Anonyme - 15.12.2016 - A tous ceux qui interviennent ici sur ce site par rapport à ce dossier, je pense humblement que si nous voulons la lumière parce que Madame a parlé des injonctions qui se faisaient aussi par téléphone, un état de droit que nous voulons tous aurait seulement demandé dans la transparence de réécouter les dites échanges téléphones, c'est simple mais comme nous sommes africains et plus précisément congolais, on n'en voudra pas. Mawa na ngai pour ne pas dire mawa na biso