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Infos congo - Actualités Congo - Premier-BET - 08 avril 2024
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Politique

Certains clergés catholiques en RDC se moquent du Pape Benoit 16 et foulent aux pieds les prescrits du Synode africain de 2009. (14ième tribune de Jean Thierry Monsenepwo)

2023-07-01
01.07.2023
Religion
2023-07-01
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Il n’est pas normal que nous délaissions la Parole de Dieu pour le service des repas. Cherchez plutôt, frères, sept d’entre vous, qui soient des hommes estimés de tous, remplis de l’Esprit Saint et de sagesse, et nous leur confierons cette tâche. Pour notre part, nous resterons fidèles à la prière et au service de la parole. (Act 6, 2b-5a)

Voilà en substance ce que le premier des papes, l’apôtre pierre disait dans l’acte des apôtres. Les serviteurs, apôtres, disciples, clergés, évêques et papes, devaient rester sur la prière et la parole, laissant le reste du travail au laïcs.

Un peu plus de cinquante ans après les indépendances, la démocratie, la justice et la paix comme culture et valeurs sociopolitiques restent de véritables défis à relever sur le continent africain qui s’essaie à la modernité politique occidentale depuis la colonisation.

Le second Synode africain qui a eu lieu à Rome du 4 au 25 octobre 2009 s’est penché sur l’épineuse question de la contribution de l’Église catholique en Afrique à l’édification de sociétés réconciliées, plus justes et paisibles. À la suite de celui-ci, le 19 novembre 2011, au Bénin, le pape Benoît XVI donnait l’exhortation apostolique post synodale Africae Munus (AM) à l’Église catholique en Afrique. Dès le premier chapitre le pape signale qu’en abordant les thèmes de réconciliation, de justice et de paix, le synode s’est intéressé au « rôle public de l’Église et sa place dans l’espace africain aujourd’hui » (AM, 17). C’est ce rôle que j’aimerais ici revisiter en apportant quelques éléments de contexte, avant de souligner les questions sociologiques et ecclésiologiques qui surgissent dès qu’il s’agit de passer de la théorie à l’action.

Substances de situation

Les historiens qui se sont penchés sur les relations Église-État en Afrique noire identifient en général trois périodes correspondant à différentes postures adoptées par les Églises. Il y a d’abord la période allant du début de colonisation, qui dans la plupart des cas coïncidait avec l’évangélisation de l’Afrique noire, jusqu’au milieu des années 1940. Pendant cette première période, l’Église catholique, dominée par un clergé occidental face à des colons occidentaux, prête main-forte à l’œuvre de « civilisation », tout en faisant avancer la cause de l’évangélisation. Les « indigènes », traités comme des mineurs, n’ont pas voix au chapitre. Mais à partir des années 1940, l’Église catholique sera rejointe et progressivement éclipsée de la scène publique par les partis politiques, les syndicats, la presse écrite et autres forces sociales sur lesquels vont se greffer les revendications indépendantistes.

Entre 1960 et 1990, les Églises locales s’adaptent aux régimes monolithiques selon la situation de chaque pays. Mais en général, sauf dans les pays ayant flirté avec le communisme, la collaboration se poursuit dans les domaines de la santé et de l’éducation. Là où les gouvernants, obsédés par la dérive autocratique, ne peuvent obtenir le soutien explicite de l’épiscopat, l’Église est soigneusement confinée dans ses missions religieuses et sociales.

À partir des années 1990, à la faveur du vent démocratique, les Églises locales redécouvrent leur rôle public et reprennent la parole sur les questions sociales et politiques. Dans certains pays, le clergé est sollicité pour jouer un rôle majeur dans les conférences nationales souveraines, véritables outils d’arbitrage et de transition. En effet, quelques évêques ont présidé, avec plus ou moins de succès, ces conférences à l’heure grave des transitions vers le pluralisme politique. Après le premier Synode des évêques africains en 1994, le pape Jean Paul II recommande dans l’exhortation postsynodale Ecclesia in Africa la création des commissions Justice et Paix, lesquelles vont donner un espace d’expression au laïcat sur les questions sociales et politiques.

Pour revenir au pape Benoît XVI, il reconnaît de prime abord que « la tâche qu’il nous faut préciser n’est pas aisée, car elle se situe entre l’engagement immédiat en politique – qui ne relève pas de la compétence directe de l’Église » (AM, 17). Si ce paragraphe ne précise pas encore le rôle public de l’Église, il permet de tirer deux conclusions préliminaires : la première est le constat de la difficulté de la tâche ; la seconde est que l’engagement immédiat en politique n’est pas de la compétence directe de l’Église.

