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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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Politique

Jour ‘’J’’ pour la signature de l’arrangement particulier: Ça passe ou ça casse

2017-03-27
27.03.2017 , Kinshasa
2017-03-27
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http://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2017-actu/03-mars/20-26/cenco_centre_interdiocesain_16_0001.JPG Kinshasa-

Si l’on ne s’en tient  qu’au dernier ultimatum de Mgr Fridolin Ambongo, vice-président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), c’est en principe aujourd’hui que doit être signé l’arrangement particulier entre les parties prenantes, qui en détermine les modalités pratiques, pour permettre la mise en application de l’Accord politique inclusif du Centre interdiocésain de Kinshasa.

C’est dans ce cadre que les questions importantes liées notamment au profil du candidat Premier ministre, à la procédure de sa désignation et de sa nomination, à la taille et au format du Gouvernement, à la répartition des responsabilités entre les composantes, à la désignation du président du comité national de suivi de l’accord (CNSA) et du rôle de la CENCO après les pourparlers, ont été renvoyées aux discussions des délégués.

Mais à scruter de près ces discussions, il s’avère que ce coup de gueule de la CENCO aura du mal à produire des résultats escomptés. Et à l’allure où vont les choses et considérant la pression tant internationale que populaire, les évêques membres de la CENCO n’auront d’autre choix que de se référer au Président de la République, celui-là même qui leur avait confié la mission de bons offices.   Sinon, à en croire, l’Abbé Jean-Marie Bomengola, le chargé de la Communication de la CENCO, la plénière du vendredi  24 mars s’est penchée sur les questions restées en suspens,  non encore traitées ou pas encore complètement évacuées. Il s’agit du mode de désignation du Premier ministre dont la formulation consensuelle peine à se dégager, la question de partage des ministères, l’évaluation de la mise en œuvre de l’application des mesures de décrispation et celle relative à la présidence du Conseil national de suivi de l’accord (CNSA).

S’agissant de la formulation par rapport au mode de désignation du Premier ministre, les membres de la sous commission ont exposé les différentes propositions avancées autour de cette question. Le constat est que les délégués n’ont pas évolué dans leurs discussions en petits groupes.

Le deuxième problème sur lequel s’est focalisé le débat, concerne la présidence du CNSA. La restitution des débats qui ont eu lieu en sous-commissions a été faite à la plénière par le modérateur. D’après lui, certains soutiennent qu’on doit suivre ce qui est écrit dans l’Accord du 31 décembre 2016: « le CNSA est présidé par le président du Conseil des sages du Rassemblement ».  Pour d’autres, le décès de M. Etienne Tshisekedi exige qu’on reconsidère cette question, parce qu’il a été désigné à ce poste au titre de ce qu’il représente en tant que personne dans l’échiquier politique congolais. Pour d’autres encore, ouvrir le débat autour de cette question, c’est remettre en cause tous les équilibres qui sont dans l’Accord et donc renégocier tout l’Accord.

Il faut dire que le débat autour de cette question était très passionné, explique le prêtre catholique, qui souligne que certains ont évoqué l’esprit qui a conduit à l’élaboration de cette disposition, d’autres encore ont soutenu que l’écriture consacre la fin du processus de discussion, arguant que la présidence du CNSA ne figure pas parmi les points qui devraient faire l’objet de l’arrangement particulier. Après avoir écouté les arguments des uns et des autres, la médiation a demandé un petit temps de concertation qui a abouti à la rencontre en aparté avec les chefs de délégations. Soulignons que les points concernant la répartition des portefeuilles ministériels, l’évaluation de la mise en œuvre des mesures de décrispation et le chronogramme devraient être traités dans la plénière de samedi dernier.

Le prochain Premier ministre chargé de poursuivre les discussions

Même le samedi dernier, apprend-on de la même source, la plénière n’a commencé qu’à 20h 40’, parce que les délégués ont dû attendre le rapport du groupe qui a travaillé sur la répartition des portefeuilles ministériels. Quatre points ont été annoncés, mais un seul a réellement été traité. Il s’agit de la répartition des portes feuilles ministériels.  Parmi les autres points qui figuraient à l’ordre du jour, l’on peut citer la présidence du CNSA, le rôle de la CENCO et l’évaluation de l’application des mesures de décrispation.

