Processus électoral : le « oui, mais » de l’opposition !
2023-07-02
2023-07-02
02.07.2023
2023-07-02
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L’opposition congolaise réputée pour ses gesticulations suspectes est passée encore une fois à la manœuvre dans le dossier processus électoral. Oui à la tenue des élections, mais avant tout, le respect des préalables.
Au même moment, ces ténors disent oui au processus électoral, au même moment, les mêmes reviennent à la charge et posent des conditions avant de rejoindre le bateau. En tout état de cause, c’est la démocratie, un droit garanti par la constitution. Seulement, le fait de créer le flou dans le chef de la population n’est pas démocratique. Certaines conditions posées paraissent irréalisables au regard du temps qui reste avant les élections prévues au mois de décembre prochain.
Le bloc de Lubumbashi composé de Katumbi, Fayulu, Sessanga et Matata tient à l’Audit du fichier électoral par un cabinet d’audit externe, la recomposition du bureau de la CENI, de la cour constitutionnelle et la révision de la loi électorale. Par ces conditions, au regard du temps qui reste, les opposants chercheraient-ils un glissement ? La date du 20 décembre est-elle toujours réaliste pour l’organisation des élections ? C’est le grand dilemme certes, mais les choses doivent avancer.
Bouder le processus électoral en cours et croire à une issue heureuse des négociations avec Kadima pour obtenir satisfaction, est une perte inutile de temps à la limite de la distraction alors que le train avance.
MediaCongo Zamenga Odimbale
Zamenga Odimbale
Actu 7 / MCP, via mediacongo.net
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Tenez, un garçon echoue son examen d'Etat. Mais nous lui delivrons son diplôme, avec mention ou recommandation de se présenter à la prochaine session d'examen. Voilà notre raisonnement de congolais, le raisonnement de l'intelligentsia congolaise. Mais du moins posons nous la question si notre candidat va étudier, se préparer pour la prochaine session d'examen d'Etat. Nous ,nous sommes convaincu que non. Mais l'intelligentsia congolaise va vous dire oui . Quelle idiotie.
Et Bwana Docteur dans tout ça ? Il avance toujours caché ?
(Suite) Tshilombo et sa gouvernance du pays et du processus électorale, et non les élections à venir. En Afrique , voir même les USA, Brésil, il y'a eu contestation des résultats, des élections organisées par des institutions non partisanes
respectueuses des règles de l'art. Ainsi le mécanisme portant aux élections en RDC, ne devait même pas commencer, pour l'intérêt du pays. On ne peut donner des coups de pioche, à notre constitution et textes, c'est comme piocher sa propre maison. Mais ici la maison est commune qui va payer les dégâts, maintenant et demain ? Le peuple et non ces opposants, qui devait vigilaient sur les intérêts du peuple. En Europe aujourd'hui ,la droite, voir extrême est au pouvoir, si pas à porte du pouvoir, grâce à la foi à la démocratie et aux respect des règles. L'intelligentsia congolaise, de l'extérieur comme celle de l'intérieur, portent une grande responsabilité sur le dérive devant nous, aujourd'hui et demain.
Oui, le train avance, mais vers où ? Tshilombo a gouverné avec consensus, mieux avec une opposition tranquille, sans fracas. Mais il a fait quoi ? RIEN. Donner le jouet le plus précieux au monde à un enfant. Vous pensez quoi? il va jouer avec sans regard. Notre Tshilombo ressemble à cet enfant là Dans le concept du pouvoir de Tshilombo, que veut dire donner une majorité écrasante ? L'USN n'est pas une majorité écrasante, ou bien nous voulons un parti unique ? USN c'est un monstre juridique, qui pourrait entraver le tripotage de la constitution en chantier. Voilà la vérité, de la recherche permanente et personnelle du pouvoir de Tshilombo,avoir sa majorité non pour le développement du pays, non pour la démocratie, mais assoire son pouvoir, du clan Tshisekedi. En outre avec les mêmes règles démocratiques, un Tshilombo perdant risque la prison. Le bloc de Lubumbashi, a fait perdre du temps et l'argent de la République, en apportant son accord velouté sur les élections. En effet, la violation des textes et constitution, est la contestation phare, de fer , contre Tshilombo et sa gouvernance du pays et du processus électorale, et non les élections à...