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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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Afrique

Ali Bongo : "La démocratie est difficile et exigeante"

2016-09-01
01.09.2016 , Libreville
2016-09-01
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http://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2016_actu/aout/du_29_au_31/bongo_ali_16_0010.jpg Libreville-

Ali Bongo

Le président gabonais s'est exprimé ce jeudi dans une conférence de presse. Au coeur de son propos, la démocratie et la sécurité.

17 h 10 : la démocratie selon Ali Bongo Ondimba

« La démocratie est difficile et exigeante », a dit le président gabonais. « La démocratie s'accorde mal des succès autoproclamés, des groupuscules formés à la destruction. La démocratie s'accommode mal de la prise d'assaut d'un parlement et de la télévision nationale », a-t-il ajouté, avant d'ajouter que « c'est le Gabon qui a gagné les élections. Mon projet, c'est la démocratie pour tous pour que nous puissions amplifier les projets engagés. » « Dans toutes les villes et tous les villages, le progrès doit se remettre en route et nous devons nous unir pour sa recherche », a-t-il poursuivi, avant de déclarer : « Toutes les décisions seront prises pour garantir la sécurité de tous. » « L'ordre va régner, l'ordre régnera », a-t-il conclu.

17 heures : le bilan des événements, selon le ministre de l'Intérieur

À la suite de la conférence de presse d'Ali Bongo Ondimba, le ministre de l'Intérieur a dressé un bilan humain, financier et sécuritaire des émeutes depuis hier.

Il a indiqué que trois personnes ont perdu la vie et plusieurs agents des forces de sécurité ont été touchés et actuellement soignés dans les hôpitaux de Libreville. Il s'est toutefois refusé à donner des chiffres les concernant. Quelque 1 200 interpellations ont eu lieu, dont 900 à Libreville, le reste en province.

Les dégâts sont évalués à 100 milliards de F CFA (0,655 euro)

16 h 25 : Hollande pour un processus garantissant la transparence

Le président de la République a fait part de « sa profonde inquiétude et de sa grande préoccupation », condamnant « avec la plus grande fermeté les violences et les pillages, ainsi que les menaces et attaques portées contre les partisans des principaux candidats » gabonais. François Hollande a ainsi appelé jeudi « toutes les parties à la retenue et à l'apaisement » au Gabon et demandé « un processus garantissant la transparence », après la réélection controversée du président sortant Ali Bongo Ondimba qui a provoqué de violentes émeutes, selon un communiqué de l'Élysée. Il a appelé « toutes les parties à la retenue et à l'apaisement, ce qui suppose un processus garantissant la transparence sur les résultats du scrutin », indique le communiqué de la présidence française.

15 h 45 : Glaser : « L'Ogooué, une région d'ajustement électoral »

Interrogé sur Europe 1, Antoine Glaser, journaliste et écrivain, spécialiste de l'Afrique, a indiqué que la situation gabonaise découle d'une « affaire psychologique, familiale et de rancœurs personnelles » et que la région d'origine des Bongo, l'Ogooué, a toujours servi d'« ajustement électoral ». « Ali Bongo ne pliera pas, il s'est bunkerisé, il n'a pas l'intention de quitter le pouvoir », a-t-il affirmé, s'étonnant du silence de l'Union africaine. « Jean Ping a la société civile de son côté », a-t-il ajouté précisant que celle-ci « aspire au changement ». Et de rappeler l'existence d'« une rancœur » entre Ali Bongo et Jean Ping qui ont des liens de famille, puisque Jean Ping est l'ancien beau-frère d'Ali Bongo. Pour le journaliste, « Ali Bongo a toujours été marginalisé. Il a une revanche à prendre et ne partira pas ».

14 h 55 : au bon souvenir de Jean Ping

Les fantômes de la crise postélectorale ivoirienne seraient-ils en train de rôder sur le Gabon. En tout cas, à propos de la demande de recomptage de Jean Ping, le site Abidjantv.net rappelle qu'en 2011, Jean Ping, alors président de la Commission de l'Union africaine, avait refusé le recomptage de voix au profit de Laurent Gbagbo. « La réouverture des résultats de l'élection serait une grave injustice et un précédent fâcheux », aurait-il dit, cité par le site Abidjantv.net. « L'Union africaine (UA) ne reviendra pas en arrière. Il y a des gens qui demandent de recompter les voix. Les opinions sont libres. Les gens sont libres de dire ce qu'ils veulent. Mais, nous, notre position est claire », avait-il dit lors de la 16e session ordinaire de l'Union africaine, évoqué par le site abidjanais.