Quelques paragraphes plus loin, le pape se fait un peu plus précis en affirmant : « Une des tâches de l’Église en Afrique consiste à former les consciences droites et réceptives aux exigences de la justice pour que grandissent des hommes et des femmes soucieux et capables de réaliser cet ordre social juste par leur conduite responsable » (AM, 22). La sphère politique est ici bien distinguée des autres sphères de la société dans une approche qui prend pour acquise la différenciation sociale clamée par les théories de la modernité. Chaque sphère aurait donc sa compétence spécifique qu’il conviendrait de respecter. Dans une telle configuration, l’Église tient à préciser la nature de sa mission, qui est essentiellement celle d’annoncer l’évangile pour éduquer les consciences à l’amour de la vérité et aux exigences de la justice, laissant à chaque chrétien le soin d’analyser les divers programmes politiques soumis à son appréciation à la lumière de ces valeurs.

Ce rôle éducatif est davantage précisé en ces termes : « La mission de l’Église n’est pas d’ordre politique. Sa fonction est d’éduquer le monde au sens religieux en proclamant le Christ. » (AM, 23) C’est dans l’annonce de l’évangile de la vérité, de la justice et de la paix que l’Église éduque.

L’axiome sociologique à l’épreuve de la laïcité à l’africaine

Il est clair pour le pape que « la mission de l’Église n’est pas d’ordre politique » (AM, 23) mais spirituel, que « l’engagement immédiat en politique ne relève pas de la compétence immédiate de l’Église » (AM, 17), mais de la sphère politique dont la mission principale est de construire un ordre social juste (AM, 22).

L’Église se déclare ouverte à une saine coopération avec l’État, puisque « tous deux, quoique à des titres divers, sont au service de la vocation personnelle et sociale des mêmes hommes » Dans la section de Africae Munus consacrée à la bonne gouvernance des États, Benoît XVI écrit : « Un instrument majeur au service de la réconciliation, de la justice et de la paix, peut-être l’institution politique dont le devoir essentiel est la mise en place et la gestion de l’ordre juste. Pour concrétiser un tel idéal, l’Église en Afrique doit contribuer à édifier la société en collaboration avec les autorités gouvernementales et les institutions publiques et privées engagées dans l’édification du bien commun » (AM, 81). Mais comment alors expliquer que certains clergés catholiques de RDC s’ingèrent dans le combat politique en se refusant de condamner certains hommes politiques qui menacent l’existence même de la Nation, au profit d’autres qui leurs offrent des largesses temporelles ?? ?

En effet, l’Église est le corps mystique du Christ avec une mission essentiellement religieuse. Et son apport dans la vie politique ne peut être fait que via les laïcs car L’expérience a montré que l’exercice de cette vie politique par le clergé, est exposé aux mêmes abus que ceux qui ont cours dans le monde séculier, d’autant que l’Église est une organisation à hiérarchie pyramidale avec une forte concentration de pouvoir entre les mains du clergé. Karl Rahner souligne d’ailleurs la nécessité d’une lucide critique sociale et politique de l’Église elle-même.

Benoît XVI ne manque pas de rappeler que le service de la réconciliation, de la justice et de la paix doit commencer au sein même de l’Église [4]. Le pape invite particulièrement les évêques à être « exemplaires par votre vie et votre comportement. La bonne administration de vos diocèses requiert votre présence. Pour que votre message soit crédible, faites que vos diocèses deviennent des modèles quant au comportement des personnes, à la transparence et à la bonne gestion financière. » (AM, 104) En d’autres termes, l’Église ne saurait donner de leçons de bonne gouvernance à la société si elle n’est pas elle-même exemplaire en la matière.

A Chacun sa tache…

Dans Africae Munus, le pape Benoît XVI précise que dans le rôle public que joue l’Église, tous ses membres ne sont pas appelés à faire la même chose. Unité du corps, mais diversité de fonctions : « les dons faits par le Seigneur à chacun – évêques, prêtres, diacres, religieux et religieuses, catéchistes, laïcs – doivent contribuer à l’harmonie, à la communion et à la paix dans l’Église elle-même et dans la société » (AM, 97). L’exhortation post synodale précise bien ce qui revient à chaque catégorie de membres de l’Église. Mais il convient de distinguer particulièrement le rôle public du clergé de celui des laïcs. Si les clergés commencent à prendre la place du laïc dans le débat politique, Alors il faut s’attendre à ce que demain le laïc porte aussi la soutane pour dire la messe ?

