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Infos congo - Actualités Congo - 08 Mars 2024
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Charles - 15.07.2017 - Un point de vue en vue du deblocage de la situation de notre pays Sent charles matayanga To:info@ceni.cd Jul 15 at 9:52 AM Monsieur le President de la CENI, Je viens de concevoir quelques modestes idees pour donner mes points de vue, contribution au deblocage de la situation de notre pays. Je compte publier cela comme un livre. J'ai pense utile de vous l'envoyer d'abord pour que vous puissiez donner votre point de vue sur son opportunite ou sa valeur. Merci pour votre collaboration. Charles Matayanga +243997719015 LES ELECTIONS ET LA FIN DU CHAOS.docx 35.8kB ELECTIONS AND THE END OF CHAOS IN DRC: A FREE AND EFFECTIVE PATHWAY, TODAY LES ELECTIONS ET LA FIN DU CHAOS EN R.D.C. : UNE VOIE DE SORTIE EFFICACE ET GRATUITE, AUJOURD’HUI UCHAGUZI NA MWISHO WA MACHAFUKO NCHINI KONGO : UCHAGUZI BILA GHARAMA NA BILA KUCHELEWA Charles K. MATAYANGA +243997719015 charalpho@yahoo.com INTRODUCTION Très chers compatriotes, si ‘panta rei’ (tout coule, tout passe) selon un dicton grec, à plus forte raison les hommes. La RDC. nous appartient tous, bons ou mauvais puissions-nous être. Elle appartient aussi au monde, aux Nations Unies. Ce n’est ni une propriété privée ni de l’opposition ni du gouvernement. Elle appartient à nos ancêtres, à nous-mêmes ainsi qu’à notre postérité, pour toujours. Pour cela ce pays n’est pas à bruler mais plutôt à construire et à développer parce que nous passerons tous un jour mais il continuera à héberger ceux qui viendront après nous. En plus, le monde est désormais un village, un village à nous tous et personne n’a le monopole absolu sur le monde et encore moins sur son pays, sa province, son territoire ou sa ville ni même son village. Notre constitution du 16 février 2006 le stipule clairement à son article 30 que tout citoyen a le droit d’aller et revenir partout où il veut dans le monde entier pourvu qu’il en respecte les lois; tout comme le droit de revenir quand il veut dans son pays d’origine dont il doit aussi respecter certainement les lois. En effet, ce qui se passe actuellement dans notre pays, tout le monde le sait. Tout le monde sait que le pays va mal, très mal. Les uns prennent l’audace d’attribuer ce mal soit à l’opposition soit au gouvernement. D’autres pensent même que la société civile y est aussi pour quelque chose. D’autres encore exagèrent en accusant la Communauté internationale. Ailleurs on pense à une ordinaire criminalité aigue due à la convoitise des ressources naturelles de la RDC. Quoiqu’il en soit, le pays va très mal, un peu comme lorsque le Président Joseph Kabila est entré au pouvoir en 2001-2002. Dieu merci, malgré son jeune âge, il a pu prendre le taureau par les cornes et avec le soutien de presque tout le monde, il a assuré paix, démocratie, intégrité et unite territoriales sans oublier la stabilité monétaire du pays. Maintenant que le temps approche de lui dire ‘Merci papa pour le bien, reconnu ou méconnu que vous avez fait à la RDC et à ses habitants’, ça vaut la peine que chacun apporte sa pierre pour construire un terrain d’entente qui a toujours caractérisé la politique congolaise depuis la veille de la fin de la deuxième République. Ces quelques lignes constituent ma propre pierre, ma propre contribution pour se ranger derrière tant d’autres qui prônent de sauvegarder notre République d’un mal pire que celui qui s’observe déjà aujourd’hui. Et comme tout le monde ou presque, chante ‘élections, élections’ bien que ça vaille la peine de nuancer ce refrain, … ( que les élections, surtout en Afrique ne sont pas toujours la panacée de tous les maux…), nous avons pensé que nous avons nous aussi le droit et le devoir en tant que citoyen congolais, de proposer une piste de solution à travers une reflexion analytique personnelle dans ce bouquet Les elections et la fin du chaos en R. D.C: une voie de sortie efficace et gratuite, aujourd’hui. Il s’agit d’une proposition de ramener tous les compteurs à zéro et tenter d’oublier toute chasse au sorcier/ à la sorcière pour redémarrer le pays sur la voie qui le rend digne d’être appelé pays (démocratique) au même titre que les autres pays au sein des Nations Unies. Autrement, tous les diables du ciel et de la terre risqueraient de venir y élire domicile et précipiter ainsi la naissance au ciel ou en enfer de tous les congolais, bourreaux et victimes, tous ensembles. Ce bouquet n’a que trois petits chapitres: Sont-elles possibles ou comment faire les élections en RDC sans ‘aucune dépense’ avant fin décembre 2017? (chapitre premier); les élections signifieront-elles fin du chaos actuel en RDC? (chapitre deuxième) et à quelle RDC aspirer après les élections ou le chaos? (chapitre troisième). Nous serons bref dans nos analyses afin de nous faciliter la disponibilité de ces petites analyses en d’autres langues