Désignation du président de la CENI, les religieux en réunion ce week-end (ECC)
2020-09-09
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09.09.2020
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D'ici la fin de la semaine, il y aura une réunion de la plateforme des confessions religieuses pour statuer sur le dossier (de désignation du candidat président de la Commission électorale nationale indépendante", annonce le Pasteur Eric Nsenga, porte-parole de l’Eglise du Christ au Congo (ECC).Sur TOP CONGO FM, il fait savoir que pour l'heure, "des consultations continuent au niveau de chaque confession religieuse pour essayer de réfléchir, d'abord, à l'interne pour voir comment affronter les choses à partir de la rentrée parlementaire de septembre".
Et en parallèle, il indique que "nous avons un consortium qui milite pour les réformes électorales".
Le dossier Malonda appartient au passé
Le porte-parole de l'ECC renseigne que "les confessions religieuses se sont déjà réunies par le secrétariat technique dirigé par l'église catholique".
Il révèle que "nous avons essayé de passer en revue la situation, les responsabilités ont été établies pour situer à quel niveau les choses ont biaisé. Il a été retenu de manière claire et unanime que le dossier Malonda appartient au passé".
Le révérend Éric Nsenga tranche : "pour nous, c'est une question sur laquelle nous ne reviendrons pas".
Le Pasteur protestant lance : "nous espérons que Madame la présidente (de l'Assemblée nationale) aura le bon sens de renvoyer la question au niveau des confessions religieuses (à qui revient la charge) de désigner" le candidat président de la CENI.
MediaCongo
Top Congo Fm / MCP, via mediacongo.net
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Vianey K J | D4AT8JG - posté le 09 09 2020 à 09:40, nous avons tjrs commenté et discuté sur l'actualité dans ce forum bien avant Félix. Nous le ferons encore longtemps après lui. C'est peut-être de votre coin qui discutent la politique depuis le cadeau que vous a fait JKK.
Les confessions religieuses, vous faites la honte. En âme et conscience, vous pensez que l'assemblée nationale peut revenir su un entérinement déjà validé??? ça ne se fait nulle part au monde. la seule solution est peut-être une concertation politique; car la politique prime sur tout. sinon, le rétropédalage est impossible.
Disons MERCI à FATSHI car aujourd'hui tout le monde peut se lever de grand matin et commencerà analyser la situation politique comme il l'entend et avec n'importe quelles expressions ce qui n'était pas faisable il y peu. MERCI FATSHI.
Mais si Félix avait salué et validé la candidature de Ronsard MALONDA, Mr IMONGA, tu allais crier à la reconnaissance de "celui" qui l'a " fabriqué". Il s'y oppose, cela devient un GRAND PECHE. Mais dans ce pays comment réflechit-on? Toujours motivé par la HAINE?
Le fait que Félix crache sur Ronsard Malonda est en soi une marque de reconnaissance qu'il n'a pas remporté les dernières élections et que sa victoire est le fruit d'une machination téléguidée par JKK et son FCC ; Sinon, Félix aurait dû promouvoir Ronsard Malonda. Toutes ces manœuvres sont juste pour placer son pion à la tête de la CENI et présagent des élections encore plus biaisées que celles de 2018. Nous savons tous que qui contrôlent la CENI gagne les élections
L'émission APJ est de Télé 50. Notre constitution dit :" Les ordonnances du Président de la République sont contresignées par le Premier Ministre sans une autre variante genre "ou par celui qui assume son intérim" mais ces jeunes avocats, sans expérience aucune soutiennent que le pouvoir du Chef de l'Etat ne peut être aliéné par la contre signature d'un premier ministre. Où allons nous? La dictature qui prend racine risque d'être plus féroce que celle qu'Etienne Tshisekedi a combattue.
Notre Président de la République est mal entouré, ceux qui devraient porter ses mallettes sont des inexpérimentés au vrai sens du mot tel ce jeune avocat passé hier soir dans l'émission "Au Peuple de Juger", en abrégé "APJ", tel autre jeune avocat qui soutenait les ordonnances du Président de la République sur les antennes de la radio Top Congo qui faute d'arguments, conclut comme ceci: Les deux avocats ne sont pas aimés par la population et le Président de la République est le garant de toutes les institutions, il doit s'assumer". C'est malheureux.
Le Président de notre République est entouré des jeunes turcs très virulents, très violents mais sans aucune expérience. Rappelons nous le cas de ce jeune conseiller à la présidence de la République qui roulait à tombeau ouvert, gyrophares allumées et dans le sens inverse. Il allait cogner le général Numbi et la garde de ce dernier l'avait stoppé net et avait troué ses roues. Savez vous comment notre jeune mec avait réagi? Réponse: " Nous de la présidence, sommes autorisés à rouler dans le sens inverse".
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Révérend Éric Nsenga