Recherche
  Home Actualités Petites annonces Offres d’emploi Appels d’offres Publireportages C'est vous qui le dites Medias & tendances Immobilier Recherche Contact



Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 avril 2024
mediacongo
Retour

Société

Enquête sur les violences au Kasaï : Kinshasa et l’Onu s’empoignent toujours à Genève

2017-06-22
22.06.2017 , Genève, Suisse
Provinces / Diaspora
2017-06-22
Ajouter aux favoris
http://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2017-actu/06-juin/12-18/thambwe-mwamba-hrc-geneve.jpg Genève, Suisse-

C’est en principe ce jeudi 22 juin que le Conseil des droits de l’homme de l’Onu devra voter la résolution sur la RDC. Cependant, depuis que les violences qui endeuillent le Grand Kasaï ont volé la vedette à l’actualité en République démocratique du Congo (RDC), la question de l’envoi d’une enquête (internationale) indépendante dans cette région ne cesse de faire monter la fièvre dans les relations de Kinshasa et l’Onu. Une poussée de fièvre caractérisée par des déclarations plus incendiaires les unes que les autres.

Si Kinshasa accusé l’Onu ou les autres pays favorables à l’envoi de cette enquête de « néocolonialisme » et  « d’ingérence dans les affaires internes d’un pays souverain », l’Onu n’est pas à court d’arguments pour accuser Kinshasa de « complicité » dans ce qui arrive aux Kasaïens. Entre-temps, la France s’affaire à arracher de l’Onu une résolution « robuste » autorisant une enquête internationale sur les violences dans les Kasaï.

Depuis dix mois, trois provinces (Kasaï, Kasaï-Central, Kasaï-Oriental) issues du démembrement des deux Kasaï (Kasaï-Occidental et Kasaï-Oriental) sont particulièrement frappées par les violences dues aussi bien aux exactions des miliciens Kamwina Nsapu qu’aux affrontements entre eux et les forces de l’ordre.

Pas moins de 42 charniers y ont été découverts, 39 policiers décapités, deux experts de l’Onu tués, près de 3 400 personnes tuées, plus d’un million d’habitants contraints à fuir les affrontements et quelque 30 000 autres réfugiées en Angola… le bilan est fort macabre, si macabre qu’il provoque un ballet « diplomatique » de nombreux officiels onusiens qui s’y succèdent presque chaque semaine.

Le Kasaï est aussi le théâtre d’une autre bataille : celle qui se joue, au niveau international, pour qu’enfin les Nations unies puissent dépêcher sur place des enquêteurs indépendants. Mardi 20 juin à Genève, lors de la 35e session du Conseil des droits de l’homme de l’Onu, les 47 Etats membres s’affairent pour voter en faveur de l’envoi d’une équipe d’enquêteurs indépendants dans le Grand Kasaï.

Les tractations se poursuivent en vue du vote prévu le 22 ou le 23 juin sur la mise en place d’une commission d’enquête internationale.

Simple soutien technique de l'ONU demande Kinshasa

« Les Etats membres ont l’opportunité d’être du côté des victimes et de mettre un terme au cycle de l’impunité » , dit, à Kinshasa, José Maria Aranaz, directeur du Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme. Cette session est cruciale, car elle pourrait permettre de « déterminer les responsables des crimes au Kasaï. » Une option que Kinshasa refuse d’entendre, préférant, en lieu et place, un simple soutien technique.

Le gouvernement de la RDC a rejeté mardi l’idée du déploiement sur le territoire congolais d’une commission internationale d’enquête qui travaillerait en vase clos et parallèlement aux instances judiciaires du pays.

Pour son porte-parole, « la feuille de route que le gouvernement a proposée depuis le 24 mai 2017 demeure la base des discussions sur la collaboration souhaitée avec la Monusco et le BCNUDH ».

Le gouvernement a pris soin de présenter, mardi 20 juin à Genève, un livre blanc sur les atrocités commises dans les Kasaï, apportant la preuve que les autorités n’ont pas dérogé à leurs missions d’œuvrer au rétablissement de la sécurité au Kasaï et de contribuer à la manifestation de la vérité sur les atrocités commises afin que la justice soit faite.