En effet, pour faciliter les discussions sur la répartition des postes ministériels, le rapport regroupe les ministères en quatre secteurs d’activités parmi lesquels : 9 ministères dans le secteur Economie et Finances, 11 ministères dans le secteur Politique et Sécurité, 12 ministères dans les secteurs Productifs et 13 ministères dans le Secteur social. Les composantes ont convenu d’assurer une représentation équitable dans les quatre secteurs en considérant la proportion des ministères relevant de chacune des composantes.

Tenant compte de la répartition effectuée sur base des prétentions exprimées par les composantes. Il est apparu trois catégories : les ministères revendiqués par une seule composante et qui sont considérés comme les ministères attribués ; Les ministères revendiqués par plus d’une composante et qui sont dits ministères en conflit ; les ministères non revendiqués par une composante et considérés comme non attribués.

Les discussions continuent autour de cette question, et les points n’ayant pas recueilli le consensus seront confiés au Premier ministre lors de la formation du gouvernement après la signature de l’arrangement particulier. C’est ici où le problème se pose car, comment prétendre signer l’arrangement particulier et confier un certain nombre des questions au prochain Premier ministre, pendant que son sort fait toujours l’objet d’une vive polémique entre parties prenantes ?

C’est ici qu’en ce qui concerne la formation du Gouvernement au niveau national, la Majorité Présidentielle fait observer que les questions sur la nomenclature des portefeuilles et les quotas réservés aux parties prenantes ont déjà fait l’objet d’un consensus. Le Gouvernement à mettre en place comprendra donc 45 ministres et 8 vice-ministres, soit un total de 53 membres dont les portefeuilles seront répartis de manière suivante: Majorité Présidentielle: 17 ministres et 3 Vice-ministres ;  Rassemblement: 12 ministres et 3 Vice-ministres ; Opposition: 8 ministres et 2 vice-ministres ; Opposition Républicaine: 2 ministres, et la Société civile: 2 ministres.

Quel avenir ?

Parmi les points qui divisent les parties prenantes à l’arrangement particulier de la CENCO, figurent en bonne place l’attitude de l’UDPS qui a claqué la porte, sans oublier la difficulté pour la CENCO de mettre sur la même table les différentes branches du Rassemblement. Comment signer un quelconque arrangement particulier dans ce contexte ? Devant un tableau aussi sombre que compliqué, sur quel signe pouvons-nous voir l’avenir de la Rd Congo ? Si l’on ne s’en tient qu’à la volonté de la classe politique de la Rd Congo, on  est loin de sortir de l’auberge. Mais comme il y a un Garant de la Nation, celui-là qui n’a jamais caché sa volonté d’amener les Congolais aux élections, et de sauver ainsi la démocratie, il ne manquera sans doute pas de prendre les taureaux par les cornes.


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Tarzan moteur. @UH9WW5U   Message  - Publié le 27.03.2017 à 14:13
Christophe Colombus tika pimbo Tu ne sais pas de quoi tu vais. Kala te oko koma kiol Conseil gratuit.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 27.03.2017 à 14:09
Mr. christopher je me démande si vous etes un intellectuel impartial? ou partisane La Cenco, ceux du rassemblement disent q'il n y'a pas d'accord entre eux. Quel accord Kabila doit appliquer ? Personne ne connait le nom du président du cns, le nom du futur 1 ministre, ils ne sont d'accord sur la distribution des ministères, ne parlons meme pas des noms de ministrables. Kabila doit faire quoi. Si vous vous étiez Kabila devant cette caccophonie vous alliez faire quoi ? Il faut relire l'interview de Konjo. Nous sommes un peuple toxique.

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Amour de DIEU @NKCWLBM   Message  - Publié le 27.03.2017 à 14:02
Remettez tout entre le main du seigner

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Anonyme @EGV518K   Message  - Publié le 27.03.2017 à 13:09
USA UE UA NE VOUDRAIENT VOUS PAS METTRE FIN A NOTRE SOUFFRANCE CONGOLAISE ???JE VOUS AUTORISE DE FAIRE TOUT CE QUE VOUS VOULEZ A CE PAYS RDC ET NOS DIRIGEANTS, LA POLITIQUE CONGOLAISE A ECHOUE ....CENCO WAPI PLAN BBBBBB?????

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Omega @G1COV5M   Message  - Publié le 27.03.2017 à 13:01
ekosimba te alors botika biso tozongela nzela po tolembi bino la semaine prochaine ledifferents syndicat ont decider d'aller en greve alors proclamon une journee ville morte.