14 h 15 : les partisans de Ping se concertent

Dans un échange avec le correspondant du Point Afrique à Libreville, un haut responsable proche de Jean Ping a confié qu'une initiative était prise dans le sens d'une concertation en vue de définir un mot d'ordre.
14 h 10 : sur les médias sociaux, la solidarité est affichée

… le courage est loué,

le silence de l'Union africaine interpelle, l'optimisme est affiché malgré les épreuves

13 h 36 : le gouvernement en conseil de ministres

Alors que le calme est précaire à Libreville qui paraît une ville morte avec ses rues bloquées par les barricades de la nuit, mais aussi par les forces de l'ordre en patrouille, le gouvernement est réuni pour préparer les mesures qui lui permettront de faire face aux émeutes et aux dégradations qui ne concernent pas que Libreville mais aussi Port-Gentil, la capitale économique.

Toujours sur le volet institutionnel, il y a lieu de préciser que la rentrée parlementaire, qui devait se faire aujourd'hui, 1er septembre 2016, est reportée à une date non encore déterminée.

13 h 15 : silence des ambassades africaines

Pour ce qui est des réactions, le silence des ambassades africaines tranche avec les réactions affirmées et affichées, d'une part, par la France et l'Union européenne, et d'autre part, par les États-Unis qui ont exprimé mercredi leur vive inquiétude à propos de la situation au Gabon et appelé à leur tour à la publication des résultats par bureau de vote, après que l'annonce de la réélection du président Ali Bongo Ondimba a déclenché des émeutes.

13 h 3 : plus de 200 pillards arrêtés

Selon le chef de la police nationale, plus de 200 pillards ont été arrêtés dans Libreville, dont le centre-ville était quadrillé par les forces de l'ordre police, gendarmerie et militaires, notamment aux abords de l'Assemblée nationale, incendiée mercredi, et du QG de l'opposant Jean Ping, pris d'assaut dans la nuit. C'est ce qu'ont constaté les correspondants de l'AFP.

« Nous avons arrêté plus de 200 pillards depuis hier soir. Ils sont dans les locaux de la police judiciaire mais aussi dans les commissariats de la ville. Les pillages continuent maintenant dans les quartiers populaires », a affirmé à l'AFP le commandant en chef de la police nationale, Jean-Thierry Oye Zue. « Six policiers ont été blessés », a-t-il ajouté. Parmi les civils, « il a très vraisemblablement des blessés vu la violence avec laquelle ils nous ont assaillis », a ajouté M. Oye Zue. Il n'a toutefois pas pu confirmer s'il y avait des morts : « Je ne peux pas vous le dire ». Des journalistes de l'AFP ont fait état de deux camions remplis de dizaines de personnes qui avaient été arrêtées, dont des femmes, menées à la police judiciaire. Ils levaient le poing en chantant l'hymne national « la Concorde ».

Aux abords de l'Assemblée nationale, les stigmates des événements de la veille

Normalement protégée par des grilles, l'Assemblée nationale affichait une façade noircie et des vitres explosées. L'imposant portail a été défoncé par les manifestants et la guérite des gardiens est partie en fumée. Sur le parking du palais Léon Mba ne restent que des carcasses de véhicules incendiés par les opposants affirmant que la victoire avait été « volée » par le pouvoir.

Aux abords de l'Assemblée, la police gabonaise s'efforçait jeudi en fin de matinée d'empêcher tout attroupement en tirant des grenades de gaz lacrymogène. Tout le long du boulevard Triomphal, siège des plus grandes institutions gabonaises et de nombreuses représentations étrangères, des barricades de fortune achevaient de se consumer.

Le siège du quotidien progouvernemental L'Union a également subi les foudres des manifestants : façade incendiée, vitres brisées, portail enfoncé, voitures incendiées. Le bâtiment était gardé par un groupe de gendarmes. Le quotidien n'a pas paru jeudi. Le rond-point de la Démocratie, au bout du boulevard, porte les marques des plus violents affrontements de la veille: magasins pillés et voitures brûlées bordent les restes de barricades de troncs d'arbre, moellons et mobilier urbain.

Des militaires protègent une station-service d'éventuels pilleurs. Ailleurs à Libreville, divers commerces, notamment des épiceries, ont été pillés dans la nuit et jeudi matin.

Au-delà de la voie express qui borde le rond-point, le quartier du QG de campagne de Jean Ping est bouclé par les forces de l'ordre. Un centre commercial, le mall ABC, a lui aussi été incendié. Des policiers antiémeute continuaient jeudi matin de procéder à des arrestations de personnes sortant du QG de l'opposant, avant d'être emmenées dans des camions vers une destination inconnue.

12 h 45 : la situation fait réagir sur Twitter

« Mettez fin à ces agissements qui tirent le continent vers le bas. »

« Qui peut le plus peut le moins », à propos des résultats bureau par bureau.

