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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 aout 2024
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Politique

Qui contrôle la Ceni gagne les élections !

2020-07-21
21.07.2020
2020-07-21
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En RDC, la controverse, la grogne et les manifestations populaires ne faiblissent pas depuis la désignation de Ronsard Malonda à la tête de la Commission électorale nationale indépendante. Comment comprendre une telle mobilisation à trois ans des élections générales de 2023 ? 

En République démocratique du Congo (RDC), les jours passent et se ressemblent. Malgré l’interdiction des manifestations par les autorités, les rues des grandes villes sont prises d’assaut par la population en colère. Du côté de l’opposition politique et de la société civile, on vocifère et on promet de «se battre jusqu’au bout» pour défendre l’état de droit.

Au cœur de la contestation, qui prend de plus en plus de l’ampleur: la désignation à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de Ronsard Malonda. S’il y a un nom qui jaillit de toutes les conversations au Congo aujourd’hui, c’est bien le sien. Il est celui qui cristallise les colères à trois ans des prochaines échéances électorales en RDC.

Une brève histoire des commissions électorales africaines

L’avènement du multipartisme en Afrique a marqué une nouvelle ère dans l’histoire politique du continent. L’hégémonie des partis uniques, qui disposaient jusque-là du monopole de l’activité politique, a été vigoureusement disputée par de nouveaux mouvements qui ont vu le jour dans la foulée de ce que certains observateurs ont appelé la «transition démocratique».

Les scrutins se sont ouverts à des opposants jusque-là écartés. Si, dans certains rares cas, des adversaires du gouvernement en place ont pu se défaire de l’ordre ancien en gagnant les élections, il n’en reste pas moins que dans la plupart des votes, c’est la volonté du parti au pouvoir qui l’a emporté sur la volonté populaire. Ce qui a fait dire à l’ancien Président congolais Pascal Lissouba:

« En Afrique, on n’organise pas des élections pour les perdre ».

Cette phrase, qui est restée dans les annales des consultations populaires sur le continent, en dit long sur le rôle que revêtent désormais les élections dans la plupart des pays africains. Instruments par lesquels les citoyens désignent leurs gouvernants et participent à la gestion de la chose publique dans les pays de droit, celles-ci sont devenues un moyen par lequel certains régimes en Afrique conservent le pouvoir contre la volonté populaire.

Pour maintenir le statu quo via des simulacres de consultation populaire, la plupart gouvernements africains misent désormais sur les commissions nationales électorales. Pratiquement chaque pays en a une. Chargés de la gestion des élections, ces organes, souvent qualifiés «d’institutions d’appui à la démocratie», jouent un rôle tout aussi important que l’armée et les services de sécurité dans la préservation et la consolidation des régimes en place. Le cas de la CENI en RDC est emblématique. Rongée par la corruption, elle a la triste réputation d’organiser des élections dont les résultats ne reflètent jamais la volonté populaire.

En 2006 et en 2011, la commission a proclamé des scores qui, de l’avis même de la société civile, et plus particulièrement de l’Église catholique –institution centrale en RDC qui a des observateurs à travers le pays–, ne reflétaient pas «la vérité des urnes», pour reprendre une expression à la mode en RDC. Idem en 2019, où elle a communiqué les résultats globaux des élections alors que les opérations de dépouillement dans certaines villes n’étaient pas encore terminées. On découvrira même que dans des régions, les bulletins de vote n’avaient pas été dépouillés.

Et face aux critiques des observateurs étrangers et de la société civile, les responsables de la CENI ont toujours cette formule imparable:

« Les irrégularités constatées ne remettent pas en question l’ordre d’arrivée ».

Pour cela, ils peuvent compter sur la complaisance de la Cour constitutionnelle qui, à l’instar de la commission électorale congolaise, a toujours cautionné les irrégularités et la fraude pour le compte du parti au pouvoir...

«Tout le monde sauf Ronsard»


Ronsard Malonda

Depuis 2006, la CENI a coordonné trois élections présidentielles, toutes contestées aussi bien par les candidats malheureux que par les organisations de la société civile et les observateurs étrangers. Chaque scrutin a été l’occasion de questionner la probité, l’intégrité et la neutralité de ceux qui président l’institution: l’abbé Apollinaire Malu-Malu en 2006, le pasteur Daniel Ngoy Mulunda en 2011 et Corneille Nangaa Yobeluo en 2018. Tous provenant du parti au pouvoir ou réputés être proches de celui-ci.