C’est finalement aux laïcs que revient principalement la tâche de participer activement et directement à la vie politique, d’où la nécessité de bien les former à la vie spirituelle et à la doctrine sociale de l’Église, pour que les vertus chrétiennes informent leurs actions sociales et politiques. Comme l’affirme le pape Benoît XVI, « par ses membres laïcs, l’Église se rend présente et active dans la vie du monde. Les laïcs ont un grand rôle à jouer dans l’Église et la société. Cette édification d’un ordre social juste doit intégrer “l’option préférentielle pour les pauvres” » (AM, 130).

Tout en prônant la sanctification du temporel par les laïcs, l’Église tient à préserver son indépendance pour sauvegarder sa fonction prophétique. En effet, les programmes politiques et sociaux portés par des laïcs engagés dans la vie politique n’engagent pas l’Église.

En guise de conclusion, nous pouvons dire que L’Église ne fait pas de politique au sens où elle n’influence pas directement le choix des responsables politiques. Ou en critiquant des personnalités politiques, épousant même des fois, le discours des opposants réfractaires a la loi du pays. Et cette posture prise par certains clergés de notre pays étonne dans la mesure ou en occident ou l’église existe aussi, ou il y a aussi des problèmes d’ordre politiques, on n’enregistre pas un tel activisme des clergés de ces pays. C’est cela le sens de l’appel du Chef de l’Etat en parlant d’unité nationale menacée par certaines personnes qui se disent de l’église, mais qui en plein jour boycottent la laïcité de la RDC, pire, elles soutiennent les interpellés de justices, décrétant qu’ils sont innocents comme si les magistrats du pays ne savaient pas faire leur travail, critiquant le travail de la CENI, distribuant des bons ou mauvais points à qui ils veulent, ne voyant que le mal mais n’appuyant jamais ce qui est bien fait.


Scoop RDC / MCP ,via meduacongo.net
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Linon @477Y1R1   Message  - Publié le 02.07.2023 à 23:41
Pendant une certaine période, il refleurissait pourtant bien.

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Congo mon unique pay @2RG113N   Message  - Publié le 02.07.2023 à 22:31
Après avoir empoisonné le fcc , voici ceux qui font de l'union sacrée , l'union salée, avec des théories qui énervent la logique et surtout la population.

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kap @DR16Q1Y   Message  - Publié le 02.07.2023 à 17:39
Ce Monsieur, le garçon de courses de Lambert Mende veut defendre son nouveau poste de Pcs, avec Mende Ils sont toujours parmi les pérroquets "chaku national", Monsempwo veut toujours défendre l'idéologie du pourvoir en place, Il fait pareil Avec le FCC , où e

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Mzee @N8TLSKI   Message  - Publié le 02.07.2023 à 14:55
Les talibans! Les talibans! Les talibans! Renseignez-vous avant de vous lancer en donneur de leçons. L'évêque est la plus haute autorité dans la hiérarchie de l'église catholique Le Pape est aussi évêque de Rome. Il n'aborde pas le synode avec ses idées. Il s'approprie les conclusions de ses pairs Vouloir apprendre à un évêque les leçons du synode est une vraie folie Ces hommes de Dieu appellent au respect des lois du pays, au respect des libertés, de la redistribution. C'est tout. Ils portent la voix de tous les faibles Qui n'est pas inquiet par la progression de l'insécurité partout dans notre pays? Qui n'est pas inquiet par la flambée des prix des biens de première nécessité? Qui n'est pas inquiet par la médiocrité des débats à l'assemblée nationale? Qui n'est pas inquiet par la tranquillité avec laquelle les armées étrangères font la loi au pays? Il y a besoin d'une prise de conscience collective pour sauver notre pays. Rendre service au Président c'est servir le pays dans l'honnêteté C'est cette conscience qui devrait amener la population à jetter tout candidat à probité morale douteuse.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 02.07.2023 à 13:22
Juste pour mieux conclure. La grande Bretagne a une religion d'Etat, dont la Roi ou Reine est le chef de l'Eglise. Aujourdh'ui le premier ministre est de religion indou. Prenons l'Inde, où musulmans et Indous gouvernent ce continent, un autre état laïque. Donc un état se dit laïque lorsque sa gouvernance, n'est pas dictée suivant les principes religieux d 'une X religion ; musulmane, protestante, catholique, boudiste, shintoiste, eecc . Heureusement pour nous. Un état se dit musulman lorsque ses lois de gouvernance tirent leur source du coran. En état à démocratie Romaine, comme la RDC, a comme source des lois de gouvernance dans sa Constitution, qui reflète, explique, voie et moyen, la volonté , comment etre gouverner ,pour sa réalisation matérielle, sur terre. Laïcité ne veut pas dire sans religion ou principes religieux dans un pays. C'est plutôt l'individu qui gouverne qui doit s'inspirer des principes saintes de sa religion pour mieux gouverner et servir le peuple. Aucune religion où le mensonge, le vol , l'injustice sont acceptés. Chaque gouvernant, toute personne qui détient un morceau de pouvoir, peut et doit appliquer dans son quotidien...