La RDC entend ainsi réaffirmer sa souveraineté et sa volonté de poursuivre et de juger tous les auteurs des crimes allégués en rapport avec ce phénomène à travers des enquêtes menées par les instances judiciaires congolaises avec la collaboration ou l’appui de toutes les bonnes volontés, y compris les Nations unies.

Le Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, cité par l’AFP, a déclaré à cette occasion, lors de la session du Conseil des droits de l’homme à Genève, que la RDC n’avait pas de moyen de rendre justice aux victimes des violences qui sévissent dans l’espace Kasaï. Le BCNUDH (Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’Homme) estime qu’il pourrait y avoir jusqu’à 2.000 personnes tuées dans les Kasaï depuis le début des violences.

Zeid Ra’ad Al Hussein dit déplorer « le manque de coopération » du ministère congolais des Droits humains, au sujet des exactions qui se déroulent au centre de la RDC.

Selon un document de la nonciature apostolique en RDC publié mardi à Kinshasa, 3.383 personnes ont été tuées depuis octobre 2016 dans le Kasaï dans les violences. La nonciature catholique précise que 20 villages ont été complètement détruits dont dix par les FARDC, quatre par les miliciens, six par des auteurs inconnus. Elle a aussi révélé pour sa part que 30 fosses communes ont été découvertes.

Donc, à Genève, s’opposent deux visions diamétralement opposées sur la question de de l’envoi d’une commission d’enquête internationale sur le Grand Kasaï dont le débat a eu lieu comme prévu à la mi-journée. Le Haut-commissaire aux droits de l’homme de l’Onu, la ministre congolaise des Droits de l’homme, les délégués des Etats membres et des ONG ont pris la parole tour à tour.

Le Haut-commissaire aux droits de l’homme appuyé par l’Union européenne et les ONG internationales est formel, il faut une enquête internationale pour faire toute la lumière sur les violences commises dans le Grand Kasaï et notamment sur les exactions imputables aux forces de sécurité et à leurs alliés présumés.

C’est un véritable duel que se sont livré à la tribune du Conseil des droits de l’homme le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme et la ministre congolaise des Droits de l’homme.

l'Afrique solidaire de Kinshasa

Le Burundi s’est montré très solidaire des autorités congolaises lors du débat interactif de la 35e session du Conseil des droits de l’homme mardi 20 juin à Genève.

« Le Burundi a regretté que des crises soient enclenchées dans des États par ingérence dans leurs affaires intérieures. Il a dénoncé, dans le cas de la République démocratique du Congo, la politisation des droits de l’homme par le Conseil », dit le rapport journalier de la session.

La ministre congolaise des Droits humains, avait dans son allocution souligné que le mode opératoire des miliciens de Kamuena Nsapu n’était pas différent de celui des autres groupes terroristes.

Lors du débat interactif, quelques pays africains, dans leurs inventions, ont pris des positions. Pour sa part, l’Égypte a proposé d’épuiser d’abord les recours à travers les mécanismes nationaux avant de prendre d’autres mesures. L’Algérie a également salué les mesures entreprises afin de traduire en justice les responsables des graves violations des droits de l’homme, entre autres à travers la Commission d’enquête créée dans cet objectif.

Le Botswana a espéré qu’il serait possible, par le biais de la coopération internationale, de renforcer la protection des droits de l’homme en République démocratique du Congo. Il s’est dit encouragé par l’engagement du Gouvernement à mener des enquêtes et à travailler avec le Conseil des droits de l’homme.

Le Togo s’est dit vivement préoccupé par la situation humanitaire dans le Kasaï et a rappelé qu’il incombait à chaque État de veiller à la protection de la population civile. Il s’est félicité des mesures diligentes prises par le Gouvernement pour enquêtes sur les abus commis, avec l’assistance de la Monusco.

Le Soudan a salué les efforts du gouvernement congolais visant à diligenter des enquêtes sur les violations des droits de l’homme, ainsi que la mise en place d’une commission nationale. Le Mozambique a dit sa préoccupation face aux atrocités commises par la milice de Kamwina Nsapu, en particulier les décapitations et exécutions sommaires.