En RDC, qui contrôle la CENI contrôle les élections et, par voie de conséquence, gagne les élections. Bien que les partis d’opposition disposent de représentants à la commission électorale, il n’en demeure pas moins que le président de l’institution est et reste celui qui proclame le gagnant du scrutin… parfois avec la complicité de certains représentants de l’opposition qui préfèrent fermer les yeux moyennant quelques billets verts. En clair, le président de la CENI est le maître incontesté du jeu électoral... piloté bien entendu à partir de la présidence.

Avoir la personne qu’il faut à la tête de cette commission est une question de vie ou de mort tant pour le parti au pouvoir que pour l’opposition politique et la société civile. C’est la raison pour laquelle la désignation de Ronsard Malonda dans des circonstances calamiteuses ne cesse de déchaîner les passions. Proche collaborateur du président sortant de la CENI Corneille Nangaa, il est aussi soupçonné de rouler pour le FCC (Front commun pour le Congo), la plateforme dirigée par l’ancien Président Joseph Kabila. Pour l’opposition et la société civile, un seul mot d’ordre: «Tout le monde sauf Ronsard»...

La position inconfortable de Félix Tshisekedi


Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo

S’il y a une personne que la désignation de Ronsard Malonda place dans une position inconfortable, c’est bien l’actuel Président congolais, Félix Tshisekedi. La victoire électorale de ce dernier, fruit non pas du choix populaire mais d’un «deal» scellé avec le FCC, n’avait été proclamée par la CENI et défendue devant la Cour constitutionnelle par nul autre que Ronsard Malonda... pourtant contesté aujourd’hui par son parti, l’UDPS. Une terrible équation pour le numéro un congolais qui doit manœuvrer dans un environnement politiquement chargé de sorte à ne pas bousculer les susceptibilités des alliés du FCC –lesquels défendent le maintien de Ronsard Malonda à la tête de la CENI– tout en cherchant à ne pas attiser la colère des militants de l’UDPS qui rejettent la désignation de celui-ci.

Bien que sa marge de manœuvre semble réduite, Félix Tshisekedi, aux dernières nouvelles, a quand même pris fait et cause pour les contestataires en refusant d’entériner la nomination de Ronsard Malonda à la tête de la commission électorale. Dans sa réponse adressée à la présidente de l’Assemblée nationale, qui avait confirmé la désignation de Ronsard Malonda à la grande colère de l’opposition, le chef de l’État constate: « L’information selon laquelle Ronsard Malonda a été désigné à l’issue d’un processus interne aux confessions religieuses est fortement contestée en fait comme en droit par certains membres de cette composante ».

Il évoque à titre d’exemple l’Église du Christ au Congo (ECC), l’Église catholique et l’Église Kimbaguiste qui n’ont pas fait mystère de leur opposition au choix porté sur Ronsard Malonda. Sur ce dernier point, le Président congolais a parfaitement raison et, s’en remettant à la position des confessions religieuses, habilitées à choisir le président de la CENI, pour justifier sa décision, Fatshi (surnom donné à Félix) se tire subtilement d’affaire sans susciter l’ire de ses partenaires du FCC qui insistent pour que Malonda soit maintenu à la tête de l’institution.

Conscient du fait que Ronsard Malonda et le FCC connaissent la vérité sur les résultats des élections de 2019 et détiennent de «petits secrets de famille» sur son arrivée au pouvoir, Félix Tshisekedi, de lui-même, ne peut courir le risque de récuser ouvertement la désignation à la tête de la commission électorale de celui qui a défendu sa victoire contestée devant la Cour constitutionnelle envers et contre tous. Comme Ponce Pilate devant statuer sur le cas du Christ, il a préféré s’en laver les mains en s’en remettant aux confessions religieuses qui, non seulement sont chargées de choisir la personne qui doit diriger la CENI mais aussi s’opposent avec véhémence à la désignation problématique de Ronsard Malonda. Sa décision, jugée «courageuse» par les uns et saluée par les autres, ne sonne pas pour autant la fin de la partie, et rien n’indique que le futur président de la commission électorale ne proviendra tout de même pas du FCC...