12 h 22 : Alain-Claude Bilie-By-Nze accuse Jean Ping

Sur RFI, le porte-parole d'Ali Bongo Ondimba a indiqué : « Nous avons tous intérêt à ce qu'il y ait de l'apaisement, parce que le Gabon n'est pas une dictature. Le Gabon est une démocratie avec des lois. » Il a ajouté que « s'il y a une contestation des résultats, il y a un contentieux qui peut être ouvert auprès de la Cour constitutionnelle ».

Pour lui, les événements actuels sont « la mise en œuvre d'un plan qui a été préparé par Monsieur Jean Ping et annoncé de longue date ! » « Il avait indiqué qu'il ne reconnaîtrait pas les résultats et qu'il appellerait les Gabonais à descendre dans la rue. C'est exactement ce qu'il a fait », a-t-il poursuivi.

11 h 40 : pas encore de mot d'ordre de l'équipe de Jean Ping

Contacté à Libreville, le membre d'un parti soutenant Jean Ping a indiqué qu'« aucun mot d'ordre » n'avait encore été donné. Une manière de dire que les manifestations qui ont eu lieu depuis ce mercredi, après l'annonce des résultats, sont spontanées.

11 h 30 : la France pour une publication des résultats « bureau par bureau »

« Des résultats ont été publiés hier. Il y a un doute sur leur sincérité, il convient que les recours s'exercent dans le respect de la loi et dans le cadre d'une procédure transparente et impartiale », a déclaré le chef de la diplomatie Jean-Marc Ayrault en marge de la conférence des ambassadeurs français réunis à Paris. « Avec l'Union européenne, la France appelle à la publication des résultats, bureau par bureau. C'est de cette manière que les Gabonais pourront avoir confiance dans les résultats et qu'il n'y aura aucun doute sur le respect de leur choix. Aussi, la France ne peut que réprouver avec fermeté tout recours à la violence et appeler chacun à la plus grande retenue », a-t-il ajouté.

11 h 14 : à Libreville, on craint la pénurie

Il règne un calme relatif à Libreville, mais avec les magasins qui sont fermés, les populations ont du mal à se ravitailler en pain et en certaines denrées. Combien de temps durera cette situation ? Nul ne le sait, mais la peur est bien sur la ville.

11 h 9. Jean Ping : « La population est déjà encerclée, tuée »
Interrogé sur RFI sur un appel au calme à lancer, Jean Ping a répondu : « Quel appel au calme vous pouvez lancer ? Pour une population qui est déjà encerclée, tuée ? Nous sommes déjà dans la situation où on nous tue ! »

Le candidat de l'opposition a ajouté qu'il y a « tout » à attendre de la communauté internationale. « Elle doit nous aider ! Parce que nous attirons l'attention, son attention depuis deux ans ! » Et de rappeler que « le pays est dirigé depuis un demi-siècle par une famille. La même famille. Elle a toujours pensé qu'elle pourrait continuer à diriger le pays pendant encore un demi-siècle ». « Ce n'est plus possible, Monsieur ! Ce n'est plus possible ! Nous sommes au XXIe siècle ! Ce n'est plus possible... » a-t-il conclu.

11 h 7. Jean Ping : « Je ne suis pas à mon QG »

Je suis dans un lieu que je peux considérer comme sûr. Mais nous avons à l'intérieur du QG plusieurs hautes personnalités qui dorment là parce qu'ils pensaient qu'ils étaient en sécurité.

11 h 1 : Libreville totalement bouclé par la police

En début de matinée, le centre de Libreville était désert et totalement bouclé par la police et des blindés de la gendarmerie. Des scènes de pillages, sans violences, étaient rapportées dans des quartiers périphériques et les communications téléphoniques et Internet ont été coupés. Tout affrontement était terminé, mais les forces de l'ordre continuaient dans la matinée de procéder à des arrestations aux abords du QG de campagne de Jean Ping. On ignorait en revanche où Jean Ping avait trouvé refuge.

Le boulevard Triomphal, la grande artère qui traverse le centre de la capitale gabonaise, affichait jeudi matin les stigmates des violences : barricades encore fumantes, voitures calcinées et bâtiments attaqués.

10 h 50 : Jean Ping à Ali Bongo sur RFI ce matin

« Ali Bongo doit comprendre qu'il ne peut pas éternellement se maintenir au pouvoir par les mêmes procédés : truquer, tuer, voler... Ils sont déjà au pouvoir depuis un demi-siècle ! Cela fait cinquante ans que la famille règne. Et lui, il veut continuer comme ça. Ce n'est pas possible ! Il faut qu'il reconnaisse que nous sommes au XXIe siècle et que ça ne peut pas se passer, on ne peut pas entrer dans l'histoire à reculons. Il faut qu'il réalise qu'il doit respecter la volonté des urnes et la volonté du peuple gabonais. »

10 h 30 : deux morts et une situation explosive

Au moins deux personnes ont été tuées, selon l'opposition, et plusieurs blessées jeudi à Libreville dans l'assaut des forces de sécurité contre le QG de l'opposant Jean Ping, dont l'annonce de la défaite à la présidentielle a plongé la capitale gabonaise dans la violence. En début de matinée, le centre de Libreville était désert et totalement bouclé par la police et des blindés de la gendarmerie. Des scènes de pillages, sans violences, étaient rapportées dans des quartiers périphériques et les communications téléphoniques et Internet ont été coupés.