La résolution du Conseil des droits de l’homme, une fois adoptée, pourrait donc fournir une piste des solutions afin de mettre un terme entre autres aux crimes qui se commettent dans le centre de la RDC à cause des affrontements entre miliciens et forces de sécurité.


L'Observateur / MCN, via mediacongo.net
C’est vous qui le dites : 21 commentaires
8574 suivent la conversation

Faites connaissance avec votre « Code MediaCongo »

Le code à 7 caractères (précédé de « @ ») à côté du Nom est le Code MediaCongo de l’utilisateur. Par exemple « Jeanne243 @AB25CDF ». Ce code est unique à chaque utilisateur. Il permet de différencier les utilisateurs.

Poster un commentaire, réagir ?

Les commentaires et réactions sont postés librement, tout en respectant les conditions d’utilisation de la plateforme mediacongo.net. Vous pouvez cliquer sur 2 émojis au maximum.

Merci et excellente expérience sur mediacongo.net, première plateforme congolaise

MediaCongo – Support Utilisateurs


LUMUMBA @OG258H3   Message  - Publié le 22.06.2017 à 15:42
il y a des violence sur les noirs commisent par la police americain, nous n'avons jamais vu HWR mené une enquête sur les atrocité aux USA, ce HWR est tjr présent pour les pays Africains, nous avons vu de grave crime commis en Turquie, ce même HWR n'a jamais engagé une enquête, nous sommes manipulé par la neubileuse communauté international, l'on pense qu'il nous défend mais ils ne jouent que leur jeux en leur faveur, depuis 1960 la communauté international n'a jamais été pour le peuple. soyons sage le monde est injuste

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Anonyme @M84LOHP   Message  - Publié le 22.06.2017 à 15:36
Le monde, un vrai loisir, si j'avais su cela dès mon jeune âge je ne serai pas ce que je suis aujourd'hui, un véritable peureux qui a vu son jour en RDC et on est nombreux sur la liste! Ironie du sort, l'ONU n'a pas réussi à essuyer mes larmes, et il n'aura pas d'enquête internationale même si les miens sont tombés parce que les dirigeants africains appuient mes bourreaux, c'est ça le monde

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Muana Kongo @8BP4DAA   Message  - Publié le 22.06.2017 à 15:00
Il faut que les enquêtes s'effectuent. Pourquoi le Gouvernement Congolais refuserait que les enquêteurs internationaux se rendent auX KASAÏ ? That is the question .

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
fausseliberation @79WIPZ6   Message  - Publié le 22.06.2017 à 14:48
Finalement, les Présidents Africains dictateurs se sont soutenus. Nous devons compter plus sur nous même. La Chine et autres pays Africains entêtent les autorités de notre pays, à continuer à commettre des crimes. Mais, article 64, tout celui qui se maintient au pourvoir par la force sera bouté dehors par le peuple

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Mwana Inchi @5XPIN43   Message  - Publié le 22.06.2017 à 14:32
Et si l'ONU organisait un sondage pour savoir ce qu'en pense la population de la RD Congo? A mon avis l'affaire serait tranché sans tergiverser. Si certains nourrissent l'idée d'un referendum pour se maintenir, moi je suggère que la population(souverain premier) donne son avis favorable ou non à une enquête internationale. Les medias peuvent nous aider à récolter et comptabiliser les voix. Qu'en dite vous?

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
manono@gmail.com @LSN67TL   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:43
pourquoi la RDC ne veut une enquête indépendante ni parallèle? Donc, il y a quelque chose qui s'est passée en complicité?????

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
kilulu @UHD85ZF   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:43
Que vient faire le Burundi de Kurunziza? Voler au secours de leur frère Kanambe. Ce pays ne respecte pas du tout les frontières de la RDC et n'à jamais cessé de l'infilter avec des rébellions. Qu'ils se taisent.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
fausseliberation @79WIPZ6   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:38
La RDC comme tout autre pays contribue financièrement à cette organisation. Le Gouvernement Congolais n'a rien à cacher au contraire, l'ONU va dénicher tous ces criminelles et les mettre à la disposition de l'Etat Congolais car depuis, la RDC n'y arrive pas. Soudain, le ministre dit que les épreuves des EXETAT au Kassaï sont fixés au 18 juillet donc cela n'empêche pas l'enrolement ein Corneille Nangaa