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:57
La MP n’a jamais eu l’envie de voir mis en application cet accord qui enlève à KANAMBIYIC la possibilité de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le dialogue ne peut pas traîner indéfiniment. Les évêques doivent faire rapport au PEUPLE CONGOLAIS de la fin non concluante des négociations, en présentant, sur chaque point, la position et les arguments de chaque partie, en français et dans les 4 langues nationales, afin que le peuple puisse agir en connaissance de cause. Puisque les évêques préfèrent jouer à Ponce Pilate, le peuple doit avoir tous les éléments pour déterminer qui du RASSOP ou de la MP ne veut pas que l’accord soit appliqué.

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Peterse @ZQAPJ6G   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:54
Mais comme il y a un Garant de la Nation, celui-là qui n’a jamais caché sa volonté d’amener les Congolais aux élections, et de sauver ainsi la démocratie, il ne manquera sans doute pas de prendre les taureaux par les cornes. Un journaliste partisan il vient du groupe l'avenir d'où rien de bon ne peut provenir. ton analyse monsieur est sans impacte!

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Roche @NWX9RCR   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:50
Si la communauté internationale parle un même lange il y aura la solution

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Evangéliste Robert @7KOUIUM   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:44
En effet,les choses vont de mal en pis au pays, La persistance de cette situation risque de rendre obsolète l’accord du 31 décembre 2016 et donner l’occasion de reporter la tenue des élections présidentielles prévues en décembre 2017 voir d’en appeler à un referendum ou à une modification de la constitution et on ne peut pas jouer avec le feu s’agissant de cet immense pays au coeur de l’Afrique dont la stabilité est clé pour lui même et pour l’ensemble de la région et du monde. Etant Président de l'Union des Intellectuels Lumumbistes et de l'AFRIQUE-SANTE, asbl, je vous propose la formation d' un Gouvernement des Technocrates constitué des membres sans ambition de postuler aux élections prochaines comme une seconde voie de sortie qui doit départager les politiciens Cela pourra réduire sensiblement la flambée de violences tous azimuts, au moment où le processus politique est aussi dans l’impasse, depuis la mort du Patriarche Etienne Tshisekedi.

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:41
Avant toute action sur le terrain, les députés de l’opposition doivent d’abord aller déposer à la Cour Constitutionnelle une REQUETE EN DESTITUTION contre Joseph Kabila pour INCOMPETENCE NOTOIRE ET ENTRAVE A LA DEMOCRATIE. En effet, il s’est montré incapable de maîtriser les termes de référence de la fonction pour laquelle il a été soi-disant élu en 2011 (assurer la bonne marche des institutions), et en empêchant la tenue de l’élection présidentielle en septembre 2016, il a mis en péril le processus de construction de la démocratie en RDC. On va voir comment la Cour va réagir et ensuite on pourra descendre dans la rue si nécessaire.

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:37
La MP n’a jamais eu l’envie de voir mis en application cet accord qui enlève à KANAMBIYIC la possibilité de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le dialogue ne peut pas traîner indéfiniment. Les évêques doivent faire rapport au PEUPLE CONGOLAIS de la fin non concluante des négociations, en présentant, sur chaque point, la position et les arguments de chaque partie, en français et dans les 4 langues nationales, afin que le peuple puisse agir en connaissance de cause. Puisque les évêques préfèrent jouer à Ponce Pilate, le peuple doit avoir tous les éléments pour déterminer qui du RASSOP ou de la MP ne veut pas que l’accord soit appliqué.

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Anonyme @91YQJDE   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:35
a la cenco de faire signer ces arrangements particulier et laisser la balle dans le camp de politiques conglais. si pas de compromis maintenant les peuples peuvent se prendre en charge

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Albert Ilunga @KEEN5J3   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:21
L'attitude trop intransigeante de l'UDPS et du G7 doit être dénoncée comme cause du blocage actuel. Les Évêques sont exaspérés par cette attitude.

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:20
Anonyme de 11:53, il faut rester calme : IL N’Y AURA PAS DE REFERENDUM. Le peuple congolais est en déficit d’une élection présidentielle, pas d’un référendum. D’autre part, un référendum est un question trop sérieuse qui ne peut être posée que par un président LEGITIME ; KANAMBIYIC ne l’est pas. Quant à ce « journaliste » qui prétend que "parmi les points qui divisent les parties prenantes à l’arrangement particulier de la CENCO, figurent en bonne place l’attitude de l’UDPS qui a claqué la porte", on peut se demander s’il a de la matière grise dans le cerveau ou de la boue.