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 02.07.2023 à 11:58
(Suite) La CENCO ne faira pas, ne fait pas des lois pour les congolais. Le Cardinal ou Tshole, ne font pas des lois sur le pays ou RDC, mais expriment les sentiments des laïcs. Qui sont ces laïcs ? Sont ces citoyens congolais en Politique, dans la société civile. L'évêque de Mbuji Mayi serait il content devant ses pairs d'autres diocèses des nominations de Tshilombo ? En conclusion c'est notre zazou nationale Monsenepwo qui n'a pas compris le concept de laïc dans l'Eglise Catholique. Le laïc selon l'Eglise Catholique, sont ses fidèles les plus proches de l'Eglise, le plus souvent ceux qui participent à la vie paroissiale. Sont ces laïcs qui préparent les thèmes de discussion dans des synodes, les problématiques de la société et membres de l'Eglise. Sont les mêmes politiciens qui avaient associés les églises en matières électorales. Par ricochet dans la vie politique. Si on accepte les aventures du sapeur Dodo Kamba, pourquoi criminaliser les avis de l'Eglise Catholique et Protestante , qui sont les majeurs partenaires dans la gestion de la société congolaise?

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 02.07.2023 à 11:56
(Suite). Le séparation des pouvoirs entre l'état et l'Eglise Catholique donc, est une conséquence de l'évolution scientifique, des besoins matériels et de l'avancement, vers une nouvelle civilisation. L'Eglise et l'état, ensemble agissent sur le même matériel, cda l'homme. Il faut donc des accords de gestion. Il y'a des matières à gestion commune et d'autre non. Parceque il y'a des matières qui concernent la foi et les besoins matériels sur terre (l'état) Un exemple l'avortement, la sexualité, l'éthique, les injustices, l'éducation, la santé, sont des matières très complexes communes. L'Eglise n'intervient pas, ou plus, comme organe législatif à formuler des lois papales sur ces matières, mais comme organe de la société , partenaire. Quand le pape Benoît dit, intervient que sont les laïcs à faire la politique. Cela veut dire le prêtre ou sacerdote, ne peut faire le législateur et sa prêtrise au même moment. En Europe il existe des partis politiques pour cela, ( laïcs)à formuler des lois qui tiennent compte de l'éthique catholique ou protestante. La CENCO ne faira, ne fait pas des lois pour les congolais. Le Cardinal ou Tshole, ne font pas...

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Linon @477Y1R1   Message  - Publié le 02.07.2023 à 23:52
Le monsieur comprend bien tout ce que les évêques disent et prodiguent comme conseils pour le bien-être des congolais mais pour défendre les 21000 dollars que perçoit son père Mende, il est appelé à divaguer. Même lui, Mende, il s’efforce à mentir même pour être bien côté afin qu'il perçoive ses indemnités autres que les 21000Usd mensuels.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 02.07.2023 à 11:21
Jean Kalubi posté le 01 07 il faut remonter à l'histoire de l'Europe, depuis le temps biblique, depuis que l'homme existe sur terre pour comprendre le sens du pouvoir temporel eecc l'homme a toujours cru à l'existence d'un Dieu devant l'inexplication des difficultés de la vie. Il y'aura difficultés à séparer réalités et imaginations. Ainsi avec la naissance de l'église, le Pape gouvernait l'Europe, voir même sur les Rois. Donc la supériorité de la foi, au Pape avant même les Rois. Puis période des indulgences eecc. Mais le déclin du pouvoir papale va diminuer avec l'évolution intellectuelle de l'homme. Des savants comme Galileo homme des sciences étaient emprisonnés parceque leurs idées étaient contre les idées du pape eecc. L'histoire est longue à t'expliquer. Il suffit de comprendre l'origine de l'Eglise Anglicane, née sur refus du pape d'autoriser son mariage. Le mariage était une histoire de l'Eglise. Le divorce était interdit il y'a 40ans. Il fallait l'autorisation papale. Au nom de ce qui était uni par Dieu ne pouvait etre dissous eecc. Le séparation des pouvoirs entre l'état et l'Eglise Catholique donc, est c'est suite à l'évolution...