Patrick Mbeko
Sputnik News / MCP, via mediacongo.net
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Le livre ouvert @U7NPB7H   Message  - Publié le 22.07.2020 à 14:32
Qui contrôle la CENI gagne nécessairement les élections lorsque la tricherie est au rendez-vous.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 21.07.2020 à 22:23
(suite). Ces leaders politiques ne s'entretuent pas, les populations ne manifestent pas contre les Russes. Les leaders s'occupent de comprendre,défendre les intérets des leurs peuples eecc au Congo , en Afrique non. Plus un leader lèche les bottes du blanc, plus il se sent gratifier. Au Congo, nous voulons des élections; libres, transparentes, crédibles, tant des qualifications que 90 % des congolais ne savent pas l'implication des ces mots dans un processus démocratiques. Nous nous imposons des critères que nous ne pouvons nous permettre meme dans un siècle. Donc il y'a un problème de la CENi, mais surtout manque du culturel au peuple, et ses leaders.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 21.07.2020 à 22:21
(suite) Dans le passé Jacques Focard passait dans les pays Africains pour réccolter l'argent pour des élections en France, en échange du maintient du dictateur du tour. Nous avons le cas de Ghedafi et Sarkozy. Ni en France ou en Libye, il y' a eu des manifestations contre Sarkozy. Nous, nous subissons les intoxications de tout genre la part de l'occident, et nous n'avons pas les moyens des nous défendre, par manque des leaderships patriotiques. Nous préférons nous entretuer que de dénoncer les pratiques de l'occident et ses lobbyes. Aujourdh'ui l'occident se lemente de l'intromission des russes dans leurs élections. Les leaders politiques ne s'entretuent pas, les populations ne manifestent pas contre les Russes. Les leaders s'occupent de comprendre,défendre leurs peuples eecc au Congo , en Afrique non. Plus un leader lèche les bottes du blanc, plus il se sent gratifier. Au Congo, nous voulons des élections; libres, transparentes, crédibles, tant des qualifications que 90 % des congolais ne savent pas l'implication des ces mots dans un processus démocratiques. Nous nous imposons des critères que nous ne pouvons nous permettre meme dans un siècle. Donc il y'a un...

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 21.07.2020 à 22:19
C'est une analyse stupide pour simplement alimenter un débat sans objectif pour le peuple. Il y'a une raison, qui distingue l'occident et les nouvelles démocraties, cdà le niveau de maturité d'un peuple. Plus un peuple est mur plus ce peuple accepte les résultats. Au Congo, l'udps nous a fait raté le train et la comprehension des élections donc de la dèmocratie. La misère est si grande que tout opposant, peut réclamer les résultats à chaque élection ce qui est faux. Mais la chose la chose la plus importante ce que nous ne parlons pas assez des alentours des élections. Dans le passé Jacques Focard passait dans les pays Africains pour réccolter l'argent pour des élections en France, en échange du maintient du dictateur du tour. Nous avons le cas de Ghedafi et Sarkozy. Ni en France ou en Libye, il y' a eu des manifestations contre Sarkozy. Nous, nous subissons les intoxications de tout genre la part de l'occident, et nous n'avons pas les moyens des nous défendre, par manque des leaderships patriotiques. Nous préférons nous entretuer que de dénoncer les pratiques de l'occident et ses lobbyes. Aujourdh'ui l'occident se lemente de l'intromission des russes dans...

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Lumumba @QK7546S   Message  - Publié le 21.07.2020 à 19:36
Si Malonda était la pièce maitresse de la fraude électorale comme l'a dit Abbé Ashole, Alors Felix doit tirer toute les conséquences, d'ailleurs lui aussi conteste la désignation de ce dernier. On ne doit pas haïr la poule et aimer les oeufs. L'UDPS manifeste la tricherie de l'élection qui a emmené son leader au pouvoir, quelle contradiction? En bon démocrate, Antoine Tshilombo devrait déjà déposer sa démission, sinon exiger la publication de vote bureau par bureau pour dissiper tout malentendu et les revendications de la vérité des urnes menées par Martin Fayulu.