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MAMBO TOKA @S7ZLW6L   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:15
Pourquoi vous evez perdre le temps unitillement est-cequ'il n'ya pas moyen de faire le tirage au sort pour tous les postes qui restent?

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:15
Anonyme de 11:53, il faut rester calme : IL N’Y AURA PAS DE REFERENDUM. Le peuple congolais est en déficit d’une élection présidentielle, pas d’un référendum. D’autre part, un référendum est un question trop sérieuse qui ne peut être posée que par un président LEGITIME ; KANAMBIYIC ne l’est pas. Quant à ce « journaliste » qui prétend que "parmi les points qui divisent les parties prenantes à l’arrangement particulier de la CENCO, figurent en bonne place l’attitude de l’UDPS qui a claqué la porte", on peut se demander s’il a de la matière grise dans le cerveau ou de la boue.

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DYNAMIQUE SAUVONS LE @KRW9LFX   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:11
Majorité 20 postes, Rassemblement 15 postes; Opposition 10 postes; opposition Républicaine 2 postes, Société civile 2 postes. Au total 49 postes sur 53 à pourvoir. A qui revient les 4 ministères dits de souveraineté?

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kazadi @XKK7CJW   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:10
la senco doit ce prononce' une fois pour toute le peuple sont impatient

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Serge k @3QLXW76   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:10
La RDC n'est pas le Congo d'en face encore moins le Burundi, L'époque de diriger le peuple par défis est déjà révolu depuis longtemps La MP peut bien tenter mais ça sera "INSALEMABLE"car le congolais est assez éveillé et mature au regard de la longue et riche histoire politique qu'à connu le pays MP sache que même sans l'intervention de membres du rassemblement ce peuple te rendra la vie dure.

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Belson @WNMM9AF   Message  - Publié le 27.03.2017 à 12:04
Si le president kabila a vraiment besoin que;ce que lui-meme a construit pendant pres de 20 ans ne soit pas oublier par les congolais,qu'il se detache de ces corbillards qui l'entoure,car ils avaient amener mobutu aux cimetieres,mais eux continuent a vivres.

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Christopher Columbus @VLQA7LZ   Message  - Publié le 27.03.2017 à 11:59
La MP n’a jamais eu l’envie de voir mis en application cet accord qui enlève à KANAMBIYIC la possibilité de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le dialogue ne peut pas traîner indéfiniment. Les évêques doivent faire rapport au PEUPLE CONGOLAIS de la fin non concluante des négociations, en présentant, sur chaque point, la position et les arguments de chaque partie, en français et dans les 4 langues nationales, afin que le peuple puisse agir en connaissance de cause. Puisque les évêques préfèrent jouer à Ponce Pilate, le peuple doit avoir tous les éléments pour déterminer qui du RASSOP ou de la MP ne veut pas que l’accord soit appliqué.

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Anonyme @M84LOHP   Message  - Publié le 27.03.2017 à 11:53
Plus rien n'étant au rôle, Kabila et ses acolytes peuvent maintenant se la couler douce. Un pari gagné cap vers le referendum tant redouté pour déverrouiller le nombre de mandat présidentiel tandis que les congolais peuvent dire "AMEN". Un peuple naïf ne mérite que ses dirigeants.

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Moise lumbi nsapu @S4P59N9   Message  - Publié le 27.03.2017 à 11:49
"Parmi les points qui divisent les parties prenantes à l’arrangement particulier de la CENCO, figurent en bonne place l’attitude de l’UDPS qui a claqué la porte, sans oublier la difficulté pour la CENCO de mettre sur la même table les différentes branches du Rassemblement. Comment signer un quelconque arrangement particulier dans ce contexte ? Devant un tableau aussi sombre que compliqué, sur quel signe pouvons-nous voir l’avenir de la Rd Congo ?"MP et RASSOP,Bandes des incompetent et egoiste comme votre commandant JKK

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Anonyme @DBGFRJO   Message  - Publié le 27.03.2017 à 11:44
certes les badauts de la MP sont des gens à abattre sans explications et sans conditions, mieux vaut la rue que de compter sur le faux président de la RDC qui est hors mandant et illegitime,que la RDC devienne un pays sous tutelle de l'ONU.

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