Salima - 08.12.2017 - La plus part des Isabel Antonio sont aussi des angolais et angolaises authentiques que le régime angolais traitait des zairenses depuis des decades et qui ont fini/es à être des laissé/es pour compte au Congo, qui ont pris la voie forcée vers une Angola (la terre de leurs parents ou grands-parents) qui les ignore. Et, sans espoir d'une vie citoyenne respectable, ont pris le chemin d'un exile encore plus lointaine. Et les voilà au Brésil, une terre terrible en matière de maltraitance de ses communautés non blanches, la plupart s'entassant dans des favelas.