Référence : AN1 124 976
Publiée le 02.05.2022
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Génération désenchantée
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Description
Je n’ai pas honte, car je sais qui j’ai cru.
2 Timothée 1. 12
J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi : désormais, m’est réservée la couronne de justice que le Seigneur, le juste juge, me donnera dans ce jour-là.
2 Timothée 4. 7, 8
Génération désenchantée
Une manifestante confiait à un journaliste : “Je fais partie de la génération désenchantée. Nous ne connaissons que la précarité. À quoi bon suivre des études si cela ne débouche pas sur un travail ? À quoi bon se projeter dans l’avenir si la planète est en train de mourir ?”
Beaucoup s’interrogent, et sont désenchantés par la vie actuelle. Les sociétés modernes ont vu les progrès techniques et scientifiques améliorer leur confort de vie, pourtant le bonheur n’est pas au rendez-vous. Les fondements moraux sur lesquels reposait la société sont rejetés et disparaissent petit à petit. Est-ce qu’il ne nous reste plus qu’à vivre chacun pour soi, au jour le jour ?
L’apôtre Paul décrivait sa vie ainsi : “Nous souffrons et la faim et la soif, nous sommes dans le dénuement, nous sommes maltraités et errants, nous prenons de la peine, travaillant de nos propres mains ; injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous le supportons ; calomniés, nous supplions : nous sommes devenus comme les balayures du monde…” (1 Corinthiens 4. 11-13).
Cette vie ne ferait envie à personne. Pourtant Paul nous invite à l’imiter ! Il était incompris et méprisé, mais il avait une certitude au fond du cœur, celle d’appartenir à Dieu. Jésus était devenu son Sauveur et avait transformé sa vie. C’est en lui qu’il se confiait pleinement. Il ne regrettait donc rien. Il n’était pas désenchanté, malgré ses nombreux sujets de souffrance. Relisons la belle conclusion qu’il fait de sa vie dans les textes du jour. Il ne l’attribuait pas à ses capacités, mais à son Seigneur.
(La Bonne semence)
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