notamment l’Anglais et le Kiswahili. Comme nous l’avons dit au début, ces lignes ne sont qu’une analyse personnelle car elles ne sont pas écrites par un zélateur du gouvernement ou de l’opposition; elles ne viennent ni pour dorloter ni pour offenser l’un ou l’autre camp mais plutôt pour donner juste un point de vue qu’on espère constructif et objectif pour tenter de sauver la petite population en moitié vivante qui nous reste encore dans ce beau, grand et mystérieux pays qu’est la République démocratique du Congo. CHAPITRE PREMIER: Sont-elles possibles ou comment faire les élections en RDC sans ‘aucune dépense’ avant fin décembre 2017? Même s’il est facile de croire que tout est impossible en RDC, il est quand même possible de croire aussi au contraire, que tout est possible en RDC ou plutôt que rien n’est impossible en RDC, en voulant parler au plus positif possible. Voici à notre humble avis un schémas qui, en tenant compte de ce que nous venons d’insinuer dans notre introduction, remet tous les compteurs à zéro et oublie un peu la distinction d’une classe politique diables-anges; corrompus-non-corrompus; opposition(sacrée)-majorité (sale), mais qui mette l’intérêt de la nation ou l’intérêt général au premier plan. En RDC, s’il y a saleté, tout le monde peut être sale; s’il y a pureté (ce qui n’est qu’un rêve en politique) alors tout le monde est pur. 10 Que la CENI appelle toutes les candidatures à la présidence pendant un mois (Aout) a. Joseph Kabila ou son Dauphin b. Moise Katumbi, Matata Ponyo, Vital Kamerhe, Felix Tshisekedi, Mukwege, Azarias Ruberwa, Aubin Minaku, Olengangoy, Mbusa Nyamwisi, Julien Paluku, Dokolo, Kengo wa Dondo;… N.B. Il semble difficile, face à la pluralité des candidatures à laquelle nous assistons souvent dans ce pays, de n’avoir qu’un président sans vice-présidents. La tendance plus apaisante semble celle de 1+5 (un président plus 5 vice-présidents), et cela pour tout un mandat et non seulement pendant des périodes de transition. (question constitutionnelle évidemment) A notre avis, si cette formule est possible, il serait plus convenable de disperser ces vice-présidents à travers tout le pays au lieu de les concentrer tous à Kinshasa, une capitale que d’aucuns ne cessent de traiter de trop lointaine aux besoins du peuple. 20 Les candidatures à la députation nationale, Septembre 30 Les candidatures à la députation provinciale, Octobre 40 Campagnes électorales, Novembre 50 Vote par téléphonie mobile (AIRTEL, VODACOM, ORANGE/ TIGO,…) et investiture du nouveau président de la République (et fin définitive du chaos), Décembre Voilà un exemple d’une formule spéciale pour la RDC qui peut être arrêtée le plus vite possible juste après l’installation du CNSA qui est imminente, croyons-nous. Réactions Question 1: Mais tout le monde n’a pas de téléphone mobile! R/ D’accord, mais au moins tout le monde ayant un numéro de téléphone est enregistré. Il y a donc lieu d’estimer combien d’électeurs, ayant des numéros téléphoniques peuvent voter. A mon avis, ce sont des millions déjà. Mais, qu’est-ce que ça coute une carte de téléphone? Est-ce difficile pour un patriote de se la procurer pour ce droit et devoir inaliénable? Un seul téléphone, ne peut-il pas servir tous les autres électeurs au sein d’une même famille? Question 2: Et là où il n’y a pas de réseau, que fera-t-on? R/ Ce serait une responsabilité immédiate et un intérêt pour les entreprises de communication d’y pourvoir le plus vite possible, soutenues par la CENI, par exemple. Mais, je ne crois pas qu’il y ait de si grand forestier en RDC qui ne puisse plus accéder au réseau téléphonique dans un rayon d’au moins 5 kilomètres autour de lui. C’est sûr et certain que d’autres questions peuvent survenir, mais je ne crois pas qu’elles soient sans réponse. C’est par exemple celle relative à la fraude. Notre réponse serait claire, mais selon la rue, il n’y a que Kabila qui peut tricher,… cela peut-il aussi arriver sans lui? Avec AIRTEL MONEY, M-PESA, … nous avons confiance à la banque électronique, cette fois-ci faudra-t-il craindre plus que nous ne craignons pour notre argent? Je ne crois pas. Voilà, chers compatriotes, chers lecteurs, une formule simple que certains peuvent négliger au détriment des vies humaines malheureusement. C’est difficile d’avoir confiance je sais, mais c’est impossible de récupérer une vie perdue. CHAPITRE DEUXIEME: Les élections signifieront-elles la fin du chaos actuel en RDC? La réponse, nous la souhaitons tous positive, bien que ce n’est pas de l’automatisme. ‘De l’alternance svp, de l’alternance svp’ …, n’avons-nous cessé de l’entendre dans ce pays depuis des mois maintenant. A notre humble avis, cela dépendra des raisons qui auront poussé les congolais de voter pour tel et non tel autre et des capacités de réalisation de ces rêves de la part de la personne élue. C’est chaque électeur qui sait pourquoi il vote pour tel et non pour tel autre. Est-ce par