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Lumumba @QK7546S   Message  - Publié le 21.07.2020 à 19:33
Si Malonda était la pièce maitresse de la fraude électorale comme l'a dit Abbé Ashole, Alors Felix doit toute les conséquences, d'ailleurs lui aussi conteste la désignation de ce dernier. On doit haïr la poule et aimer les oeufs. L'UDPS manifeste la tricherie de l'élection qui a emmené leur son leader au pouvoir, quelle contradiction? En bon démocrate, Antoine Tshilombo devrait déjà déposer sa démission, sinon exiger la publication de vote bureau par bureau pour dissiper tout malentendu et les revendications de la vérité des urnes menées par Martin Fayulu.

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Les Sans Foufous @5G4VXIJ   Message  - Publié le 21.07.2020 à 19:18
RDC OU EQUATION IMPOSSIBLE Nous tournons en rond depuis la Table Ronde de Bruxelles. Il faut donc, à tout prix et à n'importe quel prix, BALKANISER la RDC! Malheur à ceux qui comprennent toujours en retard

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Baptiste LUSHOMBO @5R95AUL   Message  - Publié le 21.07.2020 à 18:48
Une CENI qui nomme les députés et les dirigeants! Il sert à quoi de dépenser les millions du contribuable congolais tout en sachant que les résultats de vote ne seront pas considérés? Est-ce que ces acteurs qui animent la CENI et qui s’appellent des hommes de Dieu et acteurs de la société civile savent qu’ils contribuent au malheur de toute la nation congolais et désignant des personnes qui ne sont pas le choix du peuple ? A cause de la corruption, vous contribuer au malheur de toutes nos générations.

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 21.07.2020 à 18:28
ouvrez grand vos yeux tout celui qui seras nommer a la CENI un Congolais aussi tot il change de vertue pour de l'argent, le luxe un des heritages de l’époque Mobutu,l'opulence relayer par nos artistes a l'image de Koffi,Fally,FERRE et les autres, il faut se faire voir et montrer sa réussite et vos soit disant disant homme d'affaires comme Eric Mandala,Didi Kinwani c'est ca votre RDC a moins de solliciter un étranger présider la CENI,regarde dejas la voiture de FELIX un lexus 570 XL de plusieurs milliers de dollars le peuple d'abord un land cruiser c’était plus suffisant pour lui pourtant des milliers de ce jeeps sont disponible pour les politiciens congolais

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TJB @26JI5QT   Message  - Publié le 21.07.2020 à 16:22
Les élections,toutes les élections jusqu'à ce jour,même les futures,sans un recensement général avant ne seront pas le reflet de la réalité Même pour le développement de l'état,le recensement est un préalable,l'identification et la localisation des habitants du Congo,l'âge,le nombre etc ;

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:59
@SALIMA Ce n'st pas à vous un des intellectuels reconnus de ceform que nous allons apprendre les réalisations de HAILEMARIAM DESALEGN , l’ancien Premier ministre éthiopien/Et puis observez:au lieu de se préOccuper CONTRE la destrucion de l' économie, chutte du francs,salaires honteusement élévés pour une minorité, ON EST DISTRAIT par des chamailleries sur les élections:est ce la mission MBATA Kiela est mieux après 5 élections que avant l' indépépndance sans élections ?. CONFIONS LES ELECTIONS A UN AFRICAIN intègre et incorruptible qu'est HAILEMARIAM DESALEGN , l’ancien Premier ministre éthiopien, I

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Salima @TTYVYQL   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:47
@Anaonyme, cet éthiopien a-t-il résolu les problèmes chez lui en Éthiopie. Il faut que les vrais congolais cessent de se proclamer toujours africains. Les éthiopiens appellent quels africains chez eux pour résoudre leur problèmes alirs qu'ils ont même l'UA dans leur capitale. Les africains, c'est aussi l'enfer pour le Congo.

