Société
Alors que le Président de la République déploie des efforts conséquents pour obtenir un siège au sein de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies, une partie de l’opposition choisit une voie bien différente. Au lieu de soutenir les initiatives visant à renforcer l’image et la position de la RDC sur la scène internationale, ces opposants préfèrent manifester en faveur du séparatisme, de l’anarchie et du désordre.
Il semble qu’à leurs yeux, être dans l’opposition confère le droit de promouvoir des discours fondés sur le tribalisme, le séparatisme et le clanisme. Pire encore, ces mêmes opposants estiment qu’ils peuvent conspirer avec les ennemis de la République sans être inquiétés. Selon leur logique, la justice ne devrait s’appliquer qu’aux voleurs de mangues ou de beignets, et non à ceux qui attentent à la sûreté de l’État.
*Nous mettons au défi ces opposants de présenter un seul détenu d’opinion en République Démocratique du Congo. Il n’y en a aucun. En revanche, il existe des politiciens poursuivis pour des faits graves tels que l’atteinte à la sûreté de l’État, la propagande séparatiste et tribaliste, les injures publiques, et la diffamation. Ces délits ne relèvent pas de la liberté d’opinion, mais bien du droit commun*.
Soutenir de tels individus, c’est plaider pour une justice à deux vitesses. C’est vouloir que la justice congolaise soit partisane, appliquée au cas par cas en fonction de la position politique ou des affinités claniques.
Une opposition qui réclame, d’une part, l’égalité devant la loi, mais qui exige, d’autre part, une impunité totale pour ses membres.
Un État moderne ne peut se bâtir sur une justice sélective. Les politiciens, tout comme les citoyens ordinaires, doivent être responsables de leurs actes et redevables devant la loi. Permettre que certains jouissent d’une immunité de fait, tandis que d’autres sont lourdement sanctionnés pour des infractions mineures, c’est saper les fondements mêmes de l’État de droit.
L’avenir de la RDC dépend d’une justice équitable, où chaque citoyen, qu’il soit politicien ou simple citoyen, est traité selon les mêmes règles et normes juridiques.
Construire un pays sur l’équité, la justice et la responsabilité partagée est le seul chemin vers une société harmonieuse et prospère.
Jean Thierry Monsenepwo, Cadre Communicateur de l’Union Sacrée de la Nation
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