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Jean KALUBI @9DQ6XLK   Message  - Publié le 02.07.2023 à 00:18
Mampuya, veux-tu m'expliquer ce qu'on appelle la séparation de l'Eglise et l'Etat en France ? L'Eglise ne peut pas dicter quoi que ce soit à l'Etat. L'Etat arrête les prêtres et les emprisonne en cas d'infractions. Toutes les Eglises en France, par exemple, n'appartiennenbt pas à l'Eglise, mais bien à l'Etat français. Il a tout arraché à l'Eglise, sauf quelques exceptions.

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Jean KALUBI @9DQ6XLK   Message  - Publié le 02.07.2023 à 00:08
Voyez-vous comment Mampuya est un véritable idiot. Il veut affirmer des choses qu'il ne connaît pas ou ne maitrise pas. Quelle est cette Europe où l'Etat suit ce que l'Eglise dit ? Le mariage des personnes du même sexe, les homos et autres, est-ce qu'il a été autorisé par l'église ? Je lui donne un seul exemple pour ne pas lui en citer dix. Il ne faurt pas tromper les gens .

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Mzee @N8TLSKI   Message  - Publié le 02.07.2023 à 15:00
Contredisez sans insulter comme le font nos évêques. Il y a débat d'idée, pas besoin d'attaques sur un individu.

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Zemira @4SRZTHP   Message  - Publié le 02.07.2023 à 00:04
@Mampuya, j'ai eu à plusieurs fois, à te contredire. Mais, avec le temps et par honnêteté intellectuelle, je commence à te rejoindre. L'homme qui réfléchit comme moins qu'un idiot est un fervent adepte de Lambert Mende à qui il s'identifie comme l'élève du maître. Mais quand le maître dérive, il dérive avec ses élèves. Quand le Pape François avait annulé son premier voyage en RDC, le perroquet de Mende avait déclaré que leur "gouvernement n'avait invité personne et que la RDC n'était pas une paroisse de l'église catholique". Quand le même Pape arrive en RDC, le même Mende s'est débattu pour "assister" (en non participer) à messe dite par cette sommité. Je te conseille de ne pas rappeler quelque chose à des perroquets sans mémoire. Attention, la rage canine est passée par-là. Leurs cerveaux sont tout simplement bousillés, il leur faut un formatage.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 01.07.2023 à 23:45
Juste pour ajouter. Ratzinger alors cardinal et patron de foi chrétienne catholique. Il était craint, et très puissant. Comme le camarade Souslov du parti Communiste de l'URSS, le gardien de la doctrine marxiste leniniste. À différence, Ratzinger une fois pape, il va démissionner. Donner des leçons est une chose, exercer des fonctions c'est autre chose. Nous avons eu un président silencieux comme Kabila et un autre Tshilombo, bavard comme opposant, bavard comme président. Nous tous nous voyons l'incohérence mentale de l'homme.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 01.07.2023 à 23:19
(Suite). En Europe les gouvernants acceptent les défis de la société et de l'Eglise. Au Congo RDC on veut une église muette à disposition des différents Mukuna. Conclusion; le zazou national n'a rien compris de Rantzinger moins encore du synode.

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Mampuya @T6L7OKA   Message  - Publié le 01.07.2023 à 23:17
Un véritable idiot ce zazou blanc. La politique c'est s'occuper du peuple, d'où l'axiome tout le monde fait de la politique cda si si tu ne t'occupe pas de la politique, la politique s'occupe de toi. Grâce à l'action des églises les congolais ont appris à lire et à crire cda à décrypter la pensée de l'occupant. Rantzinger ou Benoît XVI, avait démissionné, au vue de sa charge et responsabilités. Tshilombo est-il capable de reconnaître le moindre erreur, ou faute ? La faute est toujours aux autres. Le plus fervent fidèle de Benoît Rantzinger et le Cardinal Sara, africain, sont considérés comme la droite retrograde de l'Eglise Catholique. Rantzinger était le Préfet de la congrégation de la Foi chrétienne de l'Eglise Catholique. Pratiquement le doctrinale de l'Eglise Catholique, donc le contraire du missionnaire et du prêtre au milieu des pauvres. Nous conseillons à cet analphabète, de comprendre que le Vatican est un état, qui doit sauvegarder ses rapports avec les autres États, et cela n'a rien avoir avec l'évangile. Ainsi on tendance à dire, loin du Vatican état, et proche de Dieu et de l'Eglise au milieu des pauvres et des souffrants. En Europe...

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