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:40
SHAKA a raison! La corruption en RDC régis TOUT et sans HONTE:regardez la procès de Blatner, nous avions dit que si ce mr RISSICHIME est condamné,alors la RDC est sur la bonne voie: Blatner pas lavé mais libéré car le tribunal découvre A LA FIN qu'il n' est pas compétenT

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:34
@SALIMA vous oubliez que chez les congolais LA CORRUPTION a atteint même les villages:: OBSERVEZ comment les chefs coutumiers dévalorisent la culture traditionnnelle contre de l' argent en intrônisant tous les politiciens corrompus Si il le veut today TSHILOMBO peut, contre de l 'argent, aller se faire "investir" Mfumu di Kikanda même chez vous ou chez nous:CONFIONS LES ELECTIONS A UN AFRICAIN intègre et incorruptible qu'est HAILEMARIAM DESALEGN , l’ancien Premier ministre éthiopien, I

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SHAKA @2ZKD172   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:29
il est illusoire de penser que celui qui contrôle la CENI gagne les élections, la RDC est un pays corrompue ,qui siégés a l'ancienne CENI ? il n'y a pas que le FCC si non les autres n'allés pas participer aux élections a l'époque il y avait aussi consensus a la désignation de NANGA ,les contestations ne viennent qu'après les élections ,a savoir en RDC ceux qui ont l'argent gagnent les élections ,les membres de la CENI sont corruptibles vos propres membres peuvent vous lâchés pour des dollars, un exemple en 2006 pour la présidence du sénat KENGO de l'opposition gagne la présidence du sénat contre SHE OKITUNDU grace a la corruption des nouveaux députés PPRD

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OPINION LIBRE @6MS7AT2   Message  - Publié le 21.07.2020 à 15:07
Tout le monde le sait et raison pour laquelle Malonda est chahuté Ayant "fait gagner " il peut aussi "faire perdre " ce que pensent les contestataires d un bord En Rdc on est nombreux sans coloration politique et prêts à assurer des scrutins sincères et honnêtes Qu on lance une offre et on verra.

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Salima @TTYVYQL   Message  - Publié le 21.07.2020 à 14:36
Ces mêmes bureaux locaux recensant aussi la population de chez eux et en assumant la responsabilité s'ils ne s'y prennent pas bien. Ainsi, citoyenneté bien définie et des électeurs bien comptés + des bureaux de simple arithmétique électorale, on supprime tout ce qui est episode dramatic dans la politique au pays. Et on supprime l'affairisme par le même coup.

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Salima @TTYVYQL   Message  - Publié le 21.07.2020 à 14:29
On doit supprimer simplement la Ceni et décentraliser la fonction élections en simple bureau citoyen au niveau de chaque autorité locale qui en assumera la pleine responsabilité vis-à-vis de ses sa communauté. Pas bedoin d'emmener des africains ou autres individus qui ne sont là que pour se remplir les poches et n'apporteront rien qui vaille.

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anaonyme @92D3XD4   Message  - Publié le 21.07.2020 à 14:20
ON DOIT SUPPRIMER CETTE CENI et tout confier à HAILEMARIAM DESALEGN , l’ancien Premier ministre éthiopien, Invité d’honneur de Moussa Faki Mahamat, le président de la commission de l’UA, au sommet de Nouakchott, en juillet 2018, il s’est beaucoup investi au sein de l 'UA. Il a ainsi dirigé deux missions d’observation, l’une au Zimbabwe pour la présidentielle de juillet 2018, l’autre au Nigeria pour le scrutin de février 2019. Donnez à HAILEMARIAM DESALEGN ,de A à Z TOUTE 'organisation des élections sans impliquer LES TENDANCES politiques de RDC:VOUS AUREZ DES ELCTIONS SAINES CREDIBLES ET SANS CONTESTATIONS

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TJB @26JI5QT   Message  - Publié le 21.07.2020 à 14:09
Qui contrôle la CENI,est sûre de ne pas se faire voler les élections Félix son dilemme est qu'il sait qu'il est devenu président grâce à cette Ceni qui est sous contrôle de kabila A-t-il été réellement élu?On peut en douter,lui même Félix le sait et en a certainement la certitude sinon pourquoi rejeter Malonda Simplement parceque ceux qui l'ont mis là hier peuvent le faire perdre demain.

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