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A la suite d’une directive de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (ARPTC), les sociétés des télécommunications ont bloqué «momentanément» depuis le 18 décembre tous les échanges d’images, des vidéos et de la voix via les réseaux sociaux.
Certains habitants de Kinshasa rencontrés jeudi 22 décembre dans les rues de la capitale congolaise s’inquiètent de la durée que cette suspension.
«Moi je pense que ça c’est l’extorsion d’un droit à la liberté d’expression, de communication et d’information», s’est indigné l’un d’eux.
Le blocage ordonné par les autorités congolaises concerne tous les échanges d’images, des vidéos et de la voix via, notamment Facebook, WhatsApp, Twitter et Instagram.
«Cela peut entrainer un manque à gagner pour ceux qui fournissent et un manque d’information pour les utilisateurs. Il y a des gens qui utilisent ces informations pour faire des recherches et communiquer ou encore publier les informations», explique Emile Mamboko, expert en télécommunications.
Le blocage «momentané» des réseaux sociaux est intervenu un jour avant le 19 décembre, date marquant la fin du second et dernier mandat constitutionnel du président de la République, Joseph Kabila.
Le code à 7 caractères (précédé de « @ ») à côté du Nom est le Code MediaCongo de l’utilisateur. Par exemple « Jeanne243 @AB25CDF ». Ce code est unique à chaque utilisateur. Il permet de différencier les utilisateurs.
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