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Je suis Kongo @VURZXCD   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:30
Le Burundi est solidaire parce qu'il sait qu'i est dans la même situation. Donc, par affinité négative que le Burundi apporte son soutien. Nous pouvions aussi apporter le même soutien vers nos autorités, malheureusement le peuple est leur ennemi n° 1. Ils n'ont aucun souci des congolais, ils font pire que le colonialisme; ils ne cessent de s'enrichir sur le dos du peuple. Leur malheur n'est pas le nôtre car nous avons déjà notre qui viennent d'eux. S'il n'y n'a cacher, mettez l'ONU devant l'épreuve, laissez les enquêter. C'est aussi une grandeur pour une Nation. Ils prouveront aux yeux du monde qu'ils n'ont rien à cacher. Mais les connaissant, nos autorités doivent être impliquées, car le sang du peuple est devenu leur repas. Merci de Constater avec quelle arrogance Mende se moque du Congo et du congolais.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Je suis Kongo @VURZXCD   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:25
Le Burundi est solidaire parce qu'il sait être dans la même situation. Donc, par affinité négative que le Burundi apporte son soutien. Nous pouvions aussi apporter le même soutien vers nos autorités, malheureusement le peuple est leur ennemi n° 1. Ils n'ont aucun souci des congolais, ils font pire que le colonialisme; ils ne cessent de s'enrichir sur le dos du peuple. Leur malheur n'est pas le nôtre car nous avons déjà notre qui viennent d'eux. S'il n'y n'a cacher, mettez l'ONU devant l'épreuve, laissez les enquêter. C'est aussi une grandeur pour une Nation.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
fausseliberation @79WIPZ6   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:20
Congo na Biso - 22 06 2017 13:07 Donc vous voulez nous tuer comme vous voulez et que personne ne vous demande des comptes au nom de la souveraineté des pays. Où a-t-on vu des autorités qui créent des milices pour tuer sa propre population juste en échange pour de postes ministériels ou pour retarder les élections. Qui est ce Président Africain qui est né Président ? La communauté internationale intervienne à cause du non respect de vos accords !

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Antoine @GNF1HEC   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:09
Donc, le gouvernement a des histoires à cacher dans ces massacres; donc, tout ce qui se passe dans les kasaï est sûrement l'oeuvre de certaines autorités; dans le cas contraire, on n'aurait rien à craindre d'une enquête internationale. Tous les secrets seront mis à découvert, cher Tambwe Muamba!

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Congo na Biso @QUU41SI   Message  - Publié le 22.06.2017 à 13:07
Les atrocités en RDC font aujourd'hui débats sur la scène internationale; enquêtes en RDC oui. Enquêtez aussi en Libye, ou Sarkozy a semer un chaos, allez enquêtez en Irak et la Syrie Nous voulons bien que la lumière soit faite sur les atrocités aux Kasai,ne soyez pas injuste. poursuivez aussi les français dans l'affaire Laurent GBAGBO

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Anonyme @35P2WSS   Message  - Publié le 22.06.2017 à 12:50
L'ONU doit faire attention, le gouvernemnent congolais est en train de les embarquer dans le meme train qu'ils ont embarqué l'oppostion à savoir, la politique de l'usure,du pourissement afin de gagner le temps et de rendre l'organisation des élections impossibles en 2017. pendant que les discussions se déroulent, la CENI perd du temps pour l'enrolement au KASAIE

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Jamel @UPHR8QX   Message  - Publié le 22.06.2017 à 12:49
Ca pays, c'est pour nous ou pour la FRance, la Belgique ou les USA. Cet acharnement commence à nous souler. venez faire vos enquêtes et arrêter les coupables puis laissez nous libre. Mais ce n'est pas fini faites les enquêtes en Lybie car Sarkozy, Angele Merkel et David Cameron doivent répondre du désordre en Afrique du Nord, Bush et Blair en Asie, Kagame, JKK et Museveni à l'Est de la RDC, Bemba répond deja pour la RCA.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Anonyme @M84LOHP   Message  - Publié le 22.06.2017 à 12:47
Et après ne venez plus nous dire pourquoi tel ou tel a pris les armes pour déloger tous ces dictateurs africains qui agissent par solidarité au mépris de leurs peuples Personne n'est née pour être esclave dans son propre pays. Qui sont-ils tous ces dirigeants dictateurs (burundais, zimbabwéen, angolais )? Des êtres extraordinaires, mais non, non, non et non. Si décembre pas élection, il y aura ce qui aura et eux qui le soutiennent, seront responsables de ce qui arrivera

