À Muanda, Denise Nyakeru Tshisekedi pose des actions sociales et invite la population à l'amour et l'unité

C'est depuis le lundi 05 octobre que l'épouse du chef de l'État, Denise Nyakeru Tshisekedi, séjourne dans la province du Kongo central dans le but de palper les réalités auxquelles fait face la population. La première dame a débuté son périple de 10 jours dans cette province par la ville littorale de Muanda.

Après avoir reçu un accueil chaleureux de la population de cette partie du pays, l'épouse du chef de l'État, en compagnie notamment du gouverneur de la province, Atou Matubuana, a appelé ses hôtes à cultiver l’amour et l’unité sans lesquels la province et le pays ne peuvent se développer.

La première dame a ensuite annoncé avoir mis à la disposition de la Société nationale d'électricité (Snel), 3000 mètres de câble pour l'électrification de certains quartiers de la ville de Muanda.

"Le gouverneur de province et l’administrateur du territoire m’ont fait part d’un grand besoin du territoire, celui de son électrification. Je mets à la disposition de la Snel 3000 mètres de câble électrique qui permettront d’électrifier plusieurs quartiers de Muanda", a-t-elle annoncé.

Toujours dans la ville littorale de Muanda, la première dame a effectué une visite à l’hôpital de la base militaire de Kitona, à la maternité de Vulumba et à l'hôpital général de Muanda.

Dans ces établissements hospitaliers, l'épouse du chef de l'Etat et présidente de la fondation qui porte son nom a remis un lot important de médicaments génériques, des vivres, lits et matelas pour les malades.

Dans la ville de Muanda, il était aussi question pour la première dame de mener des actions dans le secteur de l’éducation particulièrement de la jeune fille, de la santé (de la mère et de l’enfant), l’autonomisation de la femme et la lutte contre les violences basées sur le genre.

En ce qui est de l'autonomisation de la femme, Denise Nyakeru Tshisekedi s'est entretenue avec les femmes mareyeuses de Muanda au port de Yatch à Banana. Denise Nyakeru Tshisekedi a vu de ses propres yeux les conditions de travail dans lesquelles évoluent ces braves femmes. Elle a reçu leur plaidoyer et a promis de l’analyser et le transmettre auprès des autorités compétentes.