« Il y a deux morts et plusieurs blessés de source sûre », a affirmé à l'AFP Jean Ping, évoquant un premier bilan de l'assaut contre son QG, quelques heures après l'incendie de l'Assemblée nationale, point culminant des violences qui ont suivi la proclamation de la victoire à la présidentielle du président sortant Ali Bongo Ondimba.

« Ils ont attaqué vers 1 heure [locale, minuit GMT]. C'est la garde républicaine. Ils ont bombardé par hélicoptères, puis ils ont attaqué au sol. Il y a 19 blessés, dont certains très graves », a expliqué à l'AFP Jean Ping, qui a précisé qu'il ne se trouvait pas sur lieux.`

Attaque du QG de campagne de Jean Ping

La garde républicaine a chargé le bâtiment abritant le QG de campagne de M. Ping à la recherche de « criminels » responsables de l'incendie de l'Assemblée nationale à Libreville, avait auparavant indiqué le porte-parole du gouvernement. « Des personnes armées qui ont incendié le siège de l'Assemblée nationale se sont repliées au QG de Jean Ping en même temps que des centaines de pilleurs et de casseurs », avait déclaré à l'AFP le porte-parole, Alain-Claude Bilie-By-Nze.

La France « préoccupée » par la situation

La France, ancienne puissance coloniale, a exprimé sa « vive préoccupation », estimant qu'il n'y avait « aucune place pour la violence » dans un cadre électoral. « Les événements de la nuit à Libreville suscitent ma plus vive préoccupation. Dans le cadre d'un processus électoral, il n'y a aucune place pour la violence », a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault dans un communiqué, en appelant « toutes les parties à la plus grande retenue, afin d'éviter de nouvelles victimes ».

Tension extrême dès l'annonce des résultats

Dès l'annonce de la victoire controversée de M. Bongo, des troubles ont éclaté sur les grandes artères entre les forces de l'ordre et des opposants. « On nous a volé les élections », criaient les manifestants, qui accusent Ali Bongo de poursuivre la dynastie installée par son père, président pendant 41 ans jusqu'à sa mort en 2009, et perpétuée par l'élection de son fils la même année. « Nous déplorons lors de la manifestation de ce jour trois morts et plusieurs blessés », a accusé sur son compte Twitter Jean Ping. Le gouvernement a démenti qu'il y ait des victimes. Au moment même des troubles, Ali Bongo s'est félicité d'une élection « exemplaire ».

Comme l'opposition, l'Union européenne, la France et les États-Unis ont demandé la publication des résultats de tous les bureaux de vote du Gabon (environ 2 500).

Fait unique dans l'histoire politique du pays, le secrétaire général du Parti démocratique du Gabon (PDG), au pouvoir depuis des décennies, avait aussi pris ses distances avec le président sortant. Le numéro deux du parti, Faustin Boukoubi, a encouragé mardi la Commission « à prendre toutes les dispositions idoines afin de publier des résultats fondamentalement crédibles ». Depuis le vote dans la sérénité samedi, les deux candidats ou leur entourage s'étaient autoproclamés vainqueurs.

ABO vainqueur avec 49,80 % de voix, l'opposition réclame un recomptage

Mardi en fin d'après-midi, la Commission électorale avait annoncé la réélection du président sortant pour un deuxième septennat avec 49,80 % des suffrages devant son rival Jean Ping (48,23 %), 73 ans, ex-cacique du régime du défunt Omar Bongo, le père d'Ali. Cet écart marginal représente une différence de 5 594 voix, sur un total de 627 805 inscrits, dans ce petit pays pétrolier d'à peine 1,8 million d'habitants. M. Bongo Ondimba, 57 ans, devrait sa réélection à son score écrasant dans son fief familial, le Haut-Ogooué, où il aurait obtenu 95,46 % pour plus de 99 % de participation. L'opposition a réclamé un recomptage des voix dans tous les bureaux de vote et ses partisans sont massivement descendus dans la rue.


Le Point /MCN
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DYNAMIQUE SAUVONS LE @KRW9LFX   Message  - Publié le 01.09.2016 à 20:34
Hollande fait sa déclaration ce jeudi alors que les résultats sont proclamés. Hollande fait la honte, ne mérite être président

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