fanatisme, est-ce parce qu’il est de ta tribu, par résignation, par pression ou simple attraction,… ou plutôt pour l’intérêt général, pour l’intérêt de la nation, pour les générations passées (nos morts dont les tombes et la mémoire sont à respecter), les générations présentes (car c’est du suicide, du mensonge et de l’irresponsabilité que de se priver sans le vouloir de ses droits au nom des seules générations à venir) ; et pour les générations futures (de peur qu’elles ne nous traitent de cupides et d’irresponsables) ? La réponse est claire, j’espère. Dans la mesure où nous aurons voté et nous nous ferons voter pour l’intérêt général, alors seulement, les élections signifieront la fin du chaos; un petit pas vers le paradis terrestre pour les Congolais que nous sommes tous. Cela ne veut pas dire que la criminalité aura cessé d’exister. C’est pourquoi, le nombre des forces de sécurité et leur discipline doivent toujours être contrôlés en vue d’éviter tout récidivisme de certains criminels déjà répertoriés. Et comme l’opposition existera toujours, que celle-ci apprenne à murir toujours davantage en respectant le choix des autres bien qu’elle n’aille pas toujours de pair avec la leur. CHAPITRE TROISIEME: A quelle RDC aspirer après les élections ou le chaos? Une RDC du bien-être, une RDC pacifiée, une RDC électrifiée, une RDC unifiée par des routes de toutes sortes, une RDC industrialisée pour plus d’emplois, une RDC à salaire décent, une RDC coopérante, une RDC-Etat de droit,… bref une RDC prospère , désenclavée ou développée, voilà ce que nous devons attendre au-delà des élections, au-delà du chaos que nous vivons déjà à un certain degré dans le pays. Si l’on ne peut aboutir à ces infrastructures, pourrions-nous les appeler, alors les élections, le chaos auront été vains. Et le cycle risquera de recommencer,… jusqu’à la fin du monde! La question que l’extérieur se pose souvent sur nous Congolais, est de savoir si nous sommes en mesure d’assurer toutes ces infrastructures à notre pays, nous qui aimons tant la guerre, le luxe, les diplômes, l’honneur,… et qui n’avons confiance en personne parmi nos compatriotes. A ceux qui nous caricaturent, nous sommes capables, et cela cette fois-ci sans plus attendre, de leur démontrer le contraire. La guerre, ça tue des innocents même le guerrier lui-même. La guerre déshonore, la guerre écarte, la guerre détruit tout, la guerre ne gagne jamais, … CONCLUSION Chers compatriotes, voilà juste un point de vue à prendre ou à laisser. Je dis chers compatriotes et non chère CENI parce que la CENI peut adopter une telle position et les gens se précipitent de crier derrière elle, que la République a tant d’argent pour organiser les élections, parfois sans savoir exactement la situation concrète de la caisse de l’Etat c.a.d. du gouvernement qui, après tout doit financer les élections à travers la CENI. Mais comment financer les élections pendant qu’il y a des injures, des flèches et cartouches derrière soi, le gouvernement pourrait-il se justifier. Et aux autres de répliquer : ‘quand finissaient les élections du premier mandat, ne saviez-vous pas que là devait commencer la préparation des élections à venir ?’. Dans tous les cas, comme disent certains ‘ne sait jouer au ballon que celui qui assiste de l’extérieur’. Même quand tous les mandats possibles sont finis, bien ou mal la tolérance et le respect mutuels doivent toujours être de mise : ‘toute autorité vient de Dieu’ dit-on. D’où, dans notre analyse, à la question ‘sont-elles possibles les élections en RDC sans aucune dépense avant fin décembre 2017 ?’ (premier chapitre) nous avons répondu avec une formule simple qui, en principe, arrange tous les camps, tout le monde : les élections par téléphone, full stop. De deux et ensuite, à la deuxième question ‘Les élections signifieront-elles la fin du chaos actuel en RDC?’ (deuxième chapitre) nous avons modestement montré la responsabilité de toutes les parties concernées c.à.d. les électeurs, de voter tel ou tel autre pour l’intérêt général ; les opposants, de respecter le choix des autres bien que cela peut aller à l’encontre du leur, et enfin à ceux qui sont votés d’user de toutes leurs capacités et de la confiance leur témoignée en vue de combler là ou a régné le chaos. De trois et enfin, à la question, ‘A quelle RDC aspirer après les élections ou le chaos?’ nous venons de rappeler humblement les œuvres qui alimentent la confiance quotidienne du peuple et espérons aussi de l’opposition rationnelle à l’égard des élus. Pour cette dernière, rappelons qu’on ne s’oppose pas pour s’opposer car on risque de s’opposer à soi-même, ce qui est contradictoire ; et on ne blague pas avec la confiance du peuple, car quand le peuple se fâche, Dieu risque de se fâcher à leur faveur contre un gouvernement irresponsable ou contre une opposition immature et désunie : ‘Vox populi vox dei’ disent les Latins.

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