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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 05 mars 2024
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Politique

Opposition radicale : retour au dialogue !

2017-07-21
21.07.2017
2017-07-21
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Même le Congolais lambda y voit un peu plus clair maintenant : les radicaux de l’opposition ne courent pas du tout derrière une prétendue « alternance démocratique immédiate au sommet de l’Etat ». Ce qu’ils veulent, c’est ce fameux sommet de l’Etat, le ‘top job’ à tout prix. Pas nécessairement par la voie des urnes, c’est-à-dire, des élections qui obligent d’en passer par le retour souverain primaire. C’est toujours pour un schéma non électoral, donc non démocratique, qui privilégie des pourparlers ou des conciliabules entre initiés de la scène politique, présentés comme la solution ultime à la crise… du retard électoral qu’ils militent.

L’échec, au moins partiel, du dialogue modéré en faveur des radicaux de l’opposition par un groupe d’évêques « militants » de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) fin mars dernier semble les relancer sur ces sentiers de la guerre. Félix Tshilombo, le fils du défunt opposant rd congolais Etienne Tshisekedi, a voulu prendre les devants d’une nouvelle croisade anti-électorale en préconisant « une transition de six mois sans Joseph Kabila » si des élections impossibles à tenir techniquement avant fin 2017 ne sont pas organisées. « Nous désignerons par consensus une personnalité comme président de la transition […] mais qui ne peut être candidat à la présidentielle pour conduire le pays aux élections crédibles », a expliqué l’héritier autoproclamé de la « fille aînée de l’opposition rd congolaise », qui s’est accaparé des rênes de l’UDPS sans aucune forme de procédure démocratique.

Transition sans Kabila

« On sait que le fils Tshisekedi n’est pas nécessairement une lumière », fait observer ce député de l’opposition « modérée ». Il ne croit pas si bien dire : les initiatives brouillonnes de Fatshi ne font pas l’unanimité, même dans les rangs de l’opposition dont il revendique une sorte de leadership « naturelle » qui ne dit pas son nom. Parce qu’entretemps, c’est-à-dire depuis la fin du dialogue dit du Centre catholique interdiocésain de Kinshasa, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts … vers la tenue effective des scrutins électoraux en RD Congo. S’il s’avère, certes, que les élections pourront pas se tenir à la fin du mois de décembre 2017, il n’en est pas moins évident qu’il est de plus en plus certain qu’elles se tiendront. Parce que le cap de 85% d’électeurs enrôlés a été atteint et que la Ceni a annoncé la semaine dernière le lancement des opérations d’enrôlement dans les provinces Kasaïennes. Dont Félix Tshilombo Tshisekedi, élu député de la circonscription de Kabeya Kamwanga en 2011, est originaire.

Devant les caméras d’une chaîne de télévision émettant à Kinshasa, Delly Sessanga, patron d’un petit parti politique de l’opposition radical (L’Envol) dont il est l’unique député élu à Luiza (Kasai central), s’est montré plus que réservé face aux élucubrations de son collègue Tshilombo. Le coordonnateur de l’Alliance pour le Renouveau, une plateforme (toute aussi petite) du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement/Katumbi avait en effet rétorqué que les propos de Félix Tshisekedi n’engagaient que lui. Pour Delly Sessanga, l’Accord conclu le 31 décembre 2016 « court encore ». Tout, à son point de vue, doit se faire dans le cadre de cette entente de partage de pouvoir et d’organisation des élections.

Respect de l’Accord

Chez les modérés, comme à l’UNC de Vital Kamerhe, l’idée d’une nouvelle transition est perçue comme saugrenue, ou presque. Jean-Baudouin Mayo, le secrétaire inter-fédéral du parti de Vital Kamerhe, s’en est insurgé. « Solliciter une nouvelle transition à d’autres dialogues, c’est congédier l’Accord de la Saint Sylvestre et par ricochet, faire sans le savoir, le jeu de la MP qui ne jure que par l’étirement indéfini du glissement pour s’éterniser au pouvoir », a-t-il expliqué à nos confrères de Politico.cd le 16 juillet dernier. « Le combat aujourd’hui est de faire appliquer intégralement l’accord du 31 décembre 2016, du moins dans ce qu’il a de plus essentiel, à savoir l’organisation des élections avant le 31 décembre 2017 ».

85% d’électeurs enrôlés

Sur la question, la Ceni est claire : point d’élections possibles avant fin 2017, même si le chemin parcouru est de loin plus long que celui qui reste à faire, expliquait la semaine dernière son vice-président, Norbert Basengezi. Un calendrier électoral conséquent, réclamé à cor et à cri par la classe politique, sera rendu public à la fin des opérations d’enrôlement des électeurs et après l’adoption d’un certain nombre de lois relatives à l’organisation des élections à l’Assemblée nationale, au dernier trimestre 2017. Qui appellera à des discussions entre acteurs politiques pour convenir de nouveaux délais électoraux, inévitablement. C’est ce que laisse entendre l’UNC Mayo Mambeke en déclarant que « la Ceni est dans l’obligation de publier un calendrier électoral conséquent en indiquant, s’il échet, les contraintes que tout le monde va s’atteler à résoudre pour rendre possible la tenue des élections dans le délai… ». Mais il n’est pas seul sur ce terrain plus ou moins dialoguiste. L’ancien ministre de l’industrie du gouvernement Matata, Germain Kambinga, qui trône désormais à la tête de son propre parti politique, est plus péremptoire encore sur la question. Puisqu’il prône carrément une nouvelle période de tansition… de quelque 2 années, pour permettre l’organisation d’élections sérieuses, selon cet ancien du MLC de Jean-Pierre Bemba.

Appeler à une impossible transition sans Joseph Kabila ou s’engager pour une application intégrale désormais impossible de l’Accord de la Saint Sylvestre, ou encore à des discussions sur le calendrier électoral à rendre public par la Ceni, c’est du pareil au même. C’est un appel au dialogue ou à de nouvelles négociations dont la portée reste à définir.

J.N.
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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 22.07.2017 à 12:16
Maudit sois tu ta place est au CNPP.

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Maudit sois tu KANAM @JKC6677   Message  - Publié le 22.07.2017 à 09:27
Moi je propose une transition sans Kabila,càd le président de la CENCO sera président de la république de cette transition,Fatshi président de la CNSA et TSHIBALA reste où il est,mais on change NANGAA,MINAKU,MENDE,SHADARY,KENGO,MAKILA,THAMBWE MWAMBA,KINKEY MULUMBA,et autres dans ce gouvernement de transition sans KABILA Comme ca pour une fois un abbé puisse nous amener à des saines élections.

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Tarzan moteur. @UH9WW5U   Message  - Publié le 22.07.2017 à 05:42
Les bons parleurs ne sont pas les bons faiseurs(loba loba sala sala rien). Félix et sa bande parlent bcp mais zéro action.

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Musa @G14FZFF   Message  - Publié le 22.07.2017 à 00:09
CENCO que voulez vous parler de transition sans Kabila. Debout congolais. Mobilisez le peuple et on vous attend de donnez le mot d'ordre a la population pour chasser Joseph Kabila maintenant. Nous sommes pres de manifester dans la rue jusq'au PALAIS DE LA NATION donc Palais du peuple pour prendre toutes les choses en main. Soulevement populaire doit commencer maintenant sans retard. SVP donnez le mot d'ordre au peuple.

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Mampuya @GFNVXBG   Message  - Publié le 21.07.2017 à 19:09
Felix n'est pas obbliger de raisonner. A chaque fois qu'il le fait il y'a seulement du degat. Pas de transition, nous sommes dans le schema de Konjo depuis longtemps. Les palabres c'est autre chose, nous pouvons y aller à tout moment, cela fait parti de notre culture, mais les nègociations NON. Nous ne connaissons pas ce que cela veut dire,et sert à quoi.

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Mokili @3MARRN3   Message  - Publié le 21.07.2017 à 18:27
Dialogue pourquoi faire !!!!! Kabila doit partir !!!!! Le peuple congolais va se prendre en charge!!!!

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david @3JYVB2E   Message  - Publié le 21.07.2017 à 18:06
Vs parlez de quels peuple,vs qui veulles applique l'article 64 vas y avec vos femmes,vos enfants alor ns sommes lá pour vs amenez vos cartes d'electeur au cimetiere et vs allezs bien louer votre president Etienne bonne chance faites comme aristote avait en buvant la coupe malgre tout la rue ne ns effrayons pas venaient vs allez ns trouve,les combattant silencieux.

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Anonyme @YSM3OD3   Message  - Publié le 21.07.2017 à 17:42
finalement c'est quoi!

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Big as @6CDB3HC   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:41
C'est à pas à Kabila de liberer le peuple congolais C'est à nous de prendre notre destin en main de faire le necessaire pour nous liberer le peuple congolais sont ignorant, faible moralement et spirituelement; ils pensent que Kabila va quitté le pouvoir par les elections mais s'est faux,

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VENT @546ULFX   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:33
Les négociation au Congo n'aboutissent jamais à des solutions fiable. Trop c'est trop laisse nous aussi le temps de veichuler la langue Faisons des élections au mode de Mzee par des doigts pour conduire la transition. Finit avec les négociations levons nous,allons tous vers kkh vouloir ou pas il doit quitter le pouvoir on ne plus parler de dialogue avec kk.

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Le Congo de Lumumba @LY2RMM4   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:22
Je pense qu'on doit appliquer seulement l'article de la constitution qui stipule cas d'empêchement, c'est Kongo qui le remplasse. Nous avons eu pitié pour qu'il sorte avec honneur à travers l'accord de St Sylvaintre, mais la MP ne veux pas. Alors il maintenant ectiver cet article.

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Atundelango mende @8X43IHO   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:15
A vous lire c'est comme si le problème c'est Felix qui veut le pouvoir ou c'est l'UDPS- Limete et PPRD. Non, Mr, Fatshi ne fait que dire tout haut ce que plus de 70 millions de congolais disent tout bas, de peur qu'il soit enlevé, tué ou mis en prison comme tant d'autres. Soyons sérieux! votre conscience vous interpelle que ce pays va mal et que nous avons regressé plus bas encore par rapport à l'allure qu'avait voulue Mzee kabila v

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Merlin Massamba Amba @Y7P79AW   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:09
Les élections ne seront plus convoquées cette année et je pense que les dialogues 2,3 et 4 sont inutiles à ce moment, les politiciens doivent laisser le peuple maintenant le soin de prendre leur décision, et on verra si les un seront réellement sauvés par la cours constitutionnelle ou les autres avoir l’occasion de s’attribuer de postes avec de calcul politicien Pona Congo Lisolo ya Congo

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Atundelango mende @8X43IHO   Message  - Publié le 21.07.2017 à 16:09
Qui va dialoguer avec qui? Pendant 6ans JKK n'a pas su organiser les élections qu'il demissionne, c'est tout. Dialoguer pour conclure quoi? et qui respectera ces accords? C'est Kabila le problème, qu'il libère le peuple congolais, nous ne sommes pas ses otages. Il s'est enrichie, et sa famille biologique et politique, laisser également au peuple le temps de respirer. Allez gerer toute la richesse pillée au congo, personne ne vous poursuivra, n'ayez pas peur de crimes commis, personne ne vous poursuivra si vous accéptez de liberer ce peuple.

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