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
jean jean bululi @ITKNQAA   Message  - Publié le 22.06.2017 à 12:08
Chers frères;à bien comprendre les choses au Kasai, le gouvernement a attisé et continue à enliser la situation pour que l’enrôlement et les élections n’aient pas lieu. Sans être contre les EXETATS dans ces provinces,dites nous pourquoi ces épreuves qui ne sont pas aussi actuellement organisées sont tout de même reprogrammées au KASAI pour mi-juillet!

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Salima @TTYVYQL   Message  - Publié le 22.06.2017 à 11:44
DRÔLE D'AFRIQUE! TOUJOURS À LA SOLDE DES DICTATEURS, MÊME LA OÙ UNE BOUCHERIE S'EST FAITE SUR DES POPULATIONS INOFFENSIVES.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
mushikazi @G7WMMHR   Message  - Publié le 22.06.2017 à 11:27
voila, le Burundi et le soudan doivent toujours encouragé puisque s'est sont la les pays qui cause toujours problèmme en Afrique, je vous rappelle chair soudanais et burundais que le gouvernement congolais est a la base de ces crimes, mr Boshab a agit au nom du gouvernement congolais et vous voulez nous dire quoi?il est strictement impossible que la R D C réalise ces enquêtes je vous assure que le gouvernement congolais a longtemps sacrifié les leurs, ils doivent être sévèrement puni. évité d’être l'avocat du diable pour cause des intérêt égoïste. la R D C ne pas comme vos pays pauvre ou le monde s’intéresse peu.

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Serviteur de Dieu @P6TAKV4   Message  - Publié le 22.06.2017 à 11:26
Ca ne fait pas une semaine qu'une delegation gouvernementale a fait une descente sur terrain avec le Chef de l'Etat en sa tete. Ils ont tenu de reunions avec les personnes influentes; donc ils ont en main quelques donnees. Rien ne sert de se casser la tete alors que le gouvernement congolais a deja des donnees. Il n'ont qu'a le presenter pour qu'une analyse de la fiabilite soit faite. Si non le gouvernement serait lui-meme responsable du desordre dans le pays. Or dit-on aucun "rauyaume ne peut combattre contre lui-meme"

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
Anonyme @CKYVA8T   Message  - Publié le 22.06.2017 à 11:09
vous êtes tous des farceurs et les pays qui soutiennent les actions du gouvernement kabandi, ils savent ces actions(tueries, traitement dégradant,mis en prison des innocents, etc) vous soutiendrez même le diable vous pays africains

Réagir

Répondre
@
Insérez un émoji
right
Article suivant Steve Mbikayi :"Il n'y aura plus d'attestations de réussite à l'université"
left
Article précédent Examen d’Etat : clôture dans la plupart des provinces, début le 18 juillet pour les Kasaï

Les plus commentés

Politique Nicolas Kazadi : « Tout marche bien au pays. Aujourd’hui nous avons un budget de 16 milliards de dollars, trois fois plus important qu’il y a 3 ans »

25.04.2024, 16 commentaires

Politique Dossier stations des forages : une lettre de Sele Yalaghuli qui en dit long

26.04.2024, 14 commentaires

Afrique Macron incite à la reprise des dialogues entre Kagame et Tshisekedi pour la paix au Nord-Kivu

24.04.2024, 9 commentaires

Economie Prétendue surfacturation des forages : Nicolas Kazadi renvoie la balle à l’ancien ministre des Finances du gouvernement FCC-CACH

25.04.2024, 8 commentaires

Ont commenté cet article



Ils nous font confiance

Infos congo - Actualités Congo - confiance