Les incohérences du dossier RC33025 de la TGI de KALAMU

Votre rédaction a été approchée par certains auxiliaires de justice contre la manière dont le procès du dossier RC33025 TGI de KALAMU est mené. Parce qu’ils nous ont confié qu’ils ne peuvent plus continuer à cautionner des pratiques inciviques d’un réseau développé à la TGI précitée de vente des parcelles d’autrui. Ils espèrent saisir par cette occasion les autorités pour qu’une équipe d’audit passe en revue ce dossier pour attraper ces inciviques qui ternissent non seulement l’image de la justice mais aussi navigue au sens contraire de la vision du Chef de l’Etat FATSHI.
En effet, selon nos investigations qui continuent, nous allons bientôt étaler au grand jour un réseau maffieux de vente des parcelles d’autrui occasionnée par un huissier et un OPJ de la TGI de KALAMU mieux identifiés dans les documents en notre possession de mèche avec certains juges. Après leurs analyses, ci-dessous les incohérences qui sont en évidence mais que les juges en connivence refusent de les sortir à la surface pour faire comprendre la partie civile qu’il ne pourra pas gagner un procès avec un usage de faux en écriture qui ressortent de ces documents :
1ère incohérence : comment est-il possible quelqu’un qui achète une maison en 1982 porte plainte aux propriétaires de ladite maison 40 ans après c’est-à-dire le 12 mai 2022 ?
2ème incohérence : le dossier de fond d’avance (DFA) du premier propriétaire (l’accusé) porte le n°1924 du 11/01/1954 apuré en date du 11/07/1991 par attestation d’apurement n°1032 de l’Office National de Logement alors que le DFA de la partie civile porte le n°8399 du 26/10/1982 sans attestation d’apurement ;
3ème incohérence : même au niveau de l’hôtel de ville de Kinshasa, il est connu que les carnets parcellaires portant un numéro S.D comme celui de la partie accusée n°66032 sont inattaquables. Par contre, la partie civile est incapable de produire le même document détenu par les propriétaires des maisons gérées par O.N.L jadis ;
4ème incohérence : une même maison ne peut avoir un DFA n° 1924 et un DFA n°8399 pour la simple raison la description faite dans le rapport non daté de l’expert immobilier MASSIMANGO-BIN-MOLEMA versé dans le dossier de justice par la partie civile signale au point 2.6 la présence d’une cheminée alors que cet élément n’existe pas dans la maison de l’accusé ;
5ème incohérence : la notification de dossier de succession n°48166/2020 versée comme pièce n°18 dans le dossier de justice par la partie civile référencée n°JUST.0513/225/DPJ/SUCC/TB/2020 n’a pas des cachets d’accusé de réception de tous les récipiendaires à savoir le Directeur de la 3ème direction de la chancellerie du ministère de justice, le Président du tribunal de grande instance de Kinshasa/Kalamu, le Conservateur des titres immobiliers Circonscription Kasa-Vubu, le chef de division urbaine de l’Habitat/Funa, Le Bourgmestre de la commune de Kalamu et le chef de quartier Matonge ;
6ème incohérence : toute assignation logique reprend dans sa dernière page la mention Dont acte et Coût pour réception, mais curieusement tout est vide !
Nous continuerons à suivre ce dossier jusqu’à ce qu’on apprenne qu’il a été classé sans suite et le réseau maffieux démantelé. Car, ce sont des telles incohérences dans la justice qui font fuir les justiciables et font insulter tous les juges alors qu’ils ne sont pas tous médiocres.
Le livre ouvert à votre service pour repousser les antivaleurs sous toutes ses formes.
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Référence : AN1 126 006 Publiée le 11.06.2022 KINSHASA 1002 vues

Les incohérences du dossier RC33025 de la TGI de KALAMU

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Votre rédaction a été approchée par certains auxiliaires de justice contre la manière dont le procès du dossier RC33025 TGI de KALAMU est mené. Parce qu’ils nous ont confié qu’ils ne peuvent plus continuer à cautionner des pratiques inciviques d’un réseau développé à la TGI précitée de vente des parcelles d’autrui. Ils espèrent saisir par cette occasion les autorités pour qu’une équipe d’audit passe en revue ce dossier pour attraper ces inciviques qui ternissent non seulement l’image de la justice mais aussi navigue au sens contraire de la vision du Chef de l’Etat FATSHI.
En effet, selon nos investigations qui continuent, nous allons bientôt étaler au grand jour un réseau maffieux de vente des parcelles d’autrui occasionnée par un huissier et un OPJ de la TGI de KALAMU mieux identifiés dans les documents en notre possession de mèche avec certains juges. Après leurs analyses, ci-dessous les incohérences qui sont en évidence mais que les juges en connivence refusent de les sortir à la surface pour faire comprendre la partie civile qu’il ne pourra pas gagner un procès avec un usage de faux en écriture qui ressortent de ces documents :
1ère incohérence : comment est-il possible quelqu’un qui achète une maison en 1982 porte plainte aux propriétaires de ladite maison 40 ans après c’est-à-dire le 12 mai 2022 ?
2ème incohérence : le dossier de fond d’avance (DFA) du premier propriétaire (l’accusé) porte le n°1924 du 11/01/1954 apuré en date du 11/07/1991 par attestation d’apurement n°1032 de l’Office National de Logement alors que le DFA de la partie civile porte le n°8399 du 26/10/1982 sans attestation d’apurement ;
3ème incohérence : même au niveau de l’hôtel de ville de Kinshasa, il est connu que les carnets parcellaires portant un numéro S.D comme celui de la partie accusée n°66032 sont inattaquables. Par contre, la partie civile est incapable de produire le même document détenu par les propriétaires des maisons gérées par O.N.L jadis ;
4ème incohérence : une même maison ne peut avoir un DFA n° 1924 et un DFA n°8399 pour la simple raison la description faite dans le rapport non daté de l’expert immobilier MASSIMANGO-BIN-MOLEMA versé dans le dossier de justice par la partie civile signale au point 2.6 la présence d’une cheminée alors que cet élément n’existe pas dans la maison de l’accusé ;
5ème incohérence : la notification de dossier de succession n°48166/2020 versée comme pièce n°18 dans le dossier de justice par la partie civile référencée n°JUST.0513/225/DPJ/SUCC/TB/2020 n’a pas des cachets d’accusé de réception de tous les récipiendaires à savoir le Directeur de la 3ème direction de la chancellerie du ministère de justice, le Président du tribunal de grande instance de Kinshasa/Kalamu, le Conservateur des titres immobiliers Circonscription Kasa-Vubu, le chef de division urbaine de l’Habitat/Funa, Le Bourgmestre de la commune de Kalamu et le chef de quartier Matonge ;
6ème incohérence : toute assignation logique reprend dans sa dernière page la mention Dont acte et Coût pour réception, mais curieusement tout est vide !
Nous continuerons à suivre ce dossier jusqu’à ce qu’on apprenne qu’il a été classé sans suite et le réseau maffieux démantelé. Car, ce sont des telles incohérences dans la justice qui font fuir les justiciables et font insulter tous les juges alors qu’ils ne sont pas tous médiocres.
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