Sur le net
Nous vivons aujourd’hui dans un siècle de vitesse. Les inventions se multiplient à un rythme effréné et au point où les gens qui sont distraits, se trouvent dépassés et ont difficile à se rattraper.
Les nouvelles technologies ont tellement révolutionné les choses qu’à ce jour les médias traditionnels comme les journaux, (les tabloïdes), les chaînes de radio et même de télévision, s’en trouvent coincés. Les réseaux sociaux comme face-book, twitter, youtube ont pratiquement pris le relais ou plutôt la place des médias traditionnels.
Pour plusieurs événements, ils prennent de court la presse traditionnelle. Ils diffusent les infos et même les images en temps réel. Et parfois de manière désintéressée.
Devant cette dure et complexe réalité, il y a à s’interroger ce que deviendra le métier de journaliste demain. Que va-t-il faire lui qui a fait non seulement de nombreuses années à l’école mais qui vit aussi de la profession ?
Les journalistes professionnels sont, pour beaucoup d’événements, souvent pris de court. Et ceux qui diffusent sur les réseaux sociaux, n’attendent pas des communiqués officiels avant de balancer leur scoop ou leur info. En ligne. Et par moments, certaines de ces nouvelles s’avèrent fausses ou en tout inexactes après vérification.
Alors qu’un professionnel de médias s’entoure de toutes les précautions d’usage avant de publier ou de diffuser une information. Parce qu’il est appelé à respecter un certain nombre de principes avant de publier une nouvelle. Il y a des principes déontologiques, l’éthique professionnelle et même la ligne éditoriale auxquels il doit se soumettre.
Quelle attitude doit adopter le journaliste ? Que doit faire ? Y-a-t-il des précautions spécifiques à prendre ? ou bien il faut faire avec ? Des questions difficiles à résoudre.
Devant des événements brûlants, et pour lesquels des médias traditionnels n’ont pas d’envoyés spéciaux ou de contacts avec des milieux intéressés, ils sont par moment contraints à se fier à ces sources bien que moins professionnelles et non autorisées, besoin d’actualité oblige. Et souvent quand la presse traditionnelle diffuse, c’est souvent avec quelque temps, quelques heures de retard.
Sur le plan de rendement, ou plutôt de rentabilité, les professions du secteur perdent quelques points face aux réseaux sociaux qui sont plus rapides et plus expéditifs. L’information est la marchandise la plus périssable, dit-on dans le jargon journaliste Elle se consomme chaude. Sinon, elle est dépassée. Ce qui comme nous l’avons souligné plus haut, met en péril les médias traditionnels et personnel.
Pour un expert que nous avons interrogé pour requérir son avis sur ce sujet, les chevaliers de la plume et du micro doivent continuer à faire leur travail. Leur professionnalisme va les sauver de toutes ces pressions. Ils ne disparaîtront pas, a-t-il assuré. Parce que les pays d’où proviennent ces technologies, comme les USA, le Japon, la Corée du Sud ; l’Europe, ou la Chine, continuent à publier des journaux. Et leurs organes de presse écrite qui tirent des millions d’exemplaires par jour, continuent à travailler et même à prospérer.
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