Scandale de corruption : "Diaspora horizon 2050" évoque la nécessité du retour au pouvoir de Kabila en 2023

Dans une tribune intitulée « Nécessité d’un Joseph Kabila Président la République en 2023, nouvelle interrogation de la diaspora » parvenue à la rédaction d’Ouraganfm.cd, cette organisation coordonnée par le jeune doctorant en philosophie, Joseph Sanki Kongolo a basé sa réflexion sur les différents scandales de corruption mis à nu par le procès 100 jours, pour en arriver à cette conclusion.

Ouragan FM CD reprend ci-dessous l’intégralité de cette réflexion :

Alors que la fin des deux mandats de Joseph Kabila Kabange a été par une diabolisation généralisée, si bien que les élections organisées en 2018 se sont même transformées en une espèce référendum pour ou contre Kabila représenté alors par son dauphin, l’honorable Emmanuel Ramazani Shadary, avec comme preuve et conséquence un parti qui perd à la présidentielle mais qui l’emporte on ne peut plus largement ma majorité législative, il est tout à fait temps de dire haut et fort que cette diabolisation devient désormais affaire du passé surtout à cause de ce projet sur les détournements des deniers publics que l’accusé Vital Kamerhe lui-même a voulu se dérouler dans une ambiance la plus médiatique et publique que possible.

Il est donc tout à fait honnête de reconnaître que ce procès aura été ce qui aura beaucoup jouer en faveur d’un retour toujours possible du président honoraire Joseph Kabila Kabange ou, à défaut, de son dauphin historique Emanuel Ramazani Shadary au pouvoir en 2023. Mais quelles en sont les raisons évidentes et objectives au sujet de ce retour ?

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La nécessité de retour de Kabila en 2023 consiste dans le fait que notre démocratie telle qu’elle trouve son origine historique avec l’arrivée de Laurent désiré Kabila comme leader politico-militaire et son fils Joseph Kabila également leader politico-militaire, avec le renversement du régime dictatorial de Mubutu, en passant par une séries des tentatives de déstabilisation et balkanisation vaincues par Kabila le fils, et qu’elle nous a amené jusqu’à vivre, pour la toute première fois de l’histoire politique de notre patrie, ce qui marque la bonne vitalité d’une démocratie, c’est à dire l’alternance, et bien cette démocratie à encore besoin d’être consolider dans le même que celui de son commencement, c’est à dire le lumumbisme modéré tel qu’il a caractérisé la gouvernance du pays par Joseph Kabila Kabange afin de poursuivre les grandes réformes déjà entamées comme cela à été le cas dans le secteur minier par exemple.

Il faut donc dire que ce retour est absolument nécessaire car seul un lumumbiste modéré peut nous assortir de l’impasse du redressement d’un pays aux enjeux qui dépassent les duels besoins alimentaires et sanitaires de sa population. Le Congo est un pays géopolitique stratégique et puissant; ce qui nécessite un leadership aussi conséquent, c’est à dire à même de lui rendre toute sa place d’un pays naturellement grand et fort au cœur de l’Afrique. Et le régime sortant a bien fait preuve d’une telle capacité.

Elle consiste également dans l’idée que l’observation de la façon dont l’opposition essai de gérer la destinée de notre patrie, et dont le procès est tout à fait le miroir, n’empire pas assez confiance d’un avenir qui soit à la hauteur des enjeux. Car lorsque un même parti politique peut se retrouver à la fois et à l’opposition et au pouvoir, il est tout à fait légitime de parler d’une certaine incapacité de ressembler, mais surtout d’une certaine absence d’orientation claire et fiable, ce qui est un empêchement considérable pour le destinée de notre patrie.

Il est donc temps, rien qu’au vu de ces éléments soulignés, de se dire que Joseph Kabila n’est pas l’incarnation du mal congolais que l’opposition nous décrivait nuit et jour; bien au contraire il est celui qui sait rassembler et orienter vers un avenir espérant. La preuve, on est déjà que toutes ses sorties sont marquées par un tel enthousiasme populaire d’une jeunesse qui commence à comprendre son innocence en rapport avec l’image que certains discours de l’opposition de l’époque véhiculait en sa défaveur comme stratégie politique accaparer du pouvoir.

Ce mythe tombé il ne reste plus que la candidature de celui dont la personnalité ne cesse de se montrer mieux placé pour rendre au pays toute sa place et sa dignité. Les russes avaient eux aussi bien compris l’enjeu en redonnant confiance à Vladmir Poutine; aujourd’hui personne ne pourra donner tort à ce peuple, car les fruits de ce choix sont clairement palpables; la Russie même devenue plus fortes qu’elle ne l’a jamais été dans son histoire. L’on se souviendra de Poutine pour parler de la gloire de la Russie. Joseph Kabila est avec le FCC incarné encore le leadership et l’avenir qu’il nous faut.

Joseph Sanki Kongolo, coordonnateur de Diaspora RDC horizon 2050