Référence : AN1 308 185
Publiée le 03.03.2025
LUBUMBASHI - Lubumbashi 150 vues
Il y a quelques années, une cheffe d’État faisait ses adieux à l’armée de son pays lors d’une prestigieuse cérémonie militaire. Le choral “
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Description
Celui qui sacrifie la louange me glorifie ; et à celui qui met en ordre sa conduite je ferai voir le salut de Dieu.
Psaume 50. 23
La cérémonie d’adieu
Il y a quelques années, une cheffe d’État faisait ses adieux à l’armée de son pays lors d’une prestigieuse cérémonie militaire. Le choral “Grand Dieu, nous te louons” de Franz Ignaz (1768) retentit, puis on chanta “Je prie pour la puissance de l’amour”, de Gerhard Tersteegen (1750).
Ces deux chants expriment bien plus qu’une cérémonie d’adieu. On les retrouve dans plusieurs recueils de cantiques, et ils sont encore chantés par de nombreux chrétiens aujourd’hui. Ils expriment la grandeur de Dieu, et son amour devenu visible dans la vie et la mort de Jésus.
Dans un monde qui s’éloigne de plus en plus de Dieu, on peut se réjouir que ces chants aient retenti lors d’une cérémonie officielle, réunissant de nombreuses personnalités. Mais la grandeur de Dieu, et son amour bien davantage, devraient pousser chacun de nous à l’adoration. Oui, le Dieu à l’origine de l’univers est non seulement grand dans sa puissance créatrice, mais il est infini dans son amour. Pour moi, pour vous, pour des hommes et des femmes qui ne se soucient peut-être même pas de lui, pour les grands de ce monde comme pour les gens ordinaires, il a sacrifié Jésus Christ. Nous avons désobéi à ses lois, mais il a condamné à notre place le seul qui, justement, lui avait toujours obéi. Chacun peut reconnaître qu’un tel Dieu est digne d’être adoré. Il suffit d’ouvrir les yeux à sa merveilleuse création, et le cœur à son merveilleux amour manifesté en Jésus !
(La Bonne semence)
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