Sport
Quelques fractions d’heures étaient suffisantes pour que le boxeur congolais Martin Bakole, réponde à l’affirmative au défi lui lançait par son confrère franco-camerounais Carlos Takam, relatif à un combat au stade Tata Raphaël.
« Depuis que je suis devenu boxeur professionnel, je n’ai jamais livré un combat en Afrique, j’aimerais que ça soit face à Bakole. J’ai appris que le stade Tata Raphaël est en rénovation, mais on peut le faire même l’année prochaine lorsque le stade va commémorer le 50ème d’anniversaire du combat qui a opposé Mohamed Ali à Georges Foreman », a indiqué Carlos Takam.
Au cœur d’une polémique depuis l’affaire de 100.000 $, le pugiliste congolais de 29 ans a laissé au gouvernement congolais de trancher s’il aurait possibilité d’organiser un combat à Kinshasa où pas.
« La Présidence RDC et Serge Nkonde Tshembo, la France veut se venger à Kinshasa bolobi nini (en Français : vous en dites quoi ?) », a-t-il posté en taguant la page officielle de la présidence.
Cette réaction de Bakole est visiblement une façon implicite pour lui dire oui à ce combat avec le boxeur franco-camerounais, tombeur du français Tony Yoka le week-end dernier, mais veut que le gouvernement congolais ait le dernier mot.
Le code à 7 caractères (précédé de « @ ») à côté du Nom est le Code MediaCongo de l’utilisateur. Par exemple « Jeanne243 @AB25CDF ». Ce code est unique à chaque utilisateur. Il permet de différencier les utilisateurs.
Réagir
Réagir
Réagir
Réagir
Réagir
Réagir
Réagir
Les plus commentés
Politique Retour en scène de Joseph Kabila : Harare, nouveau centre névralgique des alliances ?
12.04.2025, 13 commentairesProvinces Est de la RDC: comment expliquer que le groupe AFC/M23 menace de réactiver ses fronts militaires
12.04.2025, 12 commentairesPolitique « Loi Kazadi-Tshilumbayi », le texte polémique qui résiste au démenti
12.04.2025, 7 commentairesProvinces Interruption du trafic ferroviaire entre le Grand-Kasaï et le Grand-Katanga à cause d’une énorme érosion
13.04.2025, 7 commentairesOnt commenté cet article
Ils nous font confiance