusieurs question méritent d’être posées : Que prévoit la charte ? Que fait-on pour la plate-forme qui présente un pseudo-membre ? Que fait-on pour décourager les actes répétitifs des six ?
Que fait-on pour proscrire le comportement d’un chef d’une confession qui roulerait ouvertement et sans vergogne pour le pouvoir en place ou l’opposition ? Y a-t-il lieu de revisiter la charte pour établir les conditions d’affiliation et la répartition d’un quotient électoral au pro-rata de la taille de la confession pour en éliminer les petites ? Ou alors serait-il peut-être utile d’élargir le cercle pour en inclure d’autres afin d’atteindre une très large représentation ?
Toutes ces questions méritent une profonde réflexion en vue de sortir le pays de l’impasse répétitive quant à la désignation du représentant des confessions religieuses devant diriger la Commission électorale nationale indépendante.
MediaCongo
scooprdc / MCP, via mediacongo.net
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Des questions très pertinentes à présenter à son éminence le cardinal Ambongo pour son impulsion.
Un congolais de père et de mère, au lieu de tout brûler, dira , non je laisse tomber. Faisons les choses ont pourvu que le Congo gagné son pari de la paix et de la cohésion nationale. Comme cette femme devant le roi Salomon, qui préféra donner la maternité à une autre, pourvu que l'enfant reste en vie. Heureusement que Dieu aimé le Congo. Le jour vient où les mauvaises personnes seront écartées pour qu'on vivent en paix. Merci Seigneur. Tes serviteurs nous déçoivent
La logique est simple, comme le pouvoir tient à son candidat, ce qui est curieux, il tient donc à préparer un large cycle de corruption, qui aboutira à des nominations. A quoi serviront toutes les dépenses pour les élections ? Le deuxième mandat de mérite par un bilan élogieux indiscutable. Qd on un bilan peu probable, c'est souvent la raison de multiples stratégies pour préparer de fraudes massives.
Cela montre qu'il y a de chefs religieux corrompus par le piuvoir en place, les deux premiers cités. Et qu'il y a d'autres qui méritent acclamations, les catholiques et l'ecc. Comme les deux derniers sont restés hors corruption,, que le président de la ceni doit choisi par les catholiques et l'ecc de commun accord.
Évidemment, il faut élargir le cercle et surtout rappeler à ces "confessions religieuses" qu'elles ne peuvent nous imposer leurs caprices.
L'idéal était que l'homme de Dieu était intègre et organiserait les élections normalement. Jésus Christ dit que si le sel perdait sa Saveur avec quoi le remplacerait-on? Les hommes de Dieu voyez là vous étiez tombés et repentez-vous. relevez-vous, sinon Dieu vous enlèvera le peu qui reste en vous
L'idéal était que l'homme de Dieu était intègre et organiserait les élections normalement. Jésus Christ dit le sel perdait sa Saveur avec quoi le remplacerait-on? Les hommes de Dieu voyez là vous étiez tombés et repentez-vous. relevez-vous, sinon Dieu vous enlèvera le peu qui reste en vous
Rentrer ou revenir à la gouvernance normale d'un État laïc qui prône l'organisation des élections par l'Administration publique. Mettre fin à l'existence de la CENI. Son temps est révolu et elle a contribué de beaucoup au recule de la démocratie. Cette dernière étant une religion utopique. Cessez de faire le mal. Repentez vous. Jésus-Christ revient bientôt.
Tu veux savoir quelle issue?! Mais le professeur André Mbata a déjà répondu à ta question. La commission Paix Administration et Judiciaire qu'il dirige s'est saisie du dossier. Il y a le P V des six confessions qui ont porté leur choix sur Denis Kadima, et le rapport de huit (eux tous) qui parle de non consensus. La commission d'André Mbata va les étudier et faire des recommandations à l'assemblée nationale qui, à son tour, décidera. Ce qui est vrai ce que la majorité à l'assemblée nationale entérinera le P V des six confessions religieuses, car les élus nationaux pensent aussi à leur reélection. Vivement 2023.
Il faut juste savoir que la CENI peut être n'importe qui! Impossible d'influencer le président. Avec son installation, la CENI sera tout de suite une institution! Là, ils se rencontreront directement avec le président!! Le président de la CENI est comme des étiquettes, car ceux qui ont lu la nouvelle loi de la CENI peuvent comprendre ce que je veux dire.
Ravir la désignation du candidat aux
confessions religieuses et la retourner
au ministère de l’intérieur. Problem solved
Cher journa-fuati, à travers cet article, tu as dévoilé le camp pour le quel tu roules. Retiens ceci: les candidats à la présidence de la CENI ne sont pas obligés d'appartenir à une église quelconque. Tu parles de "faux Kimbanguiste" pour semer la confusion et la haine, comme vous en avez l'habitude. La charte des confessions religieuses stipule clairement que s'il n'y a pas de consensus, on passe au vote. Pourquoi Abbé Shole ne veut pas qu'on aille au vote? C'est la question que tu dois